Bretagne : deux Ukrainiens fraîchement débarqués lynchent un random (« On voulait lui porter secours »)

La rédaction
Démocratie Participative
03 mai 2023

Nous avons des Ukrainiens en France qui sont actuellement occupés à se saouler et tabasser au hasard des gens dans la rue.

Actu.fr :

Pourquoi tant de violence dans la nuit de samedi 29 à dimanche 30 avril 2023 en plein centre-ville de Pont-l’Abbé (Finistère) ?

Le procès des deux suspects, mardi 2 mai au tribunal de Quimper, n’a pas permis de répondre à cette question.

La victime, un jeune homme, était présent à l’audience. Les yeux injectés de sang, il porte des bleus sur le front et sous les deux yeux. Son genou droit, très gonflé, est maintenu dans une atèle.

Pendant deux heures, il a fait face à ses deux agresseurs dans le box du tribunal. L’un a 25 ans ; l’autre, 33 ans. Ils sont de nationalité ukrainienne. Ils ont fui la guerre.

Ces deux fils de pute n’ont pas fui la guerre, ils ont déserté.

Tous les hommes d’Ukraine ont interdiction de quitter le territoire ukrainien. Même selon les standards officiels du gouvernement ukrainien, ce sont des fils de pute pour cette raison.

Du Mali à l’Ukraine en passant par l’Algérie, la France parvient à aimanter la pire chiure humaine en circulation sur la planète.

La lecture des violences par Lucile Chaussade s’est faite dans un silence pesant. La présidente du tribunal a décrit un véritable « lynchage au sol » : « Cela s’est passé en deux temps. Vous avez été roué de coups, au sol, une première fois. Vous avez essayé de vous enfuir et les deux autres vous sont retombés dessus et vous ont frappé à nouveau. »

Le jeune homme n’a pas de souvenir. « C’est le black out. » Vers 2h, il sortait d’un bar lorsqu’il a croisé la route de ses agresseurs.

Il a fallu l’intervention d’une automobiliste, place Gambetta, vers 2h40 pour que le passage à tabac s’arrête. La victime a-t-elle été tractée au sol avec sa ceinture autour du cou ? « Je ne m’en souviens pas. »

Il s’est réveillé le lendemain à l’hôpital, avec des dents cassées, la rotule fracturée. En tout, il a reçu 10 jours d’incapacité totale de travail.

Mécanicien, il a aussi « un mois et demi d’arrêt de travail ».

Les prévenus n’ont fourni aucune explication. Si ce n’est une version difficile à entendre. « Nous voulions l’aider, lui porter secours. »

Ça n’a pas convaincu le parquet.

« Quelle indignité ! Quelle froideur, quel cynisme alors qu’il s’agit de violence à l’état pur. »

Le 29 avril, ils avaient passé une bonne partie de leur journée à boire. Au petit matin, ils affichaient encore 1,70 g et 2,30 g d’alcool par litre de sang.

En Ukraine, les deux hommes travaillaient dans le bâtiment. Ils sont venus en France via les Pays-Bas.

Leur arrivée au centre des réfugiés de Pont-l’Abbé remonte « à une quinzaine de jours ». Leur casier est vierge.

La défense s’est attachée à mettre en avant les zones d’ombre du dossier. Me Anne Guillerme pour le plus âgé : « Cela s’est passé la nuit. Ce ne sont pas les seuls Ukrainiens à Pont-l’Abbé. Ils ont pour habitude de s’alcooliser en groupe. Et dans cette affaire, il n’y a pas de témoignage direct. Mais la seule parole de la victime. »

Me Sophie Ameline de Cadeville, pour le second : « Est-ce bien eux qui ont commis ces violences ? Pourquoi n’ont-ils pas quitté les lieux ? Il y a un réel doute. » Elles ont plaidé la relaxe.

Conformément aux réquisitions du parquet, les deux prévenus ont écopé de 18 mois de prison ferme. Ils ont été maintenus en détention.

Ils ont interdiction de séjourner dans le Finistère pendant cinq ans.  

Comme d’ordinaire, ces bâtards ne sont même pas expulsés et se voient au contraire gratifier d’un séjour en colonie de vacances dans une prison française.

Ces chiens devraient immédiatement être remis aux autorités ukrainiennes pour aller servir dans l’armée de Zelensky, en première ligne.

Même ça, le régime de Macron en est incapable.

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