Journée de la résistance à la suprématie blanche : à Grigny, les divers apprennent le « chant des partisans » appelant à suriner les ennemis de la NUPES et du prophète

La rédaction
Démocratie Participative
28 mai 2023

 

LIRE ; L’effroyable histoire de la brûlante passion pour les Nègres de l’homosexuel Jean Moulin

Quel poème !

Une synthèse qui frôle la complétude absolue.

La ville communiste et grand-remplacée de Grigny, l’imposture résistantialiste, le chant terroriste juif dit des « Partisans », une baleine blanche de l’EdNat aux commandes, enfin le nouveau public divers qui ne manquera pas de prêter une oreille attentive à l’appel d’user « balle » et « couteau » pour assassiner les ennemis du prophète.

Ce scénario, j’aurais pu l’écrire moi-même pour un roman si je ne l’avais déjà fait en guise d’avertissement ici-même.

Il faut toujours répéter.

Le chant des Partisans, ce sont deux juifs. Deux cousins donc.

Joseph Kessel-Lesk et Maurice Kessel-Samuel.

Les rabbis Kessel et Kessel en grande conversation

C’est un chant de terreur juive appelant les partisans bolcheviques à l’assassinat de masse contre les ennemis de la cause de Jehovah.

Le bolchevisme et une république soviétique, c’est le régime d’extermination complet que concoctaient les juifs du Parti communiste en 1944 pour la France.

C’est ça, le CNR et ce dont a accouché cette sinistre farce gaullo-communiste, c’est le cloaque racial de la France actuelle.

La palme revient aux couillons souverainistes qui font semblant de se lamenter des conséquences de leur « libération » dont les fruits étaient annoncés par ceux qu’ils combattaient.

Je regrette que Jean Moulin ne soit pas en vie. Lui, l’ami des Nègres, aurait aimé voir du twerk dans les rues françaises.

La NUPES est bien sûr extatique, tout comme le régime juif.

« Rue du Four », avouez que c’est assez drôle.

Mais c’est surtout la droite café-au-lait qui vibre. Rien de ce qui est réminiscence de la Sans-culotterie FFI/FTP ne la laisse indifférente.

Commençons par l’élite de la démocratie juive couronnée.

La France a été « libérée » en 1944.

Mais Maurras a été bouclé.

« Une intelligence dévoyée », « un talent perverti », « oeuvre corruptrice », « doctrine mère de tous les fascismes », « l’ennemi même ».

Étonnante « libération » célébrée par l’Action française qui se termine au trou pour le fondateur de l’Action française.

Le RN, bien entendu, se consume de fièvre patriotique, allant jusqu’à citer le communiste et ardent stalinien Aragon.

Ha !

C’est qu’on lui doit ce très beau poème, en pleine orgie de sang bolchevique, au GPU, ancêtre du NKVD et du KGB :

« Il s’agit de préparer le procès monstre
d’un monde monstrueux
Aiguisez demain sur la pierre
Préparez les conseils d’ouvriers et soldats
Constituez le tribunal révolutionnaire
J’appelle la Terreur du fond de mes poumons

Je chante le Guépéou (2) qui se forme
en France à l’heure qu’il est
Je chante le Guépéou nécessaire de France

Je chante les Guépéous de nulle part et de partout
Je demande un Guépéou pour préparer la fin d’un monde
Demandez un Guépéou pour préparer la fin d’un monde
pour défendre ceux qui sont trahis
pour défendre ceux qui sont toujours trahis
Demandez un Guépéou vous qu’on plie et vous qu’on tue
Demandez un Guépéou
Il vous faut un Guépéou

Vive le Guépéou véritable image de la grandeur matérialiste
Vive le Guépéou contre Dieu Chiappe et la Marseillaise
Vive le Guépéou contre le pape et les poux
Vive le Guépéou contre la résignation des banques
Vive le Guépéou contre les manœuvres de l’Est
Vive le Guépéou contre la famille
Vive le Guépéou contre les lois scélérates
Vive le Guépéou contre le socialisme des assassins du type
Caballero Boncour Mac Donald Zoergibel
Vive le Guépéou contre tous les ennemis du prolétariat. »

(« Prélude au temps des cerises » dans Persécuté-Persécuteur, Ed Denoel, 1931)

Avec une extrême-droite de ce calibre, plus besoin des mélenchonistes.

