Dans son discours de victoire, le Sultan Erdogan déclare vouloir « étrangler » les malades LGBT

La rédaction
Démocratie Participative
30 mai 2023

Les violeurs d’enfants, les travestis et les féministes doivent être purement et simplement écrasés partout sur terre, sans faire le détail.

Si le Sultan Erdogan s’y engage, alors c’est très bien.

20 Minutes :

En Turquie, la communauté LGBT+ ne voit pas d’un bon œil la victoire dimanche de Recep Tayyip Erdogan. Tout au long de la campagne, il les a insultés, utilisés pour attaquer l’opposition et l’accuser de vouloir détruire les valeurs familiales qu’il porte au pinacle : la réélection du président islamo-conservateur effraie les LGBT qui craignent de se voir viser, y compris physiquement, en raison de leurs orientations sexuelles.

« J’ai réellement peur. Je ne pouvais déjà pas respirer avant et maintenant, ils vont essayer de m’étrangler », s’inquiétait ainsi samedi Ilker Erdogan, un étudiant de 20 ans, à la veille du scrutin dans le quartier de Kadiköy, sur la rive asiatique d’Istanbul.

Et il faut dire qu’au soir de sa victoire, Erdogan n’a rien fait pour dissiper les craintes. Dès sa première prise de parole, le président a régalé ses partisans en demandant : « Est-ce que le CHP (le parti de son adversaire malheureux, Kemal Kiliçdaroglu) est LGBT ? Est-ce que le HDP (pro-kurde) est LGBT ? ». Et la foule de rugir : « Ouiiiiii ! ». Puis : « Est-ce que l’AKP (son parti) est LGBT ? » – « Nooooooon ! »

Absolument glorieux.

Ô Recept, vas-tu envoyer tes hommes traquer les activistes pro-pédo pour les torturer ?

Les Musulmans le veulent, le peuple turc l’exige !

En meeting durant la campagne électorale, le chef de l’Etat n’a jamais manqué d’attaquer la communauté, lançant qu’ « aucun LGBT ne peut être le produit de cette nation ! ». Son ministre de l’Intérieur, Süleyman Soylu, a pour sa part dénoncé la « religion » LGBT+ importée selon lui « d’Amérique et d’Europe ». « Quand ils parlent des LGBT+, ça inclut le mariage des animaux et des humains », a-t-il également clamé.

C’est absolument vrai.

Jadis l’Europe exportait ses technologies et faisait l’admiration du monde.

Aujourd’hui, nous exportons nos MST et notre pathologie mentale collective qu’est le gauchisme homo-sidaïque.

Comment les autres peuples du monde ne pourraient pas nous haïr ? Avant ils nous haïssaient, mais au moins respectaient notre force.

« J’ai subi plus de discours et d’actes de haine que je n’en avais connus depuis longtemps ; on m’a jeté du café depuis une voiture et on m’a crié dessus dans la rue », assure Ameda Murat Karaguzu, 26 ans, responsable de projet dans une association pour les droits des LGBT+. Pour elle, « ce discours de haine » du président Erdogan « encourage les personnes homophobes, transphobes et hostiles aux LGBT+ dans les rues parce qu’elles savent qu’il n’y aura aucune conséquence si on nous tue ou on nous blesse ».

Tugba Baykal, réalisatrice de documentaires et militante LGBT+ de 39 ans, a pour sa part décidé de quitter le pays. « Les gens sont traités comme des criminels pour le simple fait d’exister ». Elle est sûre que les demandes de visas pour émigrer vont augmenter. Elle-même va tenter sa chance aux Etats-Unis : « une décision qui aurait été bien plus difficile à prendre si notre pays était plus accueillant. »

Forcément, l’Occident étant l’évier de tous les déchets biologiques de la planète, ces sous-hommes vont venir.

Erdogan ne va pas tarder à déclencher le djihad contre les adeptes sataniques de l’anal. Il peut commencer par Mikonos, il nous débarrasserait d’une bonne partie du problème en peu de temps.

L’analyse ne serait pas complète sans la réaction du boomer fondamental Mompontet.

Ses valeurs anales sont la proie de violentes hémorroïdes.

Ce boomer a presque découvert la duplicité des double-nationaux qui misent sur tous les tableaux au profit de leur race.

Le Forum EELB sera prochainement de retour