Bernard-Henri Lévy annonce l’expulsion de la Russie de l’ONU

La rédaction
Démocratie Participative
20 mai 2023

Le ministre des Affaires étrangères français vient d’annoncer l’exclusion de la Russie de l’ONU.

Bernard-Henri Lévy détaille son plan.

Le Point :

Sortie de mon film, Slava Ukraini, aux États-Unis.

Tournée de lancement à Los Angeles, Washington, Chicago, Philadelphie, New York.

Et avant-première aux Nations unies où je pose la question qui brûle les lèvres de ceux que révolte l’impunité des crimes commis en Ukraine : ce fameux droit de veto qui permet à la Fédération de Russie de bloquer toute résolution la condamnant et, donc, de paralyser l’institution.

Cette monstrueuse absurdité remonte, dit-on toujours, aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale et à la décision d’offrir aux cinq vainqueurs, URSS comprise, un statut de membre permanent, avec droit de veto afférent, au sein du Conseil de sécurité de l’ONU, nouvellement créée.

Sauf qu’il y a un autre événement, dont on parle plus rarement, et qui est moins glorieux.

Nous sommes le 21 décembre 1991.

L’URSS est sur le point d’être officiellement dissoute.

Onze des quinze États issus de cette dissolution, et désormais souverains, se réunissent à Alma-Ata, au Kazakhstan.

Ils sont là pour se partager les dépouilles de l’entité défunte et savoir, en particulier, auquel d’entre eux ira le précieux siège de membre permanent.

Et la réponse vient, après quelques heures de débat, sous la forme d’une simple lettre adressée au secrétaire général des Nations unies par Boris Eltsine et qui dit en substance : « Nous, nations issues de l’ancien empire soviétique et désormais constituées en Communauté d’États indépendants (CEI) avons délibéré et j’ai l’honneur de vous notifier que c’est la Fédération de Russie qui succède à l’URSS, reprend son siège aux Nations unies et se verra désormais reconnaître les droits qui y étaient attachés. »

Le récipiendaire de la notification aurait pu observer que rien, dans la Charte, ne permet à un groupe d’États de disposer ainsi d’un siège de membre permanent et d’en faire l’objet d’on ne sait quel marchandage.

On aurait pu objecter que la notion même d’État successeur (dans les « Alma-Ata Papers » : « successor state ») n’apparaît dans aucun texte et n’a aucune valeur juridique.

On aurait pu noter que, d’un point de vue légal, aucun des onze États qui viennent de prendre, en catimini, cette décision unilatérale, n’est encore, à cette date, formellement membre de l’ONU et que l’URSS, je le répète, ne sera officiellement dissoute que plusieurs jours plus tard.

On aurait dû, devant la nouveauté de la situation et, surtout, l’énormité des enjeux (fut aussi décidé, ce jour-là, bien avant le mémorandum de Budapest, la mise sous commandement russe des armes nucléaires disséminées sur les territoires ex-soviétiques) exiger que soit au moins organisé un débat à l’Assemblée générale.

Mais non.

Rien de cela ne fut fait. On entérina sans discussion la notification eltsinienne et la captation d’héritage qu’elle impliquait.

C’est par des articles de presse que nombre de pays membres apprirent la nouvelle de ce tour de passe-passe.

Mais le résultat de cette étrange séquence, c’est qu’on a beau chercher, fouiller dans les archives : ce statut de membre permanent octroyé à la Russie et le droit de veto qui y est attaché, il n’existe aucun texte qui les fonde ; ils n’ont ni base légale ni légitimité d’aucune sorte ; et la Fédération de Russie terrorise le monde depuis trente ans avec un droit dont elle s’est indûment emparée.

La légalité internationale, c’est important pour lutter contre la terreur d’état.

Pour les goyim, j’entends.

D’où l’idée que j’ai brièvement évoquée, ce soir-là, depuis la tribune, aux côtés des ambassadeurs de France et d’Ukraine, et que je lance ici.

