Allemagne : l’église catholique lance un appel aux dons pour financer un navire de transports d’envahisseurs en Méditerranée

La Rédaction
Démocratie Participative
11 août 2024

En Allemagne, le clergé catholique est occupé à un nouveau projet : financer un navire d’envahisseurs en Méditerranée.

Remix :

Les institutions chrétiennes allemandes jouent un rôle central dans l’immigration de masse, qu’il s’agisse du message qu’elles prêchent dans les paroisses ou des efforts qu’elles déploient pour financer le transfert des migrants vers l’Allemagne.

Aujourd’hui, le diocèse catholique de Trèves lance un appel aux dons mensuels pour financer un autre navire destiné à transporter des immigrants clandestins vers l’Europe via la mer Méditerranée. Les fidèles catholiques sont appelés à financer le fonctionnement du « navire de sauvetage » Sea-Eye 5.

Trèves

« Le sauvetage en mer est un devoir chrétien et humanitaire », a déclaré le vicaire général de Trèves, Ulrich Graf von Plettenberg.

Comme la grande majorité des membres du clergé catholique, Ulrich Graf von Plettenberg est très probablement homosexuel

L’Église recherche maintenant 3 000 co-sponsors qui enverront 16,67 euros par mois. Ce financement permettra au bateau de récupérer les migrants au large des côtes nord-africaines. Souvent, il n’y a pas de naufrage, les migrants étant récupérés directement sur les bateaux de trafic d’êtres humains. Il est beaucoup moins coûteux pour ces bateaux d’envoyer un signal de détresse et de faire ramasser les migrants illégaux directement à partir de leur bateau. La plupart de ces migrants finissent dans des pays comme l’Allemagne après être arrivés en Italie.

Si 3,000 donateurs versent cette somme chaque mois, cela représenterait 600,000 euros par an pour importer des mâles du tiers-monde, principalement musulmans.

Le Sea-Eye 5

L’église catholique n’a plus pour seule fonction en Europe que d’aider à sa conquête démographique par les créatures les plus laides, violentes et stupides d’Afrique et d’Orient.

Quand ces bêtes sauvages violent et assassinent, les mêmes responsables catholiques culpabilisent les autochtones et les appellent à être « tolérants » avec leurs protégés.

Je ne vois pas quel homme de race blanche peut vouloir être associé de près ou de loin à cette organisation collaborationniste.

Ce n’est pas la première fois que l’on tente de financer des bateaux de sauvetage de migrants, le même diocèse ayant cofinancé le bateau Sea-Eye 4 il y a quelques années avec l’aide d’autres diocèses.

L’Église catholique est loin d’être la seule organisation chrétienne à soutenir l’immigration de masse. L’Église évangélique d’Allemagne (EKD) a en effet pris l’initiative d’acheter le bateau original Sea-Eye 5 pour 465 000 euros, avec l’aide d’autres organisations favorables à l’immigration. Le rôle massif de l’EKD dans l’affaire des migrants a été couvert par Remix News dans le passé. Notamment, l’EKD a commencé à retirer les pasteurs qui sont favorables au parti Alternative pour l’Allemagne (AfD), connu pour ses positions anti-immigration.

Le diocèse de l’Église catholique de Trèves n’est pas seulement favorable à l’augmentation de l’immigration, qui est à l’origine d’innombrables agressions à l’arme blanche, de viols collectifs et de harcèlements quasi quotidiens de jeunes femmes dans toute l’Allemagne, mais il est aussi ouvertement opposé à la « droite ».

M. Von Plettenberg a déclaré qu’il pensait que le transport des migrants était « convaincant et tout à fait juste ». Il utilise également ce soutien pour « envoyer un signal clair contre la politique d’isolement de l’Europe, qui est propagée principalement par les partis de droite« .

Pendant ce temps. Les institutions chrétiennes allemandes perdent des membres. L’EKD a perdu un nombre record de 745 000 membres en 2022, alors que de plus en plus d’Allemands tournent le dos à la religion institutionnelle. L’Église catholique allemande a connu des pertes similaires en 2022, perdant plus d’un demi-million de membres.

Ironiquement, la séparation de l’église et de l’état en France est désormais un net avantage comparativement à l’Allemagne.

En Allemagne, si vous êtes baptisé, vous devenez la propriété des églises en question, catholique ou protestantes. Moyennant quoi, vous devez verser un impôt annuel à l’état allemand qui le reverse à ces organisations. Notez que vous n’avez pas le choix, car tout est prélevé à la source.

Ces organisations n’ont pas le bien du peuple allemand à l’esprit, ni celui des Blancs en général.

C’est tout le contraire.

Leur idée fixe est de l’anéantir racialement en le remplaçant par des millions de sous-hommes venus du tiers-monde.

Quand Bergoglio a inauguré sa statue pro-migrants à Rome, un détail a pu échapper aux moins attentifs.

Il faut avoir l’oeil.

Cette masse d’envahisseurs afro-orientaux est guidée par un rabbin.

C’est d’ailleurs une description exacte du Grand Remplacement.

