Bordeaux : les féministes déploient une unité spécialement chargée de castrer les hommes (blancs)

La rédaction
Démocratie Participative
03 avril 2023

Il est temps d’être un vrai homme et d’assumer vos responsabilités.

En vous castrant.

Les journalistes français vous en disent plus.

Sud Ouest :

La contraception masculine, taboue voire moquée jusque tout récemment, gagne du terrain. Illustration, un lundi soir, au Planning familial de Bordeaux, tout près de la gare Saint-Jean. L’initiative est toute récente : depuis février, chaque mois, une permanence sur les contraceptions testiculaires réunit des usagers ou prétendants (1). L’affluence témoigne d’un engouement notable : il faut dégainer de nouvelles chaises, étendre le cercle. Des hommes viennent raconter leur expérience, poser des questions ou se refiler des tuyaux, en compagnie d’un représentant du corps médical. Au centre, une table rassemble tracts et quelques curieux objets : des anneaux en silicone ou une sorte de harnais.

Les féministes du Planning familial bordelais vous attendent aussi.

Elles ont des tas d’instruments de torture innovants pour vous castrer.

Chez ces messieurs, la contraception avance. « Cela a beaucoup bougé grâce à un ensemble d’évènements, explique Stéphanie Dupin, codirigeante de la coopérative d’origine bordelaise Entrelac, œuvrant à l’équité contraceptive. La mise sur le marché, pendant un temps, de l’anneau andro-switch a été un tournant en 2020. Cela a coïncidé avec l’émergence de nouvelles générations, les « no pills » qui souhaitent s’écarter de tout ce qui est traitement hormonal. Le mouvement MeToo, très actif sur la question du viol et des agressions sexuelles, en a aussi profité pour parler de tout le reste… »

Dans la salle du Planning familial, Morgan, circassien d’une vingtaine d’années, s’est mis au « thermique » depuis une quinzaine de jours. C’est un anneau en silicone qui remonte les testicules, perturbant ainsi la production de spermatozoïdes, ces derniers étant soumis à une augmentation de température. Devant être porté quinze heures par jour, l’effet contraceptif apparaît au bout de trois mois. Le procédé n’est donc pas sans contrainte et pourtant, il se répand. On compterait désormais une dizaine de milliers d’usagers en France. « Cela faisait un bout de temps que je m’y intéressais, livre Morgan. Ce n’est pas à ma copine d’assurer tout, toute seule. »

Vous allez vous faire bouillir les testicules, les mascus.

C’est fini l’oppression.

L’anneau se propage, bien que les autorités de santé françaises ne le reconnaissent pas encore « comme fiable et sans danger à long terme ». Il lui manque la certification CE (Communauté européenne) que la société Entrelac espère obtenir d’ici 2027. En attendant, il se trouve assez facilement en farfouillant sur le Net où l’on peut également trouver des notices de fabrication d’un « jock-strap », un harnais textile accouchant des mêmes effets.

Devant Mathieu et sa compagne, venus se renseigner ce soir-là, Nathanaël évoque carrément un épanouissement depuis qu’il utilise la méthode thermique. « En fait, je me sens vachement grandi, j’ai l’impression d’avoir passé un cap, explique-t-il. Depuis que je porte l’anneau, il me semble mieux connaître mon corps. » Il l’enfile la journée, le retire la nuit. C’est devenu « une routine. » « Et franchement, le port des lunettes m’emmerde plus que de le mettre, lui », assure-t-il.

« En fait, je me sens vachement grandi, j’ai l’impression d’avoir passé un cap, explique-t-il. Depuis que je porte l’anneau, il me semble mieux connaître mon corps. »

L’anneau est en vogue donc, mais les stérilisations masculines grimpent tout autant. Selon les derniers chiffres transmis par l’Assurance-maladie en 2022, le nombre de vasectomies remboursées en France a été multiplié par douze sur la dernière décennie, passant de 1908 en 2010 à 23 306 en 2021. Jusqu’à présent, en compagnie du port du préservatif et du retrait avant éjaculation, c’est la seule méthode de contraception pour hommes validée par la Haute Autorité de santé. Les autres sont qualifiées de « pistes ». Marien, 32 ans, a passé le cap il y a quelques mois pour être finalement stérilisé depuis début février. Ce « choix radical », conséquence d’un « cheminement », il l’a fait après avoir évalué les options possibles, intimement « persuadé de ne pas vouloir d’enfants. »

Les Vikings n’étaient pas vasectomisés

« Je me suis interrogé sur « le faire famille », « le faire couple », toutes ces questions existentielles que l’on peut se poser à la trentaine », raconte-t-il. Prévoyant, Marien a malgré tout effectué un dépôt de son sperme au Cecos (Centre d’étude et de conservation des œufs et du sperme humain) au cas où le désir paternel se manifesterait plus tard.

Tu aurais pu garder tes testicules sinon, c’était gratuit.

Devant les autres hommes et quelques femmes réunis ce lundi soir au Planning familial, et malgré le coût élevé de son opération réalisée en clinique (750 euros de sa poche), il se montre serein : « C’était un petit peu désagréable les premiers jours, je n’ai pas pu faire de sport ni avoir de rapport sexuel durant trois semaines, mais je ne regrette rien. »

Les féministes blanches veulent sortir les mâles beta du pool génétique pendant que les frontières sont grandes ouvertes aux conquérants du tiers-monde.

Elles attendent avec impatience d’être sauvagement violées par le patriarcat afro-maghrébin.

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