Que les Nations unies d’aujourd’hui rouvrent le dossier. Qu’elles réexaminent le coup de force originaire sur lequel se sont bâtis l’ordre et le désordre contemporains.

Et que, considérant la constance avec laquelle la Fédération de Russie a, de Boutcha à Marioupol en passant par les déportations d’enfants du Donbass, bafoué les idéaux fondateurs onusiens dont un membre permanent du Conseil de sécurité devrait, plus que tout autre, être le garant, elles révoquent sans regret un droit que Eltsine et Poutine se sont, je le répète, accaparé sans titre.

Qu’adviendra-t-il, alors, du pacte de 1945 et de l’héritage de la « Grande Guerre patriotique » ?

Bonne question !

Qui va récupérer le siège de l’Union Soviétique puisque la Russie ne peut plus y prétendre ?

Et surtout, par quel mérite le candidat pourrait bénéficier de l’héritage de l’état bolchevique ?

Monsieur Lévy a la réponse, d’une évidente simplicité.

Eh bien, on rappellera encore le droit égal qu’avaient les onze d’Alma-Ata à prétendre à l’héritage de la feue URSS.

On se souviendra que le Premier Front ukrainien où les soldats ukrainiens étaient, comme son nom l’indique, massivement représentés, prit plus que sa part dans cette guerre et que c’est lui qui, par exemple, libéra le camp d’extermination d’Auschwitz.

On observera que, s’il y a un pays où, dans l’espace de l’ancienne URSS, revivent, en ce moment même, les valeurs de l’antinazisme, c’est l’Ukraine de Volodymyr Zelensky.

Et on en conclura que c’est à l’Ukraine que, dans le monde du nouvel après-guerre qui se prépare, en ce moment même, sous nos yeux, pourraient et devraient revenir les droits de la Russie déchue.

Ha !

C’est tout à fait intéressant, pertinent, exact.

Dans l’ordre des démocraties juives, Auschwitz dispense la légitimité d’un état ou la lui retire !

L’Ukraine de Zelensky incarne parfaitement les valeurs judéo-bolcheviques de l’anti « nazisme ».

La viande d’Azov actuellement broyée pour le triomphe de ces valeurs n’est pas perdue en vain !

C’est même beaucoup mieux que cela, car cette correction permettrait de donner raison à titre posthume à Lev Bronstein dit « Trotsky » contre le Géorgien Staline. En démolissant la Fédération de Russie et en privant Moscou de l’héritage de la révolution bolchevique, l’Ukraine trotskiste de Zelensky offrirait à Jéhovah la victoire historique si longuement attendue contre le gangster du Caucase.

Retirer à la Fédération de Russie son siège de membre permanent : le droit le veut.

Transférer ce droit à l’Ukraine : la mémoire le permet ; la morale le souhaite ; et un grand débat entre nations souveraines et unies pourrait le décider.

Voilà.

Le débat a déjà eu lieu et Bernard-Henri Lévy nous en informe.

J’y suis à 100% favorable. L’ONU n’y survivrait pas et avec elle, le résultat de 1945 non plus.

Nous assistons à la destruction de Yalta et les juifs, dans leur hubris, nous offre sur un plateau d’argent ce bouleversement si longuement attendu par les fascistes européens.

Je l’ai déjà dit, mais les Russes, accrochés à leur victoire de 1945 – victoire impossible sans l’aide décisive de l’Amérique juive !

Radio Free Europe :

Le 24 février 1943, un avion de transport Douglas C-47 Skytrain portant le numéro de série 42-32892 est sorti de l’usine de Long Beach, en Californie, et a été remis à l’armée de l’air américaine.

Le 12 mars 1943, l’avion a été remis à l’armée de l’air soviétique à Fairbanks, en Alaska, et a reçu l’immatriculation USSR-N238. De là, il a parcouru 5 650 kilomètres jusqu’à la ville sibérienne de Krasnoïarsk. Il s’agit de l’un des quelque 14 000 avions envoyés par les États-Unis à l’Union soviétique pendant la Seconde Guerre mondiale dans le cadre du vaste programme de prêt-bail.

