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La Rédaction
Démocratie Participative
29 septembre 2024
Mayotte, précédemment :
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Montpellier : poignardée au cou pour un téléphone par un Mahorais déjà connu de la justice
Mayotte est fronssaise.
Mayotte, c’est la Fronsse.
Un incident effroyable s’est produit dimanche 22 septembre, aux premières heures du matin, lorsqu’une jeune femme de 28 ans, enceinte de trois mois, a été violemment agressée sexuellement dans les rues de Châlons-en-Champagne par un Mahorais. Les faits se sont déroulés alors qu’elle marchait seule aux alentours de 7h du matin, lorsqu’un homme l’a brutalement attaquée pour lui voler son téléphone.
L’individu, né en 2002 à Mamoudzou (Mayotte) et déjà connu des services de police pour divers délits de vols et violences, a d’abord arraché le téléphone de la victime, qui a tenté de le poursuivre. Une fois rattrapé, il lui aurait fait une proposition obscène, conditionnant la restitution du téléphone à une relation sexuelle. Devant le refus catégorique de la victime, l’homme l’a emmenée de force dans un parc, le Jard anglais, où il l’a agressée sexuellement en la plaquant violemment contre un arbre.
Les blessures de la jeune femme sont graves. Outre le traumatisme psychologique, elle souffre de lésions importantes à la nuque, au dos, aux hanches et aux fesses. Des traces de sperme ont également été retrouvées sur ses vêtements, ce qui a permis de corroborer l’agression avec les éléments matériels recueillis sur la scène de crime. Le Mahorais, après avoir commis son acte, a pris la fuite en emportant la carte bancaire de la victime. Il a tenté d’acheter un sandwich avec celle-ci peu après l’agression.
Le suspect, interpellé ce mercredi 25 septembre, présente un profil inquiétant. En 2020, il avait été mis en cause dans le cadre d’une affaire de meurtre sur l’île de Mayotte. Plusieurs témoins l’avaient désigné comme étant l’auteur du meurtre d’un jeune Mahorais, qu’il aurait tué en écrasant un parpaing sur sa tête. Résidant déjà dans la Marne au moment où la juge d’instruction de Mamoudzou souhaite l’entendre sur ce dossier, il est décidé par cette dernière de ne pas délivrer de mandat d’arrêt pour qu’il soit ramené à Mayotte.
Au moment de l’agression du 22 septembre, il était toujours sous ce contrôle judiciaire, qu’il avait cessé de respecter depuis plusieurs semaines. Plus troublant encore, au moment de son interpellation ce mercredi 25 septembre, il était en couple avec une mineure châlonnaise de 15 ans et demi, enceinte de lui depuis plus de six mois.
Il laissera un souvenir impérissable en France sous la forme d’un possible mulâtre fils de violeur et d’assassin.
Sans père et éduqué par le très efficace ministère de l’Éducation nationale, rien ne pourrait possiblement mal tourner.
Le suspect a été déféré ce 27 septembre devant le tribunal judiciaire de Châlons-en-Champagne. Présenté à un juge d’instruction, il a été mis en examen pour viol sous l’emprise de l’alcool, vol et tentative d’escroquerie. Il a été placé en détention provisoire dans l’attente de son procès.
Cette affaire soulève de nombreuses questions sur l’efficacité du contrôle judiciaire et l’impunité apparente dont a bénéficié cet homme, malgré son passé criminel.
Les autorités locales ont promis de faire toute la lumière sur les circonstances qui ont permis à cet individu de rester en liberté malgré son lourd passé judiciaire. Un procès s’annonce, et la ville de Châlons-en-Champagne attend avec impatience que justice soit rendue.
Ce n’est que le début.
Comme je le dis sans relâche, cette bombe démographique a déjà explosé. L’île a gagné 100,000 habitants en 20 ans pour atteindre 300,000 têtes et près de 11,000 noirs musulmans supplémentaires y naissent chaque année. La réponse de l’État consiste à déverser en métropole autant de ces Mahorais proliférants que possible.
C’est ça, le coût de Mayotte dans la France : toujours plus de milliards d’euros pour ces hominidés, toujours plus de noirs musulmans en métropole.
Pour juguler le péril mahorais, la victime de cette agression sexuelle pourra se rassurer en votant RN aux prochaines élec…
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