Dordogne : les juges rouges alertent les juifs de Mediapart de l’expulsion d’une clandestine ivoirienne poursuivie pour tentative de meurtre, la préfecture propose un billet retour gratuit

La rédaction
Démocratie Participative
08 avril 2023

Une immigrée clandestine a été expulsée de France. Une décision incompréhensible que les autorités républicaines ont annoncé corriger dans les plus brefs délais après un rappel à l’ordre de la presse d’extrême-gauche.

France Bleu :

« Il y a eu une erreur », reconnait la préfecture de Périgueux après l’expulsion le 30 mars dernier d’une ressortissante ivoirienne en situation irrégulière. La jeune femme de 22 ans a été renvoyée dans son pays alors que la procédure en cours n’était pas terminée. L’information a été révélée par Médiapart ce vendredi 7 avril sur son site internet est confirmée par France Bleu Périgord.

Il faut remercier Mediapart et ses deux figures phare pour sa vigilance.

Tout d’abord Edwy Plenel, trotskiste historique salarié par la CIA.

Et son compère circoncis, Fabrice Arfi.

Edwy a lui-même une grande passion pour les juives. Il est en couple avec la juive ashkénaze Louise Lipsztejn (Lipstein) qu’il a rencontrée à la Ligue Communiste Révolutionnaire, l’organisation trotskiste du juif Alain Krivine.

Il est le père de la juive Eve Plenel.

Sa passion antiraciste provient aussi du fait qu’il est le beau-père d’un mulâtre, le métis judéo-antillais que Louise, sa femme, a eu avec d’une précédente union en 1966.

Entre Judée et Afrique, la rédaction de Mediapart s’assure du bon fonctionnement des institutions républicaines. Du moins, jusqu’à la submersion complète du dernier village de France.

Les policiers ont arrêté la jeune femme le 10 janvier dernier après une dispute violente avec son compagnon où des coups avaient été échangés. La jeune femme avait porté un coup de couteau. Suite à son interpellation, elle avait reçu une obligation de quitter le territoire le 11 janvier, car la jeune femme, arrivée en France à l’âge de 16 ans, n’avait ni papiers, ni titre de séjour. Cependant, elle a saisi deux jours plus tard, le 13 janvier, le tribunal administratif pour contester cette décision.

Cette procédure permet, le temps que le tribunal administratif statue sur son cas, de suspendre son expulsion. Malgré tout, et bien que le tribunal de Toulouse n’ait pas rendu de décision sur son dossier, la jeune Ivoirienne a été expulsée vers Abidjan le 30 mars dernier. Le jugement du tribunal administratif de Toulouse a rendu son jugement qui annule l’OQTF, le lendemain, le 31 mars.

Nous pouvons compter sur les femmes blanches de la magistrature pour veiller scrupuleusement au droit inaliénable des Africains de vivre illégalement chez nous.

Désolé, mais pas de parité ici.

La préfecture de la Dordogne, assume la défaillance et déclare que « l’éloignement n’aurait pas dû intervenir avant la décision du tribunal administratif ». Nicolas Dufaud, sous-préfet, déclare à France Bleu Périgord que la préfecture s’est rendue compte de son erreur dès le lendemain de l’expulsion, le 31 mars et qu’elle a pris contact avec le consulat de France en Côte d’Ivoire. Selon le sous-préfet, plusieurs vols ont été proposés à la jeune femme qui n’a pas donné suite.

Si la jeune femme revient en France, elle devra demander un visa et faire une demande de titre de séjour. Elle devra également se rendre en mai à son audience pour les violences de janvier dernier.

Ce n’est que parce que cette Négresse redoute de finir en mauvaise posture dans son affaire de tentative de meurtre qu’elle montre peu d’empressement à revenir dans la patrie universelle des Nègres.

Une inquiétude très exagérée car le régime républicain, entièrement dévoué aux douats dé lhom’ ne met aucune Fatoumata durablement en prison. Surtout en cette époque de vaginocratie aggravée où une femme, à plus forte raison une guenon, veut assassiner son mec.

Quoi qu’il en soit, vous pouvez constater que la magistrature française alerte en urgence les juifs de la presse d’extrême-gauche à la moindre expulsion grâce au large tissu de cellules de juges rouges présentes dans tous les tribunaux du pays.

Il suffit ensuite d’un entrefilet dans la presse juive pour que l’état républicain mobilise ses services et applique les consignes du conseil rabbinique révolutionnaire.

Ces tribunaux font effectivement office combiné de synagogue, de loge et de soviet. Il y en a dans chaque ville d’importance en France.

Mais que pourraient faire ces juges et ces journalistes sans vos impôts que vous donnez si généreusement à la Judée militante par le biais du fisc ?

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