Femmeblancherie : crise ovarienne à Cannes sur fond de coke et de champagne

La rédaction
Démocratie Participative
28 mai 2023

 

Hier, à Cannes, une dinde subventionnée du cinéma juif français s’est achetée un brevet d’héroïsme auprès de la NUPES.

Elle a notamment dénoncé le gouvernement « néo-libéral » de Macron.

Cette femme blanche doit avoir l’impression d’avoir fait la guerre d’Espagne.

Une pute veut de l’attention, un film interminable qui dure depuis des milliers d’années

Le « néo-libéralisme » ne consiste pas à forcer les gens à travailler pour maintenir à flots un système de retraite par répartition. Principalement parce qu’il n’y a pas de système de retraite par répartition dans un système néo-libéral.

D’ailleurs, il n’y a pas de subventions publiques pour le cinéma dans un système néo-libéral. Il faut y faire du profit en vendant des tickets d’entrée pour faire des films.

Ces encocaïnés gauchistes du showbiz n’ont même pas la reconnaissance du ventre. Macron arrose ces gens de fric – votre fric – comme jamais un chef de l’état ne l’a fait avant lui et il ne récolte que des injures de la part des bobos de Saint-Germain-des-Prés.

Les Français passent par l’Éducation Nationale dès trois ans. Ce n’est pas pour leur apprendre à lire, c’est assez clair, mais pour s’assurer qu’ils soient des demeurés toute leur vie, faute de culture.

Heureusement, Mélenchon est là pour leur rappeler d’où vient les évènements si largement médiatisés dont ils ignorent l’origine.

Mélenchon est tout de même timide.

Ce ne sont pas les pédés-cocos de Paris qui ont créé le festival de Cannes – « la gauche résistante » – mais les juifs.

Il a en effet été créé par les juifs pour concurrencer la Mostra de Venise initiée par les fascistes italiens avec le plein appui de Josef Goebbels, le génial ministre de la communication allemand.

Face au succès énorme des films italiens et allemands, le juif Philippe Erlander, maître du cinéma vranzé d’avant-guerre demanda au juif Jean Zay, ministre de l’Éducation et des Beaux-arts, de monter un contre-festival entièrement dédié à la production juive. La juiverie d’Hollywood garantit le soutien de l’Amérique.

Le juif Erlander

Logiquement, les juifs voulaient qu’une de leurs villes de villégiature estivale soit choisie pour que le festival soit adaptée à leur transhumance annuelle. Cannes correspond à ce critère.

La festival, prévu pour septembre 1939, est annulé lorsque les troupes allemandes libèrent la Pologne des juifs le 3 septembre.

Il faut donc attendre 1946 pour voir débarquer toute la synagogue cinématographique, chauffée à blanc par la reconquête de la France. Depuis, cette catastrophe suppure de judaïsme sans discontinuer, océan d’immondices sur lequel nagent tous les détraqués de la place de Paris.

Dont cette dinde dont on se fout des films.

Même la révolutionnaire champagne-caviar Jane Fonda n’a pas aimé se faire prendre pour une potiche.

Vous ne connaissez peut-être pas cette momie. Elle était partie soutenir les communistes nord-vietnamiens pendant que les jeunes Américains servaient dans la jungle.

Normalement, c’est le standard-or de la gauchiste du showbiz.

Mais même elle ne parvient pas à respirer dans le cloaque hexagonal.

Nous assistons au naufrage complet de la France. Naufrage lent au début, comme tous les naufrages, mais dont les dernières minutes sont une brutale chute à pic.

Encore quelques années et Cannes sera une ZAD comme une autre.

Le Forum EELB sera prochainement de retour