Après la diffusion de la Liste de Schindler 2 à l’assemblée, Meyer Habib pleure abondamment sur « son peuple »

La rédaction
Démocratie Participative
15 novembre 2023

 

Les juifs contrôlant la France, les députés de leur colonie sont sommés de consommer, sous haute surveillance, la propagande concoctée par l’armée israélienne.

Tous, sans exception, doivent y participer. C’était le cas hier à l’Assemblée « Nationale », où a eu lieu une diffusion d’un film militaire israélien sur le fameux 7 octobre.

Il va sans dire que les médias juifs ont guetté la sortie de chacun des victimes de cette séance. Il s’agissait de scruter la moindre marque de « négationnisme », une innovation depuis que la loi Fabius-Gayssot est de facto étendue à tout ce que les juifs affirment sans preuve.

Le plus ému a été Meyer Habib. Il a longuement pleuré sur le sort de « son peuple », qui n’est manifestement pas le peuple français.

Ne dites pas que Meyer Habib n’est pas français, car cela tombe sous le coup de la loi et s’ajouterait la liste des 6 millions d’actes antisémites.

La plupart des goyim ont balbutié ce que les juifs exigeaient.

Aymeric Caron a tout de même évoqué la piste d’une opération de propagande téléguidée par Tel Aviv et que diffuser des vidéos sur les agissements de l’armée juive serait la moindre des choses.

Une thèse évidemment complotiste : un film réalisé par une armée étrangère en guerre ne peut pas être de la propagande, du moins si cette armée est juive.

Ce numéro d’exhibitionnisme juif est d’autant plus obscène que depuis 6 semaines, ce sont les civils de Gaza, enfants en tête, qui sont quotidiennement tués par les juifs.

Aucune image n’est diffusée à l’Assemblée à ce sujet.

De nombreux civils, dont des enfants, ont perdu la vie dans l’attaque à la bombe de l’armée israélienne dans le quartier de Sheikh Ridvan la nuit dernière. Le journaliste Majdi Fathi se trouve dans le jardin de l’hôpital baptiste.

Je ne crois pas que cette république prévoit de diffuser un condensé de 43 minutes sur la boucherie juive à laquelle le monde assiste.

Nous allons entendre parler de ce 7 octobre pendant au moins des siècles, sauf si, entretemps, le pouvoir juif mondial s’effondre. Mais tant qu’il est debout, nous en entendrons parler, peut-être plus que de la théorie de l’holocauste.

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