Passons sur le fait que le RN a été fondé par des miliciens et des vétérans de la SS, dont l’illustre Brigneau qui aurait écrit un bel ouvrage de la formidable débandade frontiste sous la direction de cette immense vache alcoolique qu’est Marine Le Pen.

Contrairement à cette femme horrible qui finira mal, je ne me sens guère de remercier les juifs de Londres et New York, ni leur aviation libératrice ou leurs bandes d’égorgeurs rouges, sous prétexte que les Marseillais auraient failli parler allemand avec un fort accent méridional.

La France n’a jamais résisté et la « résistance », cartel marginal et hétéroclite d’enragés s’étant depuis établi en dynastie, n’a jamais été capable de faire quoi que ce soit de notable au plan militaire. C’est un mythe du régime putschiste gaullo-communiste pour légitimer son coup de force en été 1944. Mythe religieux, fondé sur la haine de tout ce qui lui préexistait, qui, pour être définitivement cloué dans les crânes, a été accompagné de mensonges confectionnés par le régime. Dont Oradour, bastion des terroristes rouges devenu le théâtre d’un drame mensonger et surréel où le régime revient constamment s’abreuver.

L’imposture de la « France résistante » a permis de recycler tout le monde à peu de frais, aussi bien au plan intérieur qu’international, les opportunistes se découvrant « résistants » une fois les chars anglo-américains dans les rues.

95% des boomers et fils de boomers qui exaltent la « résistance » descendent de gens qui soutenaient Philippe Pétain en 1940. Ils s’inventent une biographie pour échapper à la damnatio memoriae.

Cette vilaine franscaille, hypocrite, dégueulante, beuglante, peut bien hurler ces vieux slogans antifascistes, elle est au menu des millions de basanés qui déferlent, encore plus justement antiracistes et animés d’une ardente soif de vengeance.

Et ils sont nombreux, très nombreux.

Désormais les profs rouges leur enseignent à répondre à « l’alarme » et à planter les couteaux dans le dos des gwers et des flics, descendants de colons et d’esclavagistes, salopards islamophobes qui ne perdent rien pour attendre.

Tout bon Français qui se respecte adore ce chant antifa, comme il adore la Carmagnole. Aller tout incendier, semer l’anarchie, se servir à l’oeil dans la caisse, l’imaginaire français est d’une grande stabilité.

Sauf que désormais, c’est ce brave Français qui est visé par les couteaux de la terreur. Il n’en est pas encore totalement sûr, il veut croire au quiproquo. Il veut croire à la dissipation des incompréhensions.

« Mohamed, on est tous en lutte contre les mêmes exploiteurs ! »

Mohamed s’en fout, il aime le fric et les putes, son rêve se décline en berlines allemandes et en liasses de cash, les rêves d’égalité des monales blanches de l’Éducation Nationale le laissent indifférent, ne serait-ce que parce que ce sont des phrases compliquées.

Mohamed veut braquer la banque.

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La masse marron voit très clairement qu’un bon Blanc est un Blanc mort. Gauche ou droite, peu importe.

Quand vous voyez un de ces profs finir comme Paty, sortez le kir. C’est une ordure de moins rattrapée par son karma de pousse-au-crime.

On ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre.

On ne peut émarger aux dividendes du régime juif édifié en 1944 sur l’antiracisme et l’antifascisme d’un côté et geindre d’être désigné comme un Nazi par la NUPES et son électorat afro-islamique de l’autre.

C’est confortable psychologiquement, mais cela n’a aucune réalité. Celui qui ne veut pas finir submergé par l’immigration est l’hériter putatif du Troisième Reich, que ça lui plaise ou pas.

Alors, plutôt raciste et vivant ou subordonné au totem égalitaire, à son clergé haineux, et être mort ?

Le calcul est simple, choisissez.

Pour sortir du sas juif et pour décompresser, je vous invite à télécharger (gratuitement) et lire Les derniers grognards de Jacques Auvray. Ça changera du bain ambiant.

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