Dominique de Laval dénonce le projet génocidaire global des juifs au Moyen-Orient

La Rédaction
Démocratie Participative
30 septembre 2024

 

Villepin joue avec le feu, mais il faut saluer l’audace.

Dire la vérité en France en 2024 peut vous valoir un bippeur piégé ou un tir de missile chargé avec deux tonnes d’explosifs.

Nous en avons perdu l’habitude, mais il n’y a pas si longtemps le point de vue de Villepin était la norme en France.

L’idée de s’aligner aveuglément sur les juifs ne serait venue à l’esprit de personne, à droite ou à gauche. C’est l’immonde quart de séfarade Mallah-Sarközy qui nous a plongés collectivement dans cette effrayante politique.

D’ailleurs, nous voyons le destructeur de la Libye, compagnon de route de Bernard-Henri Lévy, revenir nous expliquer ce qu’il faut faire en termes d’immigration.

Aujourd’hui, lorsque l’on écoute quelqu’un comme Chirac, qui pourtant incarnait déjà un affaissement vers la médiocrité, on mesure l’effondrement complet du niveau intellectuel des dirigeants tout comme celui de la diplomatie française.

C’est vertigineux.

D’ailleurs, l’extrême-droite n’est pas exempte. On constate la même chose au Rassemblement National. Par rapport à son père, la vile et servile Marine Le Pen ne fait pas illusion.

Jean-Marie Le Pen serait probablement à Beyrouth à l’heure qu’il est pour y dénoncer l’agression juive.

Pour en revenir aux déclarations de Villepin, elles sont purement factuelles.

Les juifs sont occupés à édifier leur théocratie raciale et cela suppose d’annexer progressivement le Liban.

Le Jerusalem Post a ouvert ses colonnes à des rabbins pour énoncer le plan de conquête :

Les versets de la Torah véhiculent des messages profonds que nous pouvons extraire avec perspicacité pour notre vie quotidienne. Le rabbin Shay Tahan, Rosh Kollel de Shaarei Ezra à Brooklyn, NY, ouvre gracieusement les portes pour les comprendre.

Le récent conflit au Liban soulève l’éternelle question des frontières septentrionales de l’Eretz Yisrael biblique. Où exactement Hachem a-t-il défini les frontières, et sommes-nous obligés de conquérir ces régions ? Les mitzvot de terumah et de ma’aser s’appliquent-elles à ces terres comme faisant partie d’Eretz Yisrael, ou sont-elles considérées comme hors des frontières ?

Les juifs sont obligés de conquérir.

Ils n’y sont pour rien, voyez-vous ?

Tout est de la faute des goyim qui refusent de se laisser conquérir.

La Torah fournit des directives claires concernant les régions qu’il nous a été ordonné de conquérir lors de la prise de possession de la terre.

Au cours de la dernière génération, l’expression « Grand Israël » est apparue sur le devant de la scène. Il est parfois utilisé dans des discussions politiques ou religieuses sur les frontières idéales ou futures d’Israël, souvent dans le contexte d’aspirations messianiques ou sionistes. Certains l’interprètent comme un appel au rétablissement des frontières bibliques d’Israël. Toutefois, la signification du concept varie, allant d’interprétations symboliques ou spirituelles à des revendications géographiques littérales.

Ce terme fait référence au concept des frontières bibliques de la Terre d’Israël, telles qu’elles ont été promises au peuple juif dans diverses parties de la Torah. Il est souvent associé à la terre décrite dans l’alliance avec Avraham (Brit Bein HaBetarim), qui s’étend du « fleuve d’Égypte » (interprété par certains comme le Nil ou un fleuve plus petit dans le Sinaï) à la rivière Perat. Cette vaste région comprend des parties de l’Israël d’aujourd’hui, la Cisjordanie, Gaza, le Liban, la Syrie, la Jordanie et l’Irak.

