Cette restauratrice demande aux paysans pourquoi ils ne viennent pas remplir son bouboui

La Rédaction
Démocratie Participative
01 août 2024

 

ATTENTION : Ceci est désormais une édition dédiée à la dénonciation des agissements terroristes de l’hôtellerie-restauration

« Mais que se passe-t-il ? »

J’aimerais pouvoir dire que les gens ont compris la nature de ces Thénardier prêts à tout pour remplir leurs caisses, y compris en devenant des supplétifs de l’État macroniste et de (((Pfizer))), mais ça ne concerne qu’une minorité de personnes.

J’aimerais aussi que ce soit par dégoût de voir ces restaurateurs se mettre en scène dans tous les médias pour exiger toujours plus de larbins d’Afrique, mais je n’y crois pas davantage.

C’est simplement que les gens ont moins d’argent compte tenu de l’inflation massive que nous connaissons depuis que Bruno Le Maire a mis l’économie russe à genoux, en 2022. Cette victoire est défalquée sur leur note d’énergie et ils se retrouvent avec un budget réduit pour leur temps libre.

Du coup, ils restent davantage chez eux, ou s’organisent différemment pour éviter ces restaurants hors de prix et le plus souvent dégueulasse, au vu des tarifs extorqués.

Restent seulement ceux qui ne connaissent pas la crise.

Ai-je besoin de les nommer ?

Le secteur de la restauration, hors restauration rapide, repose quasi exclusivement sur les boomers et les retraites colossales qu’ils détournent mensuellement avec l’aide d’Emmanuel Macron.

C’est assez simple : plus il y a de retraités, plus il y a de restaurants.

En 20 ans, 25,000 restaurants supplémentaires ont été créés en France et 200,000 employés recrutés pour entretenir le diabète des électeurs du front républicain.

Ils se gavent à des niveaux dont vous n’avez même pas idée, même pas approximativement.

Et ils font barrage au fascisme.

Chaque année qui passe voient les coffres de ces vieux se remplir davantage, comme par magie. Pour eux, Emmanuel Macron n’est pas chef de l’état, c’est le magicien d’oz.

D’ailleurs, pour les Thénardier Macron est également un magicien.

Une conclusion s’impose

À l’exception des restaurants routiers, des cantines professionnelles ou des fast-food pour les jeunes actifs, nous n’avons pas besoin de restaurants.

Et certainement pas de 175,000 restaurants avec leurs noirs et leurs pakis sous OQTF en cuisine.

C’est faux.

Ça ne sert tout simplement à rien.

Il y a des supermarchés et internet. Tout le monde peut récupérer des recettes et regarder sur YouTube comment faire.

La question qui se pose avec acuité, et vraiment la tension monte sur ce sujet dans les rues, c’est la fermeture d’au moins 50,000 établissements (probablement 100,000).

Imaginez un peu les économies que nous pouvons réaliser.

Au passage, nous devons fermer tous les kebabs de merde qui polluent notre paysage visuel et qui ne servent qu’à blanchir le fric de la dope des « quartiers populaires » mélenchonistes.

Je n’y vois que des avantages et de toute façon le peuple gronde face à la passivité des autorités à propos de ces bandits cachés dans leurs restaurants.

Outre que la retraite des boomers doit être ramenée à 450 euros par tête et par personne, des tranches de jambon sous plastique suffiront amplement au bloc électoral macroniste. On peut leur donner des nouilles, à l’extrême limite (je suis contre, mais je comprends qu’il y a un débat ici).

Quant aux restaurateurs, les déporter en Guyane avec les migrants semble la seule chose raisonnable à faire.

Si vous tendez l’oreille dans les rues, vous verrez que c’est une discussion qui revient de plus en plus : « il faut déporter les restaurateurs en Guyane ».

Vox populi, vox dei.

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