Au Sénat, Darmanin confirme que la France est conquise et que c’est « trop tard »

La rédaction
Démocratie Participative
05 juillet 2023

 

J’ai mal à ma nationalité de papier.

L’insurrection raciale de la semaine dernière a ébranlé tous ces politiciens républicains qui voyaient sans voir, bottaient en touche, mettaient le foutoir racial sous le tapis.

Ils ne vont pas en tirer de conclusions utiles pour autant. Ils vont faire ce qu’ils ont toujours fait et se contenter de bavarder sur « l’intégration », c’est-à-dire payer le tribut au conquérant afro-musulman.

Les propos de Darmanin hier sont éclairants à ce sujet. Il a admis tout de go que c’est « trop tard » démographiquement :

La retranscription :

« 17 ans de moyenne, ça veut dire qu’ils sont nés sous la présidence de Jacques Chirac… ça veut dire que reprocher aujourd’hui… imaginer légiférer immédiatement sur une question migratoire me paraît déjà trop tard Madame la Sénatrice… »

Oui, c’est trop tard, l’invasion a déjà eu lieu.

Les conquérants ne sont pas stoppés, l’État, paralysé par l’idéologie des droits de l’homme qui le fonde depuis deux siècles, ne peut rien faire.

Les conquérants afro-musulmans ont aligné 250,000 insurgés pendant 5 jours pour 380 individus incarcérés

Il doit organiser le nouveau paradigme démographique et créer une réalité médiatique et institutionnelle parallèle à celle de la rue.

Sur la base des déclarations d’un ministre de l’intérieur en exercice, on peut extrapoler en disant que c’est également trop tard pour les Français de papiers qui naissent actuellement sous la présidence d’Emmanuel Macron. Or, comme nous le savons, nous sommes plus au moins autour de 40% de naissances non-blanches en France. C’est pour cela que je compte toujours ces naissances en nombre de divisions d’infanterie : 35 divisions par an, renforcées de 40 divisions supplémentaires chaque année par l’immigration à proprement parler, c’est 70 divisions au total qui déferlent annuellement en France.
On peut se mettre sous sédation et divaguer sur les « les élections », s’exciter en regardant CNews, déposer un cierge : la réalité, inamovible, est face à nous.
Comme lors des invasions germaniques, les politiciens gallo-romains doivent composer avec le conquérant tout en maintenant les masses de contribuables sous l’emprise de l’ancien système. Ils  continuent de jongler avec des mots d’une époque révolue qui ne veulent plus rien dire comme « intégration », « valeurs républicaines », face aux fureurs des allogènes irréductibles et enhardis par leur victoire.
Retailleau invoque la « nation » civilisatrice face aux « barbares » ethniquement conscients, pensant que ce grigri est opératif.

Paradoxalement, c’est la gauche radicale du frère trois points Mélenchon qui éteint les lumières de la Révolution.

Suivez-moi bien.

Au nom de la nation – républicaine – fondée sur l’égalité civique de Rousseau et son corollaire qu’est l’antiracisme, la gauche radicale défend l’ultra-racialisme allogène sur le terrain, légitimé au nom d’une lutte contre l’État républicain « raciste », ce qui revient paradoxalement à enterrer Valmy.

Inversement et au nom du même nationalisme de gauche, Retailleau, monarchiste vendéen, convoque la « nation » de Valmy pour juguler le racialisme allogène et remettre les métèques sur les rails de la nation métisse.

Ces gens ont le même référentiel historique, Valmy, mais en viennent à des conclusions diamétralement opposées.

C’est le naufrage de 1789.

Ces conquérants ne veulent clairement rien à voir à faire avec les mangeurs de porcs. Ils sont les nouveaux maîtres, pourquoi négocier ou faire semblant de respecter des règles qu’ils n’ont pas écrites ?

La Révolution Française, avec ses concepts impossibles d’égalité et d’universalité, agonise sous le poids de la démographie non-blanche que ses abstractions constitutionnelles ne peuvent araser.

L’égalité est un mensonge, tout comme l’universalisme, et les droits de l’homme sont une fiction pour enfants manipulée cyniquement par les juifs.
La révolution raciale et inégalitaire de 1933 triomphe chaque jour un peu plus des hallucinations de Rousseau.

Certes, elle ne triomphe pas au sens où on aurait pu l’espérer, consciemment au terme d’une révolution identique à celle de 1933. Elle triomphe par défaut.

La droite française, infectée de républicanisme depuis 1944 et la victoire du gaullisme, ne peut pas riposter. Il lui faudrait bazarder 1789, 1944, les droits de l’homme. C’est une impossibilité métaphysique pour elle.

Elle se replie sur résistance par la tranche de jambon.

Seule une nouvelle SS, c’est-à-dire une organisation raciste révolutionnaire, pourrait affronter un tel péril. Dans le cadre français actuel, c’est impossible. La France démocratique est répugnée par tout sursaut aristocratique et préfère cuire à petit feu avec ses sauvages mélanisés.

Il faut un basculement préalable avant que des organisations racistes – pas seulement « nationalistes » – puissent se former.

Tant que le cadre actuel existe, cette société paralysée par ses contradictions internes continuera de s’enfoncer par la lâcheté de ses chefs, la fainéantise de la plèbe, l’inertie d’une population devenue sénile.

Ces temps sont des temps d’épuration raciale et de renforcer des corps et des esprits, mais ce ne sera pas une promenade de santé.

Le Forum EELB sera prochainement de retour