Carte du « Grand Israël »

Lorsque Hachem a promis à Avraham Avinou la terre d’Israël lors de la Brit Bein HaBetarim, le pasuk dit (בראשית טז) : « En ce jour, Hachem fit alliance avec Avram, en disant : A ta descendance, j’ai donné cette terre, depuis le fleuve d’Egypte jusqu’au grand fleuve, l’Euphrate. »

Lors de la bénédiction à la fin de la Parshat Ekev, Hachem nous dit qu’il nous accorde toutes les terres que nous allons conquérir à l’intérieur des frontières mentionnées. Au nord, la Torah déclare « Tout lieu que foulera la plante de ton pied sera à toi, depuis le désert et le Liban, depuis le fleuve – l’Euphrate – jusqu’à la mer occidentale, qui sera ta frontière ». Cette promesse du Créateur place clairement le Liban dans la Terre promise d’Israël, ou ce que certains appellent « la Terre d’Israël complète » ou « le grand Israël ».

Le Ramban écrit que le Liban se trouve à l’intérieur des frontières d’Israël et ajoute que nous avions l’obligation et le commandement de le conquérir.

La tribu d’Asher est principalement associée à des régions comprenant des parties du Liban. Après la conquête de la terre sous Yehoshua, les tribus ont établi leurs territoires, Asher s’étendant dans les régions adjacentes au Liban. Le texte décrit les frontières de la tribu d’Asher, en détaillant des sections de frontières et des listes de villes, dont certaines sont des villes frontalières qui marquent les limites de la tribu. Dans l’héritage de la tribu d’Aser se trouve la vallée d’Acco, au nord du mont Carmel, dont le point le plus septentrional est la ville de Sidon.

L’extension de la Terre d’Israël pour y inclure des territoires supplémentaires, comme dans le concept du « Grand Israël », a plusieurs implications halakhiques potentielles. Celles-ci concernent principalement les commandements liés spécifiquement à la terre, connus sous le nom de mitzvot hateluyot ba’aretz (mitzvot dépendant de la terre).

Guerre et conquête : Le concept de milchemet mitzvah (guerre commandée) inclut la conquête de certains territoires promis dans la Torah. Si de nouvelles terres sont identifiées comme faisant partie des frontières bibliques, il peut y avoir des discussions halakhiques sur l’obligation de les conquérir et de les coloniser.

Le fleuve Perat, communément identifié à l’Euphrate, est situé au Moyen-Orient. Il traverse plusieurs pays, dont la Turquie, la Syrie et l’Irak, avant de se jeter dans le golfe Persique. Dans le contexte biblique, l’Euphrate est souvent mentionné comme une frontière importante dans les promesses faites au peuple juif concernant la terre d’Israël.

Si l’on regarde une carte, on est stupéfait de voir à quel point ce fleuve s’étend vers le nord et à quel point la Terre d’Israël est vaste. Bien que nous ne soyons peut-être pas en mesure de la reconquérir entièrement à notre époque, Hachem nous la rendra certainement bientôt.

Le lecteur se dit que ça n’a aucun sens, que ce sont là propos d’illuminés.

Le projet sioniste était considéré de la même manière au 19e siècle et chacun peut voir où nous en sommes aujourd’hui.

Ce n’est pas parce qu’un esprit européen ne comprend pas le fonctionnement d’une cervelle juive que cette cervelle n’existe pas ou cesse d’agir.

Une seule chose importe : les juifs y croient et ils se donnent les moyens de donner vie à leur croyance. Ces juifs ne raisonnent pas à l’échelle d’une vie, mais à l’échelle de leur tribu. Donc en millénaires.

Pour eux, hier ou il y a 20 siècles, c’est du pareil au même car l’individu ne compte pas. La race juive prime tout, chacun de ses membres n’en est qu’un atome subordonné à l’ensemble.

Nous ferions bien de comprendre ça car le juif ne se connaît aucun allié, uniquement des victimes qu’ils escroquent sur le chemin de sa victoire finale.

Les juifs dévorent les peuples par étape. La conquête et l’annexion du Proche-Orient est leur projet fondamental, mais ils se donnent autant de temps que nécessaire pour y parvenir.

Cette patience biblique est la vérité occulte de la démocratie qui est son masque.

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