Angleterre : après l’assassinat de 3 petites Blanches par un rwandais, violentes émeutes raciales à l’initiative des autochtones anglais

La Rédaction
Démocratie Participative
31 juillet 2024

Guerre raciale, jusqu’à la victoire !

À Southport, en Angleterre, les hommes blancs avec un semblant d’instinct de conservation sont descendus dans la rue après le meurtre de trois enfants blancs par un envahisseur du Rwanda.

L’objectif était de cibler le régime et ses flics qui imposent par la terreur ces millions de colons du tiers-monde qui viennent jusque dans nos bras égorger nos fils et nos compagnes.

La situation est très tendue à Southport. Une grande manifestation a eu lieu près d’une mosquée de la ville, avec ce qui ressemble à des feux d’artifice lancés sur des fourgons de police. Nous avons vu une jeune fille pleurer dans la foule. La police s’inquiète des manifestations d’extrême droite en réponse à l’agression au couteau d’hier.

Ils ont bien légitimement ciblé une caserne djihadiste se trouvant à proximité du lieu du crime.

Un groupe important d’hommes, pour la plupart, s’obstine à lancer des objets sur une mosquée. Des policiers armés sont arrivés.

Il faut souligner à quel point les flics sont au coeur du problème et pas seulement des spectateurs impuissants.

Sans ces flics, les Blancs auraient déjà repris le contrôle de leurs pays.

Les flics sont l’instrument principal de domestication des masses par les démocraties remplacistes.

Des officiers armés viennent d’arriver à une manifestation à Southport, avant que les manifestants ne les fassent reculer. Des objets et des feux d’artifice ont été lancés sur les véhicules de police. On entend de grosses détonations. La tension est très forte. Nous avons vu des gens crier « F*** Musulmans »

LA POLICE SE FAIT ÉCRASER À SOUTHPORT

Voilà ce qui arrive lorsque des enfants innocents sont massacrés !

Mais il n’y a pas que les flics.

Les femmes blanches à demi-obèses escomptent bien laisser grandes ouvertes les portes du pays à Abdul et ses frères pour pouvoir se faire sauter.

Au milieu du chaos, cette femme a brandi une pancarte disant : « L’espoir, pas la haine. Le racisme n’est pas le bienvenu ici ».

Puissant.

Alors qu’elle le brandit, elle est entourée d’hommes impliqués dans l’émeute. Certains d’entre eux avaient bombardé la mosquée de briques. Elle s’est éloignée et n’a pas souhaité être interviewée.

L’invariable mécanique de culpabilisation raciale

 

Sous l’effet de la colonisation de peuplement organisée par leurs bourgeoisies respectives, les pays occidentaux sont désormais dans une situation de guerre raciale latente avec des affrontements de plus de plus en rapprochés et de plus en plus violents.

Dans une guerre, il y a deux camps, toujours composites, et chaque force en présence se positionne par rapport aux autres en fonction de ses intérêts. C’est la désignation de l’ennemi prioritaire qui dicte la formation de ces alliances purement opportunistes.

Il y a deux camps : les autochtones qui veulent redevenir maîtres de leurs terres ancestrales et les autres.

C’est ce que nous avons vu lors des élections législatives où, en moins de 48 heures, la France Insoumise a été réintégrée dans « l’arc républicain » – l’ordre bourgeois dominant – après en avoir été exclu le 7 octobre 2023 tandis que le RN en a été évincé brutalement. La toile de fond était la même qu’à Southport : pour ou contre l’immigration extra-européenne (et incidemment, ses conséquences), pour ou contre l’autochtone de sang européen.

C’est le paradigme fondamental.

La bourgeoisie démocratique blanche est foncièrement hostile à la plèbe autochtone (« les petits Blancs »). Sa politique constante est non seulement d’organiser l’immigration non-blanche, mais de s’en faire une alliée contre la plèbe autochtone. L’enjeu, pour cette bourgeoisie, est de garder la plèbe blanche sous contrôle grâce à ce mouvement en tenaille, par le haut (l’État) – et par le bas (la rue).

Dans une guerre, la légitimité est essentielle. Quand des Blancs sont attaqués par des allogènes, la légitimité des victimes blanches, et par extension l’opposition à l’immigration, se renforce.

La bourgeoisie démocratique blanche qui organise l’immigration ne peut pas le tolérer sans risquer de voir sa légitimité remise en cause.

En cas de crise, comme à Southport ou, chez nous, à Crépol (par exemple), elle reprend toujours la main en renversant l’identité des bourreaux et des victimes, des agresseurs et des agressés. Il s’agit de reprendre l’ascendant moral sur les masses en délégitimant les actions contraires à ses intérêts de la plèbe blanche.

Cela passe par la culpabilisation à outrance des victimes autochtones.

C’est le B-A BA de la procédure.

Les médias et les dirigeants de la bourgeoisie blanche se mobilisent pour décrire les réactions instinctives de légitime-défense collective comme une agression gratuite et font appel au respect de l’ordre bourgeois (la justice, l’état de droit) pour que le système puisse continuer à opérer. Donc, in fine, à aggraver les causes de la crise ponctuelle qui a entraîné la réaction de légitime-défense collective.

Au plan technique, il fait appel au registre émotionnel, féminin, en dénonçant la « haine » et la « violence » de l’homme blanc qui se défend des conséquences de la politique de cette bourgeoisie.

Présentée comme « irrationnelle » et « dangereuse », la plèbe blanche est désignée comme la véritable menace. En 24 ou 48 heures, le drame initial est passé par pertes et profits tandis que les Blancs passent du statut de victimes à celui d’agresseurs.

Une fois ce discours mis en mouvement, c’est le moment de mobiliser l’État pour réprimer la résistance autochtone.

Les habitants de Southport sont sous le choc de l’horreur qui leur a été infligée hier.

Ils méritent notre soutien et notre respect.

Ceux qui ont détourné la veillée pour les victimes par la violence et la brutalité ont insulté la communauté en deuil.

Ils en ressentiront toute la force…

Ce modus operandi sera toujours employé par le système démocratique occidental.

Le régime n’a aucune intention de changer de politique. Cela fait 60 ans qu’il organise le remplacement de population et il a la ferme intention de continuer et d’amplifier cette politique qui, du point des intérêts de la bourgeoisie post-nationale blanche, est la seule possible.

Toute tentative de retour en arrière aboutissant à la reprise en mains des pays occidentaux par les autochtones impliquerait rien de moins que le démantèlement du système social et économique, mais également idéologique et crypto-religieux créé après 1945.

Ce que nous voyons à mesure que la situation démographique s’aggrave, c’est la radicalisation de la bourgeoisie blanche dans son soutien aux envahisseurs. Elle est dans une logique de confrontation sans concession pour son maintien au pouvoir et plus le temps passe, plus le soutien des envahisseurs est vital pour elle.

Cette radicalisation est également externe avec une pression de plus en plus forte des régions du monde qui repoussent le démocratisme impérial occidental, à commencer par la Russie suivie de l’Iran et de la Chine.

Dans l’esprit de l’oligarchie démocratique occidentale, le combat est tout autant tourné contre la menace intérieure (la classe moyenne autochtone) qu’extérieure. Ces tensions, a priori éparses, sont l’expression de la défaillance généralisée du système sous le poids de ses contradictions internes.

On peut et on doit s’attendre à un virage de plus en plus coercitif de cette oligarchie, jusqu’à ce qu’elle abandonne la démocratie formelle et opte pour la tyrannie ouverte.

Il n’y aura pas de solution « démocratique » au problème posé par le système démocratique lui-même.

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