Face à ce racket organisé, les Allemands se désaffilient en masse de ces structures abrahamiques désormais fanatiquement partisanes de l’invasion du continent.

Si le christianisme s’effondre partout, il n’en va pas de même pour ses structures, ni son personnel. D’où les appels aux dons de ces églises pour maintenir leur politique raciale dont elles escomptent retirer les bénéfices en termes de supplétifs adeptes de leur culte.

Adolf Hitler et la SS avaient bien identifié le péril représenté par le christianisme crépusculaire. Leur constat était que cette religion était déjà morte depuis longtemps, mais que son cadavre en décomposition était le terreau idéal pour l’action des juifs et de leurs compagnons de route.

Hélas pris par le temps, le Führer n’a pas pu mener jusqu’au bout la politique qu’il entendait poursuivre à ce sujet. Le Führer ne voulait pas engager le nouvel état national-socialiste contre les églises alors qu’il devait mobiliser l’ensemble du peuple allemand pour affronter la coalition juive internationale. Il était de toute façon convaincu qu’elles étaient déjà moribondes et que le temps se chargerait de les achever, ce qui s’est pleinement réalisé.

À la place, il entendait éduquer le peuple allemand selon la vision nationale-socialiste du monde et empêcher les églises de se mêler de l’éducation de la jeunesse germanique. L’ordre de l’Europe en aurait été irréversiblement changé.

C’était trop pour pour la prêtraille qui a bien évidemment donné la main à tous les ennemis de l’Allemagne révolutionnaire pour sauver leur odieuse boutique, y compris aux communistes dont la doctrine n’était elle-même qu’un succédané d’abrahamisme.

De ce côté-là, l’Europe est en voie de guérison.

Le christianisme organisé n’est plus qu’un souvenir et ses prêtres ne pourront plus jamais empêcher l’homme blanc d’adopter la politique révolutionnaire qui lui convient. Comme ferment de barbarie sémitique, il ne peut plus que s’adonner au sabotage des sociétés blanches.

Reste qu’il faut désormais une doctrine nouvelle en lieu et place du pourrissant judéo-christianisme humanitaire qui tient lieu de « morale » aux masses démocratisées d’Europe.

Cette doctrine doit être simple et s’articuler sur une conception claire de l’univers et de ses lois. Une doctrine aryenne qui soit enfin dégagée des insanités vomies sur le monde par la pouillerie de Jérusalem.

Là aussi, nous approchons du moment de vérité.

Le juif observe la fin du christianisme dans le monde blanc avec une angoisse dont il se croyait totalement incapable. Jusqu’à présent, son animosité à l’égard des Chrétiens tenait essentiellement au monopole que l’Église exerçait sur les consciences blanches, en plus d’une antique hostilité à l’égard de la scission tribale dirigée par Saül de Tarse.

Les ponts n’ont jamais été rompus cependant. L’Église veilla toujours à sauver la mise des juifs. Si les Chrétiens détruisirent tous les cultes autochtones d’Europe, le judaïsme échappa miraculeusement à leur prosélytisme révolutionnaire et pendant deux millénaires la juiverie put prospérer à l’ombre des crosses épiscopales du continent.

Aujourd’hui, le juif réalise que sans le christianisme édifié sur la Torah – « l’ancien testament » -, il ne pourra bientôt plus agir sur les représentations mentales des Blancs enfin libérés de la gangue mythologique suppurée depuis le Sinaï.

Ce n’est pas par hasard si le juif, qui a tout fait pour tourner en dérision l’église au profit de ses doctrines de remplacement, du libéralisme démocratique au marxisme, se retrouve dorénavant être le champion du « judéo-christianisme », étant entendu que la chose doive rester sous une étroite surveillance rabbinique.

Cette inquiétude est renforcée par le fait que l’islam est devenu un fait social majeur dans les démocraties. Les masses immigrées ne s’en départissent pas car elles sont trop stupides pour accéder à l’individualisme qui ronge l’homme blanc à l’état naturel et qui en fait une proie facile pour la propagande juive.

Si l’islam est une forme de l’abrahamisme comme le christianisme, le juif ne peut pas le commander directement, d’autant plus que ses projets expansionnistes au Proche-Orient frustrent l’orgueil d’un grand nombre de mahométans.

Renverser les alliances et tenter d’insuffler un semblant de vie dans le cadavre chrétien est la nouvelle politique du jour. C’est chez nous la fonction de CNews et de tous ceux qui citent les vertus de la Bible, toujours encadrés de juifs, qu’il s’agisse de l’anarchiste athée Michel Onfray ou de la femme Marion Auque « Maréchal ».

Les masses en Europe n’ont aucun intérêt pour ces réactionnaires séniles à la botte des juifs qui ressassent leurs bondieuseries – sans d’ailleurs y croire eux-mêmes une seule seconde.

C’est une idée réellement éternelle, perpétuellement jeune par sa réalité quotidienne, qui peut raviver chez l’homme aryen la flamme de vie. Cette idée n’est pas la promesse d’un paradis négocié auprès de détaillants sur la base de la terreur de la damnation, mais celle de la lutte héroïque pour la survie.

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