Ce C-47 particulier a été envoyé dans le Grand Nord et a passé la guerre à effectuer des missions de reconnaissance et de surveillance météorologique au-dessus de la mer de Kara. Après la guerre, il a été transféré à l’aviation civile, transportant des passagers au-dessus de la toundra gelée du cercle polaire arctique. Le 23 avril 1947, il est contraint d’effectuer un atterrissage d’urgence avec 36 personnes à bord près du village de Volochanka, sur la péninsule de Taïmyr.

Le 11 mai 1947, 27 personnes ont été secourues après avoir passé près de trois semaines dans l’épave prise dans les glaces. Le capitaine, deux membres d’équipage et six passagers étaient partis plus tôt dans une tentative malheureuse d’obtenir de l’aide. Le corps du capitaine, Maksim Tyurikov, a été retrouvé par des chasseurs locaux à environ 120 kilomètres de l’épave en 1953. Les autres n’ont jamais été retrouvés.

L’avion a passé 69 ans dans la toundra avant qu’une expédition de la Société géographique russe ne le sauve en 2016 et ne ramène l’épave à Krasnoïarsk.

« Je savais que sa place était dans un musée », a déclaré à l’époque à RFE/RL Vyacheslav Filippov, colonel de la réserve de l’armée de l’air russe, qui a beaucoup écrit sur les liens entre le programme Lend-Lease et la Sibérie. « Il ne s’agit pas d’un simple morceau de ferraille. C’est notre histoire vivante. Ce Douglas est le seul avion du programme Lend-Lease qui reste en Russie. »

On estime que 25 millions de citoyens soviétiques ont péri dans le conflit titanesque qui les a opposés à l’Allemagne nazie entre juin 1941 et mai 1945. Après avoir subi des défaites massives et des pertes colossales au cours des 18 premiers mois de la guerre, l’Armée rouge a pu se réorganiser et se reconstruire pour former une armée puissante qui a marché jusqu’à Berlin. Mais l’Union soviétique n’a jamais été seule : Plusieurs mois avant que les États-Unis n’entrent officiellement en guerre, ils avaient déjà commencé à fournir une aide militaire et économique massive à leur allié soviétique par le biais du programme Prêt-Bail.

Depuis le début de la guerre froide jusqu’à aujourd’hui, de nombreux responsables politiques soviétiques et russes ont ignoré ou minimisé l’impact de l’aide américaine aux Soviétiques, ainsi que l’impact de l’ensemble de la guerre américano-britannique contre les nazis.

Un rapport soviétique rédigé en 1948 par Nikolaï Voznesensky, membre du Politburo, affirme que les États-Unis, décrits comme « le chef du camp antidémocratique et le guerrier de l’expansion impérialiste dans le monde », ont fourni pendant la guerre du matériel qui ne représentait que 4,8 % de la production de guerre de l’Union soviétique.

La Short History Of The Great Patriotic War, qui date également de 1948, reconnaît l’existence des envois de Lend-Lease, mais conclut : « Dans l’ensemble, cette assistance n’a pas été suffisamment importante pour exercer une influence décisive sur le cours de la Grande Guerre patriotique. »

Nikolai Ryzhkov, le dernier chef du gouvernement de l’Union soviétique, a écrit en 2015 que « l’on peut affirmer en toute confiance que [l’aide de Prêt-Bail] n’a pas joué un rôle décisif dans la Grande Victoire ».

De telles évaluations sont toutefois contredites par les opinions des participants soviétiques à la guerre. Le plus célèbre d’entre eux, le dictateur soviétique Josef Staline, a porté un toast au programme de prêt-bail lors de la conférence de Téhéran de novembre 1943 avec le Premier ministre britannique Winston Churchill et le président américain Franklin Roosevelt.

