Échec à Crépol : la razzia visait « les Blancs »

La rédaction
Démocratie Participative
21 novembre 2023

 

Le scénario est à peu près connu. Des algériens ont été refoulés du bal de village, probablement après avoir touché le cul des nanas. La patience de l’algérien étant très limitée, ils sont revenus un peu plus tard avec les zonards de leur cité.

Ils voulaient tuer « du blanc ».

Du coup, c’est plutôt raté.

Il y avait des Blancs à cette soirée, mais pas uniquement.

Peu de gens semblent remarquer que la victime de la razzia, Thomas Perotto, était peut-être française, mais pas blanche.

Pas blanche du tout.

Ce phénotype est indéfini, il pourrait être celui d’un habitant de Bagdad ou du Caire.

Rochedy s’amuse de la tête d’orc du tueur présumé, mais la victime n’a pas moins l’air d’un métèque pour autant.

Sans le contexte, ils passeraient pour des cousins.

Un nouvel avatar remplace celui de Lola, mais en version blanchie.

De Crépol à Crépu, il n’y a qu’un pas.

Nous sommes à côté de Romans-sur-Isère, non loin de la ville italo-maghrébine de Grenoble, dirigée par Cédric Piolle. Il y a beau temps que ce secteur est déjà repeuplé par le tiers-monde.

C’est la dimension tragi-comique du Grand Remplacement. Des gens au phénotype méconnaissable s’entretuent jusque dans les villages jadis peuplés de Gaulois et la seule chose qui permette de distinguer les Fronssais des bougnoules, ce sont les prénoms du calendrier.

La plupart diront que les assaillants voulaient tuer des Blancs et que cela revient donc au même. Pourtant, selon que les victimes soient blanches ou non importe grandement, car si elles ne le sont pas, nous ne parlons plus de la même société, ni du même peuple. Ni du même pays, en fait.

Ce n’est pas un détail. C’est l’essentiel.

Pour que cette dimension parallèle soit dystopique jusqu’au bout, il faut enfin que des bougnoules se plaignent de la colonisation bougnoule sur CNews.

Nous sommes repartis pour un cycle Lola.

Typiquement, les plus énervés jurent de tuer tous les bougnoules sur Twitter et s’échangent les photos de leurs calibres sur Telegram sous l’oeil attentif des services de Gérald Darmanin.

Et puis vient l’action réelle : quelques rares manifs de 200 personnes dans des villes de 300,000 habitants. Quand elles ne sont pas interdites par Darmanin, bien sûr, parce qu’il faut rejeter les amalgames et la menace de l’utra-droite qui veut s’en prendre aux valeurs républicaines en récupérant ce drame.

Les Blancs ont été, sont et seront toujours la variable d’ajustement du « vivre ensemble » qui consiste à survivre avec.

Toute l’affaire se règlera d’elle-même en une semaine : Hossam Messiha va faire des bons mots chez Hanouna en sa qualité de bon bougnoule, parce que yenadébiens, Zemmour va mettre en tendance le hashtag #francocide après sa tournée israélienne, Bardella va appeler à bien voter aux Européennes.

Ensuite, les gens penseront à leurs vacances au ski qui approchent à grands pas.

Les bougnoules, eux, seront encore plus nombreux, puisqu’ils déferlent au rythme de 450,000 unités par an, soit 45 divisions d’infanterie auxquelles il faut ajouter les 35 divisions que produisent chaque année les maternités françaises. Face à 80 divisions d’infanterie supplémentaires chaque année, retweeter du Damien Rieu sera très peu efficace.

La cote d’alerte est dépassée depuis bien longtemps. En dernière instance, si l’on parle politique, c’est la finance internationale et le MEDEF qui décident. La foirade Meloni l’a assez bien illustré.

Il faut regarder les choses comme elles sont : ce n’est pas un pays dont la moyenne d’âge est de 42 ans, qui comptera 21 millions de retraités en 2030 pour 50% de naissances non-blanches en 2025, qui va vouloir autre chose que « sauver les retraites », razzias ou pas.

Les juifs ont simplement consenti à créer CNews comme défouloir sous contrôle. Une fois la colère passée, les gens retournent à leur routine.

C’est toujours comme ça, ça sera toujours comme ça tant que cette république juive tiendra debout.

La seule chose qui change tangiblement, ce sont les propos lors des dimanche en famille où le vieux tonton mélenchoniste finit par dire qu’il en a marre des bougnoules.

Le futur, ce n’est pas la remigration, dont la classe moyenne et les boomers n’ont aucune envie, mais la balkanisation lente sur fond de défaillance généralisée de l’État. Du moins, pour la protection de la population blanche.

En revanche, pour s’assurer de la pacification des Blancs, il ne s’épargnera aucune mesure de terreur.

La seule chose qui puisse être d’une quelconque utilité à court et moyen terme, c’est d’affaiblir l’État, par tous les moyens, jusqu’à ce qu’il ne puisse plus intervenir dans les dynamiques raciales. Pour l’heure, il intervient avec détermination, mais contre les Blancs pour qu’ils continuent d’alimenter les caisses du fisc.

C’est l’État qui organise la submersion, l’accompagne avec ses profs, ses flics, sa justice, ses partis, ses journalistes, pour le compte de la finance juive, de Bercy et du lobby retraité.

Saboter l’État, saper la démocratie, revenir à la loi du plus fort, c’est se donner des marges de manoeuvre.

Contre la censure

Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.

Ou utilisez un VPN.