Contrairement au chien des juifs Macron, Bachar al Assad marche à l’aise dans les rues de son pays

La rédaction
Démocratie Participative
03 mai 2023

 

Assad se promène dans les rues de Syrie … no comment

Assad walking around the streets in Syria … no comment pic.twitter.com/aIK9vuXIYH

— Lord Bebo (@MyLordBebo) May 1, 2023

Il semble que les chefs autoritaires soient infiniment plus respectés dans leur pays que les fantoches que les financiers juifs nomment à la tête des démocraties.

Macron a été copieusement hué et sifflé à la #49eme.

Ce ne sont pas France 2 ou BFMTV qui vous montreront ces images.#coupedefrance

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— Kim Jong Un 🇰🇵 🎄 (@KimJongUnique) April 29, 2023

Il y a certainement quelques endroits de Syrie où Bachar al Assad ne pourrait pas se rendre, à savoir les dernières poches djihadistes protégées par l’OTAN.

Comme Idlib, cet avant-poste d’Al Qaeda dont le juif Glucksmann défend avec passion le droit de semer la terreur.

A Idlib, les anciens djihadistes polissent leur image https://t.co/ynBOEF0l4G

— Le Monde (@lemondefr) March 14, 2021

En dehors de ces zones, le président Assad est perçu comme le sauveur d’un pays contre lequel s’est déchaîné pendant 12 ans plus d’une soixantaine d’états coalisés derrière la juiverie américaine. Sans Vladimir Poutine et l’aide russe, mais aussi iranienne, la Syrie serait à l’heure actuelle le premier état djihadiste de la planète.

Comme il y a toujours des facilitateurs de l’action des juifs pour nier l’évidence, il faut citer le rapport du Pentagone de 2012, deux ans avant la création de l’État islamique (page 6) :

Les pays occidentaux, les États du Golfe et la Turquie soutiennent les efforts forces d’opposition syriennes qui se battent pour contrôler les zones orientales (Hasaka et Der Zor), adjacentes aux provinces irakiennes occidentales (Mossoul et Anbar)… Il existe la possibilité d’établir une principauté salafiste déclarée ou non dans l’est de la Syrie (Hasaka et Der Zor), et c’est exactement ce que veulent les puissances qui soutiennent l’opposition, afin d’isoler le régime syrien, qui est considéré comme la base stratégique de l’expansion chiite (Irak et Iran).

Les médias juifs sont d’une grande discrétion à propos de cette défaite, tout comme du rôle de la Russie dans l’écrasement du péril. Ils ont allumé un autre incendie en Ukraine, en fait au même moment, et l’alimentent sans cesse avec des armes, de l’argent et des hommes.

Tant que Kiev sera un nid de vipères juives, l’Ukraine restera une base avancée du terrorisme international.

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