Gay pride à Saint-Denis : les Algériens très en colère contre les gouines voilées qui agitent le drapeau algérien

La rédaction
Démocratie Participative
06 juin 2023

 

Je ne sais pas quel est le numéro de cette dimension parallèle. À moins que ce soit un des cercles de l’Enfer.

Les patriotes algériens sont assez peu enthousiastes.

À Saint-Denis, le combat se déroule à présent entre créatures homosexuelles sans race et Musulmans.

C’est l’occasion de faire un peu d’histoire, pour mesurer l’effondrement de la civilisation germano-latine formée à la chute de l’empire romain.

BNF :

L’édifice religieux que nous connaissons actuellement sous le nom de basilique-cathédrale de Saint-Denis est en réalité le résultat hybride de plusieurs phases de construction, de destruction et d’agrandissement d’une première église du 5e siècle. Au 5e siècle, alors que le christianisme étend son influence sur le territoire, sainte Geneviève – future sainte patronne de Paris – fait construire une première église sur la tombe présumée de Denis, premier évêque de Lutèce et martyr catholique, afin de rendre hommage à son courage et à sa dévotion. En effet, celui qui deviendra saint Denis est missionné pour évangéliser les barbares gaulois dans la capitale de la Gaule antique, Lutèce, bientôt connue sous le nom de Paris. Il ne tarde pas à être persécuté pour ses croyances et il est décapité vers 280 sur la butte Montmartre, qui tire d’ailleurs son nom de cet épisode, Montmartre signifiant “le mont du martyre”. Selon la légende, Denis aurait alors ramassé sa tête et aurait marché vers le nord pour s’arrêter à quelques lieues de la capitale, fondant ainsi le village de Saint-Denis. Rudimentaire, cette première église a été entièrement remaniée au fil des siècles.

Dagobert visitant le chantier de la construction de Saint-Denis 

Au 7e siècle, Dagobert Ier, roi des Francs, décide de faire édifier une église abbatiale sur le site de l’église fondée par sainte Geneviève. Cherchant à asseoir son autorité, Dagobert Ier fuit Saint-Germain-en-Laye où reposaient les premiers rois de France et vient chercher à Saint-Denis la protection de cette figure illustre de la chrétienté. Avant lui, en 754, Pépin le Bref avait déjà choisi Saint-Denis pour son sacre par le pape, annonçant une alliance entre l’abbaye de Saint-Denis et le pouvoir carolingien. En effet, l’abbaye de Saint-Denis s’impose peu à peu comme un lieu de savoir et de pouvoir, avec une école, une riche bibliothèque, et un scriptorium qui participent à la sauvegarde et à la transmission des textes anciens religieux et profanes. Grâce à ses abbés et aux donations royales, le trésor du monastère devient l’un des plus riches d’Occident.

Au cours des siècles, les différentes dynasties de rois de France laissent leur marque sur l’abbaye de Saint-Denis. La basilique connaît plusieurs chantiers d’agrandissements, dont le plus marquant est sans conteste celui initié par l’abbé Suger, avec le soutien de Louis VI, dès 1135. Au 17e siècle, le domaine abbatial comprend une église abbatiale avec un mausolée royal, son abbaye attenante et des jardins. La nécessité d’accueillir les tombes des rois de France et de certains personnages illustres, ainsi que les troubles politiques qui secouent le pays, provoquent des modifications constantes dont la basilique-cathédrale actuelle garde encore les traces.

Saint Denis serait très surpris de savoir qu’il a donné son nom à un repaire islamo-LGBT peuplé de noirs et de maghrébins.

Saint-Denis, comme haut-lieu spirituel de l’empire carolingien puis de la Francie occidentale, conservait l’oriflamme de l’ost royal de la dynastie des Francs capétiens.

Saint-Denis et « Montjoie », cri de guerre germanique de la noblesse franque, « Mundgawi ! », « Protège le pays ! », sont associés au XIIème siècle dans un même cri.

La nécropole des rois de France a été ravagée par la foule woke en 1793.

Aujourd’hui Saint-Denis est un bastion de la NUPES avec une plage pour les noirs.

Et des mariages hauts en couleurs de la vibrante population locale issue de 130 nationalités.

À 08:56′ :

La révolution française et ses doctrinaires ont détruit en moins de deux siècles de démocratie des millénaires d’histoire et procèdent désormais à la liquidation biologique finale de ce qu’il reste du peuple indigène.

L’Ancien régime devait nécessairement connaître des changements profonds, proches de ceux de la méritocratie plébéienne de Bonaparte, mais la course vers le caniveau déclenchée en 1789 est une catastrophe universelle.

Il faut en finir avec cette idée de l’égalité déclarative qui donne à des hominidés sortis de la jungle des droits sur l’humanité blanche, comme avec le concept absurde d’élection comme mode d’organisation politique.

La force des meilleurs doit déterminer tout le reste, sinon c’est l’assurance de finir dans un gigantesque bain de nègres.

Le fascisme donc.

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