Afghanistan : le gouvernement pro-hétérosexuel interdit aux traînées de chanter en public

La Rédaction
Démocratie Participative
25 août 2024

Si toutes les démocraties se sont liguées contre les Talibans pendant 20 ans, c’est que ces gens font quelque chose correctement.

Le Parisien :

Un nouvel épisode de la répression du gouvernement taliban. Les dirigeants de l’Afghanistan ont publié mercredi un nouvel ensemble de lois, dont l’une interdit aux femmes de chanter ou de lire à voix haute en public, la voix d’une femme étant considérée comme intime. L’objectif étant de combattre le vice et promouvoir la vertu, selon un porte-parole du gouvernement.

Basé.

C’est ce genre de lois dont nous avons besoin.

Les femmes à micro représentent une menace existentielle pour la civilisation.

La loi de 35 articles édicte des interdits déjà généralement connus dans l’Émirat islamique, mais sa promulgation pourrait permettre de renforcer le contrôle, déjà étroit, de la population. Le ministère a annoncé mercredi, sur son site, que la loi avait été préalablement approuvée par le chef suprême des talibans, l’invisible émir Hibatullah Akhundzada qui règne sur l’Afghanistan par décret depuis son fief de Kandahar.

Ça a tellement plus d’allure qu’un meeting de Marine Le Pen

Le puissant ministère de la Propagation de la vertu et de la Prévention du vice (PVPV) est chargé d’appliquer cette loi. Il contrôle potentiellement tous les aspects de la vie des Afghans, sociale et privée, et veille à l’application ultra-rigoriste de la charia. Le gouvernement taliban a récemment dit vouloir accroître le rôle du PVPV, qui, selon l’ONU, crée un « climat de peur et d’intimidation » parmi les Afghans.

Les Afghans sont très heureux de leur nouveau gouvernement.

Si les Talibans n’avaient reçu l’appui massif de la population afghane, jamais ils n’auraient pu triompher de l’occupation judéo-américaine de leur pays.

La nouvelle loi stipule notamment que « les femmes doivent couvrir leur corps entièrement en présence d’hommes n’appartenant pas à leur famille », de même que leur visage « par peur de la tentation ». Ceci implique le port d’un masque (type Covid) sur la bouche. Idem si « les femmes doivent sortir de chez elle par nécessité ».

De même des interdits sont édictés pour les conducteurs de véhicules : pas de musique, pas de drogue, de transport de femmes non voilées, de femmes en présence d’hommes n’appartenant pas à leur famille, ou de femmes sans mahram (chaperon, un homme de leur famille).

D’autres interdits suivent : l’adultère, l’homosexualité, les jeux d’argent, les combats d’animaux, la création ou le visionnage d’images d’êtres vivants sur un ordinateur ou un téléphone portable, l’absence de barbe ou une barbe trop courte pour les hommes, des coupes de cheveux « contraires à la charia ».

« L’amitié » avec « un infidèle » – un non-musulman – est proscrite et les cinq prières quotidiennes obligatoires. Concernant les médias, la loi stipule qu’ils ne doivent pas publier « des contenus hostiles à la charia et à la religion », ou qui « humilient les musulmans », ni « qui montrent des êtres vivants ».

C’est absurde.

Ce genre d’articles est conçu pour terroriser les gens.

En Afghanistan, les Talibans sont très accueillants et ils sympathisent sans problème.

Les témoignages affluent en ce sens.

Chaque village du pays a une auberge protégée par les Talibans où les voyageurs peuvent se reposer en toute sécurité.

Des blogueurs chinois voyagent en Afghanistan et vivent des moments cocasses avec les talibans.

Les Talibans sont des combattants de la liberté, ce qui leur vaut les attaques permanentes de la presse juive occidentale.

S’ils ont pu l’emporter face à l’OTAN, c’est grâce au contrôle strict qu’ils exercent sur leurs femmes. Ce n’est pas pour rien que la CIA injectait du féminisme dans les universités du pays.

Rapport de la CIA : Utiliser le féminisme pour réduire l’opposition occidentale à l’occupation militaire de l’Afghanistan [2010].

Si un peuple ne tient pas ses femmes, il sera dévoré par les juifs.

C’est une vérité éternelle.

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