Horizon Forbidden West : « les consommateurs de jeux vidéos n’ont pas à se plaindre de la pornographie homosexuelle » décrètent les médias (juifs)

Sigmar Polaris
Démocratie Participative
25 avril 2023

 

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Combien y a-t-il d’amateurs de chemsex à BFMTV ? C’est une vraie question.

BFMTV :