« Je veux vous dire ce que, du point de vue russe, le président et les États-Unis ont fait pour la victoire dans cette guerre », a déclaré Staline. « Les choses les plus importantes dans cette guerre sont les machines…. Les États-Unis sont un pays de machines. Sans les machines que nous avons reçues grâce au prêt-bail, nous aurions perdu la guerre« .

Nikita Khrouchtchev est du même avis.

« Si les États-Unis ne nous avaient pas aidés, nous n’aurions pas gagné la guerre« , écrit-il dans ses mémoires. « En tête-à-tête avec l’Allemagne hitlérienne, nous n’aurions pas résisté à ses assauts et aurions perdu la guerre. Personne n’en parle officiellement, et Staline n’a jamais, je crois, laissé de traces écrites de son opinion, mais je peux dire qu’il a exprimé ce point de vue à plusieurs reprises dans des conversations avec moi ».

La loi sur le prêt-bail, promulguée en mars 1941, autorise les États-Unis à fournir des armes, des provisions et des matières premières aux pays stratégiquement importants qui luttent contre l’Allemagne et le Japon – principalement le Royaume-Uni, l’Union soviétique et la Chine. Au total, les États-Unis ont expédié pour 50 milliards de dollars (608 milliards de dollars en 2020) de matériel dans le cadre de ce programme, dont 11,3 milliards de dollars à l’Union soviétique. En outre, une grande partie de l’aide envoyée au Royaume-Uni, d’une valeur de 31 milliards de dollars, a également été transmise à l’Union soviétique par le biais de convois transitant par la mer de Barents jusqu’à Mourmansk.

De manière plus visible, les États-Unis ont fourni à l’Union soviétique plus de 400 000 jeeps et camions, 14 000 avions, 8 000 tracteurs et véhicules de construction et 13 000 chars de combat.

Cependant, la véritable importance du prêt-bail pour l’effort de guerre soviétique réside dans le fait qu’il couvrait les « points sensibles » de la production soviétique : l’essence, les explosifs, l’aluminium, les métaux non ferreux, les communications radio, etc, explique l’historien Boris Sokolov.

« Dans une hypothétique bataille en tête-à-tête entre l’URSS et l’Allemagne, sans l’aide du prêt-bail et sans le détournement d’importantes forces de la Luftwaffe et de la marine allemande et le détournement de plus d’un quart de ses forces terrestres dans la lutte contre la Grande-Bretagne et les États-Unis, Staline aurait difficilement pu battre Hitler« , écrit Sokolov dans un essai pour le service russe de RFE/RL.

Dans le cadre du programme de prêt-bail, les États-Unis ont fourni plus d’un tiers de tous les explosifs utilisés par l’Union soviétique pendant la guerre. Les États-Unis et le Commonwealth britannique ont fourni 55 % de l’aluminium utilisé par l’Union soviétique pendant la guerre et plus de 80 % du cuivre.

Le programme Lend-Lease a également permis d’envoyer du carburant d’aviation équivalant à 57 % de la production de l’Union soviétique. Une grande partie du carburant américain a été ajoutée au carburant soviétique de qualité inférieure pour produire le carburant à haut indice d’octane nécessaire aux avions militaires modernes.

Le programme Lend-Lease a également fourni plus de 35 000 postes de radio et 32 000 motos. À la fin de la guerre, près de 33 % de tous les véhicules de l’Armée rouge avaient été fournis par le programme Lend-Lease. Plus de 20 000 lance-roquettes multiples mobiles Katyusha ont été montés sur le châssis de camions américains Studebaker.

En outre, le programme Lend-Lease a soutenu le système ferroviaire soviétique, qui a joué un rôle fondamental dans le déplacement et l’approvisionnement des troupes. Le programme a envoyé près de 2 000 locomotives et d’innombrables wagons couverts en Union soviétique. En outre, près de la moitié des rails utilisés par l’Union soviétique pendant la guerre provenaient du programme Lend-Lease.

