Comme prévu, Retailleau capitule face à la gauche et admet la « sacralité » de l’État de droit

La Rédaction
Démocratie Participative
01 octobre 2024

 

Ministre effectif depuis 72 heures, il aura fallu 24 heures de vociférations de la gauche radicale pour faire plier ce pauvre Retailleau.

Quel pédé.

Libération :

Le ministre de l’Intérieur publie ce mardi un communiqué sur «ce sujet trop sérieux et trop grave pour être instrumentalisé par de faux débats.» Des «débats» qu’il a lui pourtant lui-même lancés.

«Bien sûr qu’il ne peut y avoir de démocratie sans Etat de droit», concède Retailleau : «Lorsque les textes en vigueur ne garantissent plus tous les droits – à commencer par le premier d’entre eux, le droit d’être protégé – ils doivent évoluer, dans le plein respect des institutions de notre République.»

Le communiqué sent le discret recadrage de Matignon. L’entourage du Premier ministre minimisait lundi des «convictions personnelles» de Retailleau et assurait : «On ne bougera pas sur l’Etat de droit et de ses principes.» Toute évolution du droit devra se faire dans ce cadre selon un conseiller de Barnier, qui remettait Retailleau à sa place : «Ce sera au Premier ministre de donner sa ligne lors de la déclaration de politique générale.»

Ce gouvernement est déjà à terre.

Les femmes fortes et indépendantes de Macron se mettent en scène avec gravité à propos des droits supérieurs des juifs, des métèques, des traînées et des fiottes.

L’État de droit, concrètement, c’est le covidisme.

Les juges ont validé sans broncher la séquestration à domicile du pays entier, l’euthanasie discrétionnaire au Rivotril de certains patients, le licenciement et la ségrégation des non-vaccinés.

Bref, l’abolition des libertés les plus élémentaires.

L’État de droit, c’est-à-dire la tyrannie des juges, est une machine de mort au service de l’étranger.

L’avantage du gouvernement des juges, c’est qu’il permet à l’oligarchie de dicter sa volonté sous un vernis d’excès de zèle démocratique tout en prétendant n’y être pour rien.

Aujourd’hui, le juif socialiste Fabius, flanqué de 8 acolytes, décide suprêmement de ce qui peut ou non se faire en France.

C’est ce qu’on peut appeler la démocratie procédurière de droit divin. Selon des principes révélés dignes des tables de la loi données à Moïse par Yahveh, quelques juges, en fait des prêtres, peuvent exercer le pouvoir en dictateurs.

D’ailleurs, Élisabeth Bornstein déclare que cet « état de droit » est « sacré », ce qui est curieux dans une république officiellement athée.

La tyrannie des juges n’est pas, comme on le lit parfois, un « travestissement de la démocratie », mais son accomplissement. Ces juges ne pourraient pas exercer sans le pieux mensonge de la « souveraineté populaire » en démocratie. Le pouvoir qu’ils exercent leur est sciemment conféré par les élus de la démocratie représentative.

Ils jugent d’ailleurs « au nom du peuple français », pas en le leur.

Les républiques, comme système dit « représentatif » de confiscation du pouvoir aux mains de la bourgeoisie, ont approfondi cette confiscation en plaçant à leur sommet une caste de prêtres au droit absolu de censure et d’interprétation de la loi.

Si cette tyrannie des juges s’exerçait sans invoquer la démocratie et sa « constitution » et qu’elle ne régénérait pas régulièrement sa légitimité dans l’opinion par le simulacre électoral, l’ordre établi serait identifié pour ce qu’il est : une oligarchie qui règne arbitrairement.

C’est justement là l’essence du mensonge démocratique. Tout pouvoir est, par définition, arbitraire. Il est sa propre justification. La démocratie, comme négation du politique, est le masque de ceux qui veulent exercer le pouvoir sans avoir à en répondre.

Louis XVI n’a pas infligé à la France le centième de ce que lui inflige un président contemporain en cinq années, mais comme il n’exerce que fictivement et temporairement une souveraineté tronquée, la doublure peut déambuler sous les sourires de la foule une fois son mandat de pure forme passé.

C’est leur « ami ».

Un peuple n’est pas souverain parce qu’il prend part aux décisions, mais parce que le politique s’exerce dans son pays en assumant sa nature arbitraire. Le politique est une volonté qui s’impose aux autres volontés. C’est son essence intangible.

Quand, libéré du mensonge démocratique, un tel peuple s’affirme, un état autoritaire naît et avec lui naît la véritable souveraineté du peuple.

Entre la Corée du Nord, la Chine ou l’Iran d’une part et la France ou l’Ukraine d’autre part, il n’est pas difficile de savoir lesquels sont des états souverains et lesquels ne le sont pas.

La Corée du Nord a poussé la recherche de la souveraineté au bout de sa conclusion logique en se dotant de l’arme nucléaire en dépit du poids écrasant du blocus économique décrété par les démocraties.

Si un peuple veut être libre, c’est-à-dire souverain, il devra se battre face aux démocraties financières juives. L’État nord-coréen préfère ces sanctions à l’esclavage national. Ce n’est pas un hasard si la Corée du Nord est aujourd’hui l’état le plus racialement pur de la planète. Cet état est, au plein sens du mot, national.

En cohérence, l’indivisibilité de la souveraineté du peuple ne s’exerce véritablement que par un seul homme qui incarne la totalité du politique. Peu importe les cultures, les états véritablement souverains sont dirigés par un chef absolu.

Pour un peuple, le mode suprême de gouvernement est le pouvoir absolu d’un homme éclairé. César, Auguste, Philippe Le Bel, Frédéric Le Grand, Napoléon Bonaparte, Adolf Hitler, Staline, Mao en sont quelques figures.

C’est parce que la souveraineté du peuple est l’antithèse de la démocratie, qui n’est que l’illusoire souveraineté de l’individu utilisée par les puissances financières, que les démocrates la haïssent et qu’ils multiplient les moyens de la saborder grâce à la démocratie procédurière de droit divin.

Quand un état du bloc démocratique occidental cherche à renforcer des éléments de sa souveraineté en raison d’une confrontation interne avec la bourgeoisie anti-nationale, cet état devient officiellement une démocratie « illibérale » selon le jargon de l’orthodoxie.

Qui des amis de Guillaume Meurice ou de Vladimir Poutine paraît le plus crédible en termes de souveraineté ?

La destruction de « l’État de droit » est une question de vie ou de mort. Elle n’est rien d’autre que la destruction de la bourgeoisie anti-nationale qui ruine actuellement les nations blanches par sa politique de prédation. Cette politique est indissociable de l’immigration de remplacement.

On peut au moins reconnaître à Retailleau d’avoir utilement gaffé et amené les gens à débattre de la démocratie procédurière de droit divin qui prétend ne rien avoir au dessus d’elle.

Si ce n’est, bien sûr, le peuple élu.

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