Après la tentative d’assassinat des juifs contre Poutine, la colonie juive d’Uman écrasée sous les missiles russes

La rédaction
Démocratie Participative
28 avril 2023

 

L’armée russe, inspirée par les forces célestes, a frappé Uman, en Ukraine.

Pour le quidam occidental, ce nom n’évoque rien. En revanche, pour Jéhovah, c’est autre chose. Quand la Russie frappe Uman, même au hasard, elle est sûre de faire automatiquement un pogrom.

Le Monde, le journal des financiers juifs Pigasse et Niel, contient difficilement son émotion. Ne serait-ce que parce qu’il est mathématiquement certain que ses journalistes ont de la famille sur place.

La rédaction de cette feuille communautaire parisienne n’est pas la seule à accuser le coup.

La Russie frappe un immeuble résidentiel à Ouman, faisant 21 morts. Outre le fait qu’il s’agit d’un crime de guerre, l’ambassadeur d’Israël en Ukraine a souligné la « signification religieuse et culturelle particulière d’Ouman pour les Juifs ». C’est le lieu de sépulture de Nachman de Breslov, fondateur de la secte hassidique de Breslov.

Le juif Zelensky hurle de douleur.

La démolition des décombres à Uman, sur le site touché par le missile 🇷🇺, s’est poursuivie toute la journée. À l’heure actuelle, on dénombre 23 morts, dont quatre enfants.
Un missile 🇷🇺 sur Ouman, une ville absolument paisible, connue dans le monde entier pour accueillir chaque année des dizaines de milliers de pèlerins hassidiques… Seul le mal absolu peut déclencher une telle terreur against🇺🇦.
Aujourd’hui, notre armée de l’air a réussi à abattre la plupart des missiles russes – 21 sur 23 – sans quoi l’État terroriste 🇷🇺 aurait réussi à faire beaucoup plus de victimes, plus de vies. Cela prouve une fois de plus que nous ne pouvons arrêter la terreur et sauver les gens qu’avec des armes.

Le vieux Lévy souffle à pleins poumons dans son shofar de guerre.

Plus Lévy devient vieux, plus son sémitisme déborde sans aucun filtre. Là où jadis il aurait parlé de manière un peu plus cryptique, il donne libre cours à ses imprécations de membre de la caste des Lévites. Je le suspecte de vouloir finir ses derniers jours dans une yeshivah construite sur une fosse commune remplie des ossements d’enfants russes offerts en sacrifice à Moloch.

À présent, il appelle ouvertement les juifs à la guerre religieuse.

#Ouman n’est pas seulement une ville brillante de l’Ukraine. C’est la ville où est enterré le rabbin Nahman de Braslav. Et c’est, pour cette raison, un lieu saint pour la pensée juive. Ce que viennent de faire Poutine et les Russes est un crime, une profanation et une gifle pour tous les juifs du monde.

Voilà ce « haut lieu de la pensée juive ».

Un véritable ghetto dont les seules images puent déjà la transpiration rance des caftans usagés.

La seule vue de ces vieilles barbes graisseuses et de ces dentitions jaunies donne la nausée à n’importe quel être humain.

Vladimir Poutine n’est pas pour grand chose dans ce ciblage. Le pauvre homme n’a jamais identifié le péril mortel que représente le peuple de Satan sur terre et n’a jamais pris les mesures nécessaires à l’écrasement de ce péril sur le territoire russe.

En revanche, les échelons secondaires de l’État russe ont d’autres conceptions sur le sujet. L’armée russe en particulier a compris qu’il était temps d’envoyer un message aux fauteurs de guerre internationaux.

Cela fait suite à la tentative d’assassinat contre le président russe.

Nous commençons à parler sérieusement.

Le peuple élu doit sentir directement le coût de ses projets de guerre mondiale.

La mesure d’urgence à adopter par l’armée russe est de faire boucler les juifs qui se trouvent encore en Russie et de faire comprendre à leurs frères de race que la moindre provocation aura pour effet de voir quelques Hébreux casser leurs pipes sur le chemin de la Sibérie.

Il s’agit de rétablir un équilibre.

Les goyim ne comprennent pas ce qu’il se passe actuellement. Les juifs tentent de défaire l’échec de la révolution bolchevique initiée en 1918 et l’évincement du gouvernement soviétique par Staline à partir des années 1940 et enfin la victoire de la contre-révolution en 1992 qui a mené Vladimir Poutine au pouvoir et entraîné la chute du champion des juifs dans le pays, Boris Berezovsky.

Cette guerre est une opération trotskiste qui doit voir l’avènement à Moscou d’un gouvernement juif connecté à tous les autres situés à Paris, Londres et Washington.

Zelensky et ses assassins s’activent pour cette tâche en cherchant à assassiner Poutine.

Les juifs veulent rééditer ce qu’ils ont déjà commis contre Nicolas II et sa famille.

Le meurtre du Tsar a été ordonné par le rabbi Yankel Solomon dit « Sverdlov », commissaire bolchevique. Vous remarquerez qu’il pourrait parfaitement se fondre parmi les pèlerins d’Uman.

Le Tsar et sa famille avaient été acheminés sur le lieu de leur exécution par le bolchevique juif Shaya Itsikovich, dit « Goloshchyokin », responsable ultérieur de l’extermination de la paysannerie au Kazakhstan, laquelle fit 1,5 millions de morts.

Le chef des assassins, Yakov Yurovsky, était un juif de Tomsk.

Le Tsar est abattu en premier, sa femme ensuite. Les enfants, qui survivent à la fusillade, sont effroyablement assassinés à coups de baïonnette dans le visage et achevés au révolver.

Sur les murs de la pièce où furent sauvagement massacrés les membres, les juifs avaient inscrit une citation du poète juif Heinrich Heine.

Romanov Royal Martyrs :

Outre les traces de balles et de sang trouvées dans la cave de la maison Ipatiev, où le meurtre de la famille Romanov a eu lieu, les enquêteurs ont découvert divers graffitis sur le papier peint. Certains d’entre eux étaient des insultes à l’encontre de la famille Romanov et avaient manifestement été écrits avant le meurtre, lorsque la pièce accueillait les gardes rouges de la maison Ipatiev. D’autres étaient des dessins représentant Raspoutine et la tsarine dans des postures obscènes.

Les mots suivants ont également été trouvés sur un mur de la cave : « Belsatzar ward in selbiger Nacht / Von seinen Kuechter umgebracht » traduit par « Balthazar a été, la même nuit, tué par ses esclaves ».

Ces lignes sont adaptées du poème « Balthazar » du poète juif allemand Heinrich Heine (1797-1856). Le poème, d’inspiration biblique, évoque l’histoire du dernier roi de Babylone : Balthazar. Ce dernier avait manifesté sa profanation lors d’un dîner en utilisant des vases sacrés provenant du temple de Jérusalem. Le dîner fut alors interrompu par une main qui apparut et écrivit sur le mur ces mots : « Mané », « Thécel », « Pharès ».

Le prophète Daniel, appelé à la déchiffrer, comprit ces mots comme le prochain jugement du roi Balthazar et la conquête de son royaume. En effet, la nuit même, Balthazar fut tué par ses propres hommes et le royaume conquis par Cyrus.

La version allemande de « Balthazar » est « Belsazar » sans « t ». L’ajout de ce « t » révèle le mot « Tzar » (Belsatzar) et, par conséquent, le poème de Heine prend alors un sens fort à cet endroit.

La question de savoir qui a pu écrire ces mots reste sans réponse. La personne qui l’a fait devait être instruite et connaître parfaitement la langue allemande.

Plus tard, près des fenêtres de la cave, Nikolaï Sokolov, au cours de ses recherches, a également trouvé ces mots : « 24678 rous. of the year » « year 1918 » « 148467878 r’s « 878888 » et « polouverchok’s » ainsi que des signes/symboles sur le côté gauche. De nombreuses tentatives ont été faites pour déchiffrer ces signes, sans succès. Par exemple, en 1923, un homme appelé Enel a écrit dans un livre que ces signes mystérieux étaient des caractères secrets persans signifiant : « Ici, par des forces secrètes, le tsar a été offert en sacrifice pour que son pays soit détruit. Tous les peuples sont informés de cet événement. »

Ces inscriptions ont été conservées.

Le chef juif chargé de tuer la famille impériale par les juifs Lénine-Blank et Solomon « Sverdlov », Yurovsky, avait reçu une éducation religieuse juive. Toutes ces références à la Torah n’avaient aucun secret pour lui, ni pour aucun des bolcheviques juifs.

La référence à Cyrus n’est pas anodine.

Qu’a permis le première guerre mondiale, si ce n’est la destruction de la Russie tsariste et de l’empire ottoman, les deux forces qui faisaient obstacle à l’édification de l’état racial juif en Palestine ?

Quand on parle de la race juive, on doit toujours se souvenir que l’on parle de ce peuple-là :

Cette troisième guerre mondiale, comme la seconde, ne peut être comprise que comme une guerre juive pour la domination mondiale, laquelle s’inscrit dans le commerce kabbalistique qu’entretiennent secrètement les juifs. Sans prendre la mesure de cette dimension hébraïque, on ne peut rien saisir de ce qui se passe.

Mais les juifs cette fois ont surestimé leur main. Ce qui va tomber sur leurs crânes va les laisser stupéfaits. Quand cette guerre mondiale sera finie, il ne restera plus rien de leur puissance internationale. Sans le contrôle que la race juive exerce sur les démocraties, le juif devra faire face à l’humanité entière, seul. Le juif devra se cacher sous les pierres dans l’espoir vain d’échapper à la colère des peuples.

Il est parfaitement logique que leur puissance mondiale s’achève là où elle est née du meurtre rituel de la famille impériale russe.

C’est là que le fanatisme des juifs entre en scène. Le juif est incapable de prudence quand l’odeur du carnage effleure ses narines. Le sang goy le rend frénétique, ce qui le pousse à se dévoiler à mesure que la transe génocidaire le gagne. Il n’est jamais aussi sûr de lui et puant d’insolence que lorsqu’il est au bord du précipice.

Les juifs n’ont pas réellement compris le sens profond de la prophétie du Führer. Ils étaient convaincus que c’était une proclamation du passé. Ce qui est en mouvement ne peut plus être stoppé et la race juive va perdre l’envie de rire.

Aujourd’hui, c’est à notre tour d’inscrire des poèmes sur les murs à propos de ces juifs.

Le forum EELB sera prochainement de retour