« Il convient de rappeler que pendant la Première Guerre mondiale, la crise des transports en Russie en 1916-17, qui a largement contribué à faciliter la révolution de février [qui a conduit à l’abdication du tsar], a été causée par une pénurie de rails de chemin de fer, de moteurs et de wagons de marchandises parce que la production industrielle avait été détournée vers les munitions », a écrit M. Sokolov. « Pendant la Seconde Guerre mondiale, seules les fournitures apportées par le programme Prêt-Bail ont empêché la paralysie du transport ferroviaire en Union soviétique.

Le programme de prêt-bail a également permis d’envoyer des tonnes d’équipements d’usine et de machines-outils en Union soviétique, dont plus de 38 000 tours et autres outils pour le travail des métaux. Ces machines étaient de meilleure qualité que les machines analogues produites en Union soviétique, ce qui a largement contribué à stimuler la production industrielle soviétique.

L’aide américaine a également fourni 4,5 millions de tonnes de nourriture, 1,5 million de couvertures et 15 millions de paires de bottes.

« Pour évaluer réellement l’importance du prêt-bail dans la victoire soviétique, il suffit d’imaginer comment l’Union soviétique aurait dû se battre s’il n’y avait pas eu l’aide du prêt-bail », a écrit M. Sokolov. « Sans cette aide, l’Armée rouge n’aurait pas disposé d’un tiers de ses munitions, de la moitié de ses avions ou de la moitié de ses chars. En outre, il y aurait eu des pénuries constantes de transport et de carburant. Les chemins de fer se seraient périodiquement arrêtés. Les forces soviétiques auraient été beaucoup moins bien coordonnées en raison d’un manque constant d’équipements radio. Et elles auraient été perpétuellement affamées sans les conserves de viande et les graisses américaines ».

En 1963, le KGB a enregistré les propos du maréchal soviétique Georgy Zhukov : « Les gens disent que les alliés ne nous ont pas aidés. Mais on ne peut nier que les Américains nous ont envoyé du matériel sans lequel nous n’aurions pas pu constituer nos réserves ou poursuivre la guerre. Les Américains nous ont fourni des explosifs et de la poudre à canon indispensables. Et quelle quantité d’acier ! Aurions-nous pu mettre en place la production de nos chars d’assaut sans l’acier américain ? Et maintenant, ils disent que nous avions tout ce qu’il fallait par nous-mêmes ».

Sans la production américaine, l’Armée rouge n’aurait jamais eu la quantité d’avions et de chars et la mobilité nécessaires pour affronter la Wehrmacht.

La victoire de l’Allemagne aurait été scellée en 1943.

Notre monde serait très différent de l’actuel. L’Europe serait la première puissance du monde, la race blanche plus forte que jamais.

À la place, nous avons Château-Rouge.

Les Russes étaient confiants dans le fait de pouvoir paisiblement bénéficier des royalties de 1945 pour les siècles des siècles.

En résistant au diktat des juifs sur l’Ukraine, Vladimir Poutine a, paradoxalement, liquidé l’héritage soviétique auquel il fait constamment référence pour justifier de la position de la Russie dans le monde. Cette position ne se maintenait que d’un commun accord avec les juifs au sein de l’ONU, organisation antifasciste constituée explicitement sur la défaite de l’Allemagne nationale-socialiste et de l’Axe, édifiée sur le tribunal militaire de Nuremberg et la proclamation antiraciste de la charte de l’ONU.

Les juifs, qui veulent annexer les richesses immenses de la Sibérie, ont donc résilié le contrat de la Russie. Puisqu’elle doit être conquise et démantelée entre grands hiérarques juifs internationaux, l’héritage soviétique anti-hitlérien si nécessaire à la justification de la réduction en esclavage de la race blanche doit être transféré à un légataire casher, en l’occurrence l’Ukraine de Zelensky.

C’est simple, net et cohérent. Et aussi prévisible.

L’ONU va s’effondrer et avec elle, l’ordre juif mondial. L’Asie dominée par la Chine va achever cette destruction de l’ordre démocratique et nous, en Europe, nous retrouverons avec le résultat de l’échec historique des juifs : des masses colossales de migrants du tiers-monde et la ruine économique.

Comme l’ONU, les anciens états-nations vont disparaître, concassés racialement et religieusement de l’intérieur, mortellement appauvris par la voracité illimitée des financiers juifs.

Mais ce n’est pas une raison pour désespérer, bien au contraire. Il faut que le monde ancien disparaisse pour que le nouveau advienne. Le Christ est mort sur la croix aux alentours de 30 après JC, mais son groupe religieux n’a conquis l’état romain que près de quatre siècles plus tard avec l’édit de Théodose. Cette religion n’était pratiquée que par 10% de la population de l’empire romain à ce moment. C’est donc une minorité agissante, déterminée, dominatrice qui a imposé sa volonté.

Le Manifeste de Marx est paru en 1848, mais Lénine n’a triomphé qu’en 1918, 80 ans après sa parution. Les Bolcheviques, ultra-minoritaires, s’emparèrent de l’immense empire des Tsars et avec lui, purent établir l’état totalitaire communiste dont les juifs avaient toujours rêvé. Cet état est resté debout 70 ans, 150 ans après la parution du Manifeste. Encore aujourd’hui, quoique mortellement convaincue d’absurdité, le millénarisme marxiste continue de ronger l’Occident.

Le chef du monde blanc, Adolf Hitler, a posé les jalons de la nouvelle ère de l’Europe il y a moins d’un siècle en fondant le NSDAP, en 1919. L’homme marchait encore sous notre soleil il y a 78 ans.

C’est avec confiance que le combattant aryen regarde le soleil, en sent la chaleur et dit « comme sur le mien, ce soleil a brillé sur le front d’Adolf Hitler ! ».

Cette réalité palpable ne demande qu’à reprendre vie, il suffit d’en avoir la volonté.

Et, contrairement aux hallucinations du marxisme et à la démagogie démocratique, le réalisme racial hitlérien repose sur l’observation des lois immuables de la nature et l’adaptation des lois de l’État à cette réalité éternelle dans un esprit que l’histoire ne peut abattre puisqu’il procède de l’étude de l’histoire. La force politique qui s’appuie sur les lois éternelles de la nature bâtit avec du marbre, ce qu’il construit ne meurt jamais.

Construire l’empire aryen, voilà le projet. Seulement, ce projet entraîne l’opposition de toutes les forces conservatrices de l’ère ancienne, de l’extrême-gauche à l’extrême-droite, de toutes les églises et philosophies qui ne peuvent penser un monde nouveau, pire, en rejette le principe.

Il en va toujours ainsi. Quand l’ère des états-nations a surgi en 1789 sur la scène du monde, la coalition de toutes les monarchies s’est mobilisée et a fini par écraser l’état révolution français, mais pas l’idée. Les masses étaient en mouvement, habilement travaillées par des écrivains, des orateurs, des hommes politiques. En 1848, l’Europe entière était à nouveau en proie aux flammes de la révolution démocratique. À chaque fois, l’idée faisait un progrès nouveau et s’annexait de nouveaux pans des masses.

Prêcher l’idée, c’est la première tâche. Ensuite viennent les formes politiques concrètes qui mettent en pratique l’idée. Sans avoir un segment des masses acquises aux éléments basiques de l’idée, rien ne peut être réalisé.

L’idée raciale, si sauvagement combattue par les forces barbares de l’obscurantisme égalitaire, ne peut que progresser dans une société ayant contracté la syphilis du chaos multiethnique.

Les combattants à la swastika entreprennent une tâche herculéenne, mais, à la différence des opportunistes et des gens du passé, leur action est calquée sur la mécanique de l’univers, adossée à ses règles éternelles. Avec un appui comme le cosmos, nul n’a à craindre. Rien ni personne ne peut empêcher le soleil de se lever, l’ennemi peut seulement séquestrer sa victime dans une pièce obscure et prétendre que l’aube n’est pas encore là.

Le forum EELB sera prochainement de retour