Davos appelle ses écologistes à semer le chaos dans les rues

La rédaction
Démocratie Participative
21 juin 2023

 

La télévision d’état passe à la vitesse supérieure.

« La violence est ici totalement légitime. C’est pas du terrorisme qui détruit des vies humaines mais de la violence contre des machines qui incarnent l’hubris humain »

Il n’est pas courant que les appels à la violence politique à prétention révolutionnaire soient formulés par les médias gouvernementaux.

C’est probablement parce que ça n’est pas révolutionnaire, bien au contraire.

First Post :

En 2017, Amnesty International a reçu un don de 137 000 euros de l’Open Society Foundation, financée par Soros, cette fois pour fomenter des troubles en Irlande.

L’affaire a été révélée lorsque Amnesty a déposé les détails de son compte en 2016. Les détails montrent qu’Amnesty a reçu un don de 137 000 € de la fondation de Soros, ce qui a fait grimper l’excédent d’exploitation de l’année de 70 %, passant de 479 000 € à 814 000 €. Les recettes totales s’élevaient à 3 millions d’euros.

L’argent était destiné à la campagne « MyBodyMyRight » qui visait les lois irlandaises sur l’avortement. Or, une loi irlandaise interdit le financement étranger de groupes participant à des élections ou à des référendums, ce qui constitue une violation de la loi électorale de 1997. La loi interdit les dons étrangers de plus de 100 euros provenant d’organisations tierces à des « fins politiques ».

On pourrait s’étonner de la témérité d’Amnesty International, qui a contesté l’ordre du gouvernement irlandais de restituer l’argent. Amnesty a répondu : « Non, ce n’est pas possible ».

Si un « écrivain » opposé au Grand Remplacement dissertait à la télévision sur la nécessité de faire usage de la violence pour stopper l’invasion, il serait en garde-à-vue le lendemain.

Probablement sur demande d’Amnesty International et de Soros d’ailleurs.

L’imposture réchauffiste est le nouveau chèque en blanc des sociopathes de la gauche occidentale pour remettre leur tyrannie bureaucratique au goût du jour. Ce qui converge avec le rationnement exigé par la finance juive.

Contrairement aux défilés consécutifs à un crime commis par des immigrés, les manifestations de la gauche pour appeler à « un soulèvement » sont pleinement tolérés par le système.

Tous les sociopathes anarcho-communistes d’Occident mobilisés par les médias et les ONG de Soros n’ont qu’à invoquer « l’urgence climatique » pour justifier leurs agissements.

Si la juive Bornstein a essayé d’empêcher la dissolution de ce groupe, ce n’est pas par hasard. Macron a commis une erreur en croyant qu’il avait toute liberté d’agir, certainement sous la presse des flics lassés d’être provoqués.

La longueur de sa laisse ne dépend pas de lui.

Le Forum EELB sera prochainement de retour