Ces démolitions d’églises en ruine sont le dernier de nos problèmes

La rédaction
Démocratie Participative
03 août 2023

 

C’est typiquement le genre de pleurnicheries hypocrites qu’adorent les adeptes de l’axe « judéo-chrétien » zemmouriste.

La démagogie facile consisterait à faire de même, mais ça n’offre aucune perspective nouvelle.

Ces églises n’ont aucune valeur patrimoniale. Ce sont de mauvaises copies du 19ème siècle que personne n’aurait même idée de visiter.

Le seul argument recevable à propos de ces églises qui tombent en ruine et qu’on ne restaure pas, c’est qu’au lieu de « reconstruire » les banlieues brûlées par les allogènes, l’argent disponible devrait être alloué à ceux qui le versent à l’État par leurs impôts, y compris pour les villages qui veulent entretenir ces édifices.

Priver les noirs et les arabes d’argent public est pourtant le seul argument qui n’est pas employé. Au lieu de quoi, on parle de « mosquées » qui sont financées par les musulmans eux-mêmes, souvent avec l’aide des états du Golfe. Hormis des subventions déguisées ici et là ou des terrains offerts par des mairies, les mosquées sont construites sur fonds privés.

Ces églises ne sont pas réparées parce que les communes où elles se trouvent sont peuplées d’athées ou d’agnostiques qui n’y mettent jamais les pieds. Si vous disiez à tous ces gens qui protestent d’aller à la messe chaque dimanche et de payer le denier du culte, leurs réactions scandalisées vous suffiraient à vous vacciner contre toute idée d’une « défense du christianisme ».

Chrétien par procuration, ça n’existe pas.

En outre, l’Église Catholique est la plus puissante organisation de passeurs de migrants après l’État lui-même et cette dangerosité lui est conférée par sa nature transnationale. Ses cadres, de plus en plus recrutés chez les nègres d’Afrique, supervisent un vaste réseau de volontaires, principalement des femmes blanches âgées, qui accueillent clandestinement ces noirs et ces arabes, moyennant faveurs sexuelles ou matérielles – un secret de polichinelle.

Il faut ne jamais mettre les pieds dans une de ces églises, avec leur prêtraille homosexuelle à 99% – sauf quand le curé est un nègre -, pour croire que c’est le coeur battant de l’Europe blanche traditionnelle. Tous les sermons, sans exception, se terminent par un appel ouvert à l’appui à l’immigration totale, de préférence animiste ou islamique. C’est d’ailleurs le seul dogme auxquels ces curés croient encore.

L’Église Catholique est un égout parmi d’autres, plus sirupeux, plus taciturne, plus solidement versé dans l’art de l’empoisonnement à petite dose, mais non moins hostile à la race blanche, calculatrice et génocidaire.

En quoi sa défense serait « identitaire » ou vaguement positive pour l’homme blanc ? C’est un réflexe pavlovien sans rapport avec notre réalité.

Si les évêques décident de prêcher l’expulsion de toute la vermine non-blanche, et à l’extrême limite islamique, je consentirais à solliciter la restauration de leurs églises. Donnant donnant, sinon rien.

L’Église Catholique ne se tenait tranquille que lorsque l’aristocratie franque la contrôlait fermement, nommant à sa tête des évêques issus des familles dirigeant le royaume de France. Dès que ces curés ont pu mener leurs petites affaires en toute autonomie, sans lien de sang avec la superstructure politique, elle s’est remise à se rouler dans la fange des catacombes d’où elle est sortie.

Cette civilisation chrétienne, qui était structurée par l’Église catholique après la chute de Rome, est finie et ne reviendra pas. Il n’y a plus que 3% de pratiquants, principalement des gens âgés, et ils suivent une papauté située à mi-chemin entre Davos, la Gay Pride et EELV.

De toute façon, tout ce qui n’est pas raciste se terminera en Tombouctou-sur-Seine et cette église à l’agonie n’a qu’un sentiment ferme pour lequel elle pourrait cracher quelques derniers martyrs, c’est l’antiracisme, l’amour passionné de tout ce qui est basané, puant la sueur rance de l’Afrique et de l’Orient.

Les traditionnalistes sont une infime minorité, par ailleurs complètement détestée de l’ensemble de l’Église Catholique mondiale. Ils sont activement marginalisés, quand ils ne sont pas excommuniés.

Ils ne sont même pas autorités à célébrer leurs messes en latin.

Tout cela détourne l’attention.

Le véritable sujet, c’est ce qui doit venir après la disparition de l’ère chrétienne en Europe et je ne parle pas de l’islam. L’islam est borné aux zones allogènes, très peu de Blancs s’y adonnent. C’est encore trop exigeant pour le bétail démocratisé qui demeure attaché à sa charcuterie.

C’est là que tout se complique immédiatement, car ce sont les valeurs liquéfiantes de la démocratie de marché qui règnent, démagogiquement égalitaires et platement individualistes, mais soutenues par une structure économique, culturelle et technologique omniprésente qui crée ce type de basse humanité dès le berceau. La « tolérance », non valeur absolue puisqu’elle consiste à n’en avoir aucune pour ne faire obstacle à aucune, habille ce mollusque femelle, traversé de ses violentes pulsions masochistes, bouffant et chiant sur le chemin vers le néant.

Actuellement, les Blancs ne sont d’accord que sur une chose : l’anarchie consumériste !

Le troupeau domestiqué s’aligne là-dessus. Il ne veut rien entendre d’autre.

Les Blancs, là, sont en congés-payés. Ils ne fomentent pas une croisade, ils s’aèrent. Ils font la queue, ils roulent. Ils campent. Nagent. Ce qui est inédit, et franchement impensable lors des grandes invasions germaniques, c’est cette plèbe gauloise allant à la dune du Pilat ou à Port-Barcarès, les oreilles vissées à des ipods pendant que les Wisigoths ou les Francs ravagent, pillent, incendient, rançonnent. Sauf qu’ils ne sont pas wisigoths, ni francs, mais maures.

Jadis les Gaulois avaient quand même la décence de se faire conquérir en affectant de souffrir et d’exprimer sous les coups de glaive un sincère sentiment de désapprobation. C’était peu, mais c’était encore digne.

Là ils cuisent, se biturent. Ils s’en branlent fantastiquement, ils sont pas concernés. Ils regardent ça par la fenêtre du train.

Ce n’est pas à cause des musulmans, ni même des juifs, s’ils s’en branlent de tout sauf de leurs aises.

Une civilisation n’est pas construite spontanément par une masse, idée démocratique entre toutes. Elle est construite par une minorité d’hommes, de pouvoir et d’intelligence, qui explosent la tête de tous ceux qui leur résistent pour imposer leurs conceptions, leurs états, leurs lois à tous ceux qu’ils subordonnent par la coercition complète. La France n’a pas été construite par une démocratie, mais par des seigneurs de la guerre.

Les Chrétiens avaient capturé l’administration romaine, l’affaire à pris le bon chemin pour eux.

Ils l’ont perdue, ils disparaissent dans le bain démocratique antifasciste.

Par définition la masse ne veut pas être gouvernée. Elle a des rêves de dictature anarchiste absolue. Elle n’est que despotisme aveugle, sauvage. Ce n’est qu’à coups d’écrasement complet qu’elle vient à des sentiments plus mesurés, à une forme de culture, de « civilisation ». Essayez de faire une civilisation avec des zadistes, pour voir.

Ce qui doit advenir après l’effondrement complet de cette civilisation doit passer par le rejet intégral de toute forme de conceptions démocratiques gratuites, comme l’égalité de principe offerte sans que quiconque ait eu à lever son cul pour réaliser quoi que ce soit dans sa vie et démontrer son utilité, son talent, son courage.

Il ne doit pas y avoir « de droits », uniquement des mérites par la preuve. Une société fondée sur la qualité par la force et non sur l’égalité dans la faiblesse.

Contrairement aux néo-païens qui s’y adonnent, il est inutile de s’escrimer contre l’Église, qui a trépassé. C’est s’acharner sur un cadavre. C’est la mentalité chrétienne, fébrile et misérabiliste, qui doit être traquée, pourchassée, détruite. Ce sont ces cervelles défoncées par les sentiments femelles d’empathie maladive pendant des siècles d’incubation geignarde, suppliante, contrite, empuantissant tout, servant de fumier pourrissant aux juifs pour tout avilir, qui doivent être combattues et rétamées.

Aujourd’hui, la plèbe papiste post-chrétienne, démocratique, cosmopolite, est la lie de prédilection du juif. C’est ça, le sel de la terre.

J’ai moi aussi une grande espérance et elle ne contient aucun juif, ni demain, ni pour jamais.

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