« Des fois j’ai l’impression de vivre avec un étranger » : Anaïs, future mère d’un mulâtre armoricain, rame avec son Sénégaulois

La rédaction
Démocratie Participative
12 juin 2023

 

Spoiler alert : à la fin, Anaïs attend un heureux évènement avec son hominidé sénégalais.

C’est radical anthropologiquement.

Ces femmes blanches névrosées vous damnent avec leur chatte en recréant Haïti en Armorique et ailleurs. Comme personne ne bronche, que la démocratie ovarienne l’encourage et que l’homme blanc a définitivement capitulé face à la dictature vaginale, toutes les Anaïs peuvent déclencher l’incendie génétique après lequel plus rien ne repousse.

Il n’y a pas d’autres vérités en ce bas monde que la vérité de l’escalier racial : soit on monte, soit on descend. Le sang nègre, c’est le ticket invariable pour l’enfer éternel.

Le mulâtre schizoïde que cette goule défèquera deviendra un dealer de dope à la cervelle archaïque soufflée par le rap et la came qui finira par assassiner un random.

Seydou, lui, purge sa peine en attendant les papiers. Ensuite, il laissera cette femme blanche avec son mulâtre et fera venir ses deux femmes restées au Sénégal. Seydou sera heureux dans cette France généreuse, accueillante.

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