CJews : le boomer Menant fond un plomb, il n’est pas « nazi » !

La rédaction
Démocratie Participative
18 mai 2023

 

La chaîne juive CNews est très en colère. Ses intervenants, dont de très nombreux juifs, sont lassés d’être traités de « Nazis » par les intellectuels et journalistes de gauche (dont de nombreux juifs aussi, d’ailleurs).

En présence de la femme catholique d’Ornellas, de la mulâtresse Kelly, le vieux Menant a longuement rappelé que sa famille avait beaucoup souffert. Il a ensuite parlé de l’écriture inclusive.

Il y a un point sur lequel je suis d’accord : écouter les rabbis Dray et Goldnadel couper les cheveux en quatre et avoir l’impression d’avoir à faire à un discours d’éducation des masses du Docteur Goebbels est une aberration.

L’accusation est portée par une femme blanche, Tondelier, donc ce n’est pas très étonnant.

Les femmes ne comprennent rien à l’environnement dans lequel elles évoluent.

En commentaire, les consommateurs de cette ligne de droite antifa ont poussé un immense soupir de soulagement : grâce à Menant, ils se sentent à nouveau pleinement dans le camp antifasciste, le camp du bien.

Tout le monde il a été déporté par les Nazis.

Totem d’immunité, chat perché, allez niquer vos mères les gauchistes, j’ai le droit de pas aimer les bounègres !

Réponse : non.

Vous êtes né blanc, donc raciste par défaut dans ce système antinazi édifié sur Nuremberg.

C’est à vous de prouver aux antifas et aux métèques que vous ne l’êtes pas. Et comme ils ne s’estiment jamais totalement convaincus, c’est la double peine : la justification permanente et la nazification quand même.

Ce truc a été expliqué encore et encore, mais ce n’est jamais suffisant.

Il faudrait leur dire, un à un, durant un genre d’entretien personnalisé étalé sur une année ou deux, que ça ne marche pas comme ça. C’est un paquet complet, la démocratie. On ne peut déclarer ne pas tellement aimer les bicots, les Roms, les Noirs, les Musulmans, appeler à les remigrer – à l’épuration ethnique donc – et continuer d’émarger à la CAF mémorielle de la religion antinazie de l’holocauste parce que pépé aurait tenu une mitraillette en septembre 1944.

Le paquet suppose d’être antiraciste, antifasciste, donc de s’écraser face aux millions de basanés qui affluent en France. Pas de « mais », de « si », de « attendez une minute ». Soumission absolue, inconditionnelle, prudente.

Il n’y a donc que de deux camps : celui d’Adolf Hitler et l’autre. Inutile de cogiter, votre avis n’est pas sollicité, le système assigne Pierre et Paul d’autorité, sans poser de questions.

Ces scènes d’autisme collectif se reproduiront encore et toujours jusqu’à ce que la guerre raciale éclate et que les Blancs survivants assument ouvertement leur racisme, c’est-à-dire leur instinct de conservation collectif, plutôt que de gémir comme ce boomer à l’agonie.

Le boomer fondamental de ce style est l’homosexuel Renaud Camus, une des plus mesquines petites chiures foutues mielleuses qui existe. Il se pourlèche de merde juive, s’en macule la barbe, ronronne, luisant.

Ces vieux bourgeois fatigués ne parviennent pas à s’imaginer un monde où il faudrait porter le poids de la haine du pouvoir établi, l’excommunication, passer paisiblement à travers les hurlements dantesques de la presse juive, les cris des cliques d’ahuris conformistes, des bécasses à diplômes,  les assassines et traînantes réputations… être considéré comme un hérétique les scandalise. Même écrasés définitivement pour une phrase de trop, ils continuent de jurer l’erreur d’interprétation, le bien injuste et cruel procès d’intention.

Mieux vaut être un Luther, même tout petit, que de finir ainsi en mendiant la clémence de l’ordre en place.

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