Comment la Reconquista s’est-elle déroulée ?

La Rédaction
Démocratie Participative
29 juillet 2024

 

Nous avons traduit la vidéo de synthèse de Skylar J. Gordon sur la Reconquête. Elle n’est pas et ne peut pas être exhaustive, mais elle permet à nos lecteurs d’avoir une vision résumée de 8 siècles de guerre entre les Ibères et les envahisseurs afro-musulmans.

Elle souffre de quelques manquements, en particulier sur les raisons pour lesquelles l’Inquisition catholique espagnole n’a pas seulement visé les musulmans demeurés dans la péninsule ibérique après 1492, mais aussi les juifs.

Les juifs

La raison est connue, documentée et admise par les historiens juifs, dont Heinrich Graetz, le « père de l’histoire juive » moderne : sans le soutien actif des juifs d’Espagne et d’Afrique du Nord aux envahisseurs musulmans en 711, la conquête éclair de la péninsule aurait été impossible.

À la fin du 7ème siècle, une partie de l’élite germanique (wisigothique) qui gouvernait l’Ibérie menait une vigoureuse politique antijuive sous la direction d’Egica, roi d’Hispanie. Les juifs finançaient ses rivaux dans le but de le renverser et d’affaiblir le pouvoir germanique qu’Egica s’employait à renforcer. Lors du concile de Tolède de 694, la menace juive fut désignée après la découverte d’une conspiration conjointe entre les juifs d’Espagne et ceux du Maroc pour fomenter une révolution contre l’ordre germanique.

En 711, les juifs aidèrent à l’invasion islamique de l’Espagne.  Dans les villes conquises, les juifs se portèrent volontaires pour servir de garnisons, libérant ainsi les troupes islamiques, en relatif faible nombre, du fardeau de l’occupation immédiate des territoires conquis et leur permettant de poursuivre leur ruée vers le nord.

Par la suite, les juifs, présents dans toute l’Espagne, jouèrent les musulmans contre les chrétiens ou inversement, conformément à leur traditionnelle politique de la bascule.

Au Moyen Âge, la question juive n’était compris que comme un phénomène religieux et non comme un problème d’ordre racial. Toutes les tentatives d’apporter une solution « religieuse » à la question juive – par la conversion – se soldèrent par de lamentables déconvenues, y compris après la fin de la Reconquista en 1492.

L’enseignement qu’il faut en retirer est que le juif est un élément biologiquement inassimilable qui intrigue en permanence contre la majorité en maintenant dans un état constant de guerre larvée le pays qu’il infiltre. Ceci, que ce soit en Perse, dans l’Antiquité, ou dans la New York de 2024.

L’idée

Le second enseignement de la Reconquista est qu’une idée qui pénètre profondément un peuple aboutit toujours à une révolution politique, sociale et culturelle.

Les Ibères n’ont jamais admis la domination afro-orientale placée sous le signe du fanatisme islamique. Pendant 800 ans, ils ont patiemment travaillé à la défaite de l’envahisseur, même si, hélas, faute d’une compréhension de la question raciale compte tenu de l’époque, le sang aryen d’Espagne a été corrompu par l’occupation juive et maure.

Épuration ethnique et renaissance

Contraitement à la doxa ambiante sur le « vivre ensemble » et la diversité (raciale) qui serait « notre plus grande force, c’est au contraire l’unité politique, raciale et idéologique qui fait la force d’un état. Aussitôt chassés d’Espagne, en 1492, celle-ci devient la première puissance mondiale en quelques décennies aux côtés du Portugal.

Cet enseignement vaut pour nous. Nous ne combattons pas à l’échelle de l’année, mais à l’échelle des millénaires. Une fois épuré notre espace vital de toute présence parasitaire, nos patries entameront une renaissance spectaculaire qui les mettra en ordre pour une nouvelle marche en avant.

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