Chez Barthès : une juive ayant survécu à l’inhalation d’insecticide assure qu’il n’y avait pas d’eau à Auschwitz

La rédaction
Démocratie Participative
26 septembre 2023

 

Imaginez des gens invités par les plus grands journaux en 1923 pour parler d’une affaire qui remonterait à 1844.

C’est là que nous en sommes.

En 2023, le délire autour des chambres à gaz imaginaires n’a jamais été aussi lancinant et les juifs ressortent leurs « survivants » qui n’en finissent pas de survivre. Ils veulent manifestement nous en sortir jusqu’en 2033, au moins.

Il y a aussi une montée qualitative. À présent, il n’y avait pas d’eau dans ces fameux camps.

C’est dommage pour la logistique SS, car si les ingénieurs de Heinrich Himmler avaient fait le lien de cause à effet, ils auraient simplement attendu 72 heures plutôt que de gazer ces juifs avec un système si complexe qu’encore aujourd’hui personne ne peut démontrer comment ces gazages se sont déroulés techniquement.

Cette histoire de chambres à gaz est d’ailleurs débile à cause de ça : l’eau.

Pourquoi gazer qui que ce soit quand il suffit de couper l’eau et d’attendre 4 jours sans rien faire ?

Et puis bon, la piscine à Auschwitz-Birkenau.

Le site juif le plus officiel de la planète sur le sujet, celui de Yad Vashem, évoque les efforts considérables de la SS pour installer à Auschwitz-Birkenau un système d’alimentation d’eau et de drainage des eaux usées ainsi qu’un système de chauffage central.

Yad Vashem :

Outre les camps eux-mêmes, les SS ont construit un nombre considérable d’infrastructures adjacentes aux camps et entre eux. Un complexe de cette taille nécessite un système de chauffage central, un système d’évacuation des eaux usées et d’approvisionnement en eau, des routes, différents camps et bâtiments pour le personnel allemand, ainsi qu’un système d’approvisionnement en nourriture et autres produits.

Cette histoire d’eau à Birkenau nous rappelle les témoignages à propos des saucisses de juifs d’Auschwitz.

Cette fois-ci, des gens sont quand même sceptiques. Pas tous, mais quand même un nombre non négligeable.

Les juifs se savent pressés par le temps, d’une manière générale. La boutique s’écroule de partout, géopolitiquement, financièrement, politiquement, culturellement.

Avec quelques centenaires de ces survivants imaginaires encore en vie grâce à on ne sait quelle magie noire rabbinique, ils ne s’embarrassent plus de détails.

BD, films, documentaires, « témoignages », noms de rue, commémorations, voyages pédagogiques, c’est un flot ininterrompu.

Ces dernières 24 heures, dans la seule presse française :

Les juifs sont angoissés à l’idée que ces menteurs de première main ne puissent plus mystifier les goyim.

Ils les ont mis en hologrammes pour des millénaires et ils comptent bien les mettre au coin des rues le jour venu.

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