Ce Français tout juste arrivé au Japon est catégorique : il y faut beaucoup plus de migrants

La rédaction
Démocratie Participative
23 mai 2024

 

Pourquoi ce type a-t-il choisi de faire deux ans d’études au Japon et non pas en Algérie ? Mystère.

– En France, il y a beaucoup de migrants. Qu’en pensez-vous ? Est-ce un problème ou bien trouvez-vous ça bien ?

– C’est vraiment bien. Je pense que le Japon devrait en avoir plus.

Il faut parler du péril que représente l’expat français moyen.

Arrive au Japon depuis Paris, veut immédiatement rendre le pays moins japonais.

Les émigrés français guéris du virus gauchiste ne représentent qu’une fraction très marginale du lot. On peut évaluer à 5% leur nombre. Le reste est un mélange de mélenchonistes particulièrement véhéments et de macronistes, un macroniste n’étant qu’un mélenchoniste avec un revenu de cadre supérieur.

Plus précisément, les femmes blanches sont mélenchonistes et les hommes macronistes.

C’est ridicule.

L’expatriée française moyenne au Japon n’y est que parce qu’un organisme de tutelle français l’y a collée. C’est donc, sous une forme ou sous une autre, une fonctionnaire. Toujours.

Avec le statut de la fonction publique viennent les certitudes bétonnées que porte en lui tout missionnaire républicain. Il est faux de croire que les Français ont abandonné l’idée coloniale de Jules Ferry. C’est devenu leur identité nationale.

La chieuse française subventionnée à ne rien foutre passera ses journées à s’indigner du fait que le Japon n’est pas la France. C’est quelque chose qu’elle ne parviendra jamais à se représenter mentalement et qui la met très en colère. Généralement agglutinée avec d’autres Françaises, en plus de quelques occidentales passablement obèses, elle rage sur la condition de la femme ou la xénophobie de la société japonaises, tout en s’ingéniant à trouver le moyen de squatter éternellement dans le pays plutôt que de retourner vers le paradis des fonctionnaires où, pourtant, il devrait théoriquement faire bien mieux vivre.

Dans tous les pays développés, on retrouvera très majoritairement ces émigrés français qui ont fui, en toute connaissance de cause, le paradis hexagonal, mais qui prêchent l’avènement du merdier qu’ils ont fui dans leur pays d’accueil avec un aplomb véritablement odieux.

C’est là qu’il faut bien admettre que le choix du coq comme emblème national prend tout sons sens. Pataugeant dans la merde, il n’en continue pas moins de chanter avec arrogance.

C’est là qu’apparaît une ressemblance frappante avec l’immigration du tiers-monde, surtout islamique : aussitôt réchappé de son trou à merde, l’immigré français moyen entreprend mécaniquement de recréer les conditions qui l’ont poussé à fuir son pays en premier lieu. Pour les musulmans, cela consiste à proclamer la loi coranique à coups de couteau et pour les Français à répandre le virus gauchiste. Tout s’imbrique : l’expat gauchiste français, partout où il va, pave la voie à l’arrivée des musulmans.

Sans gauchisme mental, il ne viendrait à l’idée de personne d’accepter ces populations bigarrées qui ne vivent que pour rendre cette planète invivable avec leur religion de merde. L’émigré français est Jean le Baptiste de l’islam africain, de la marée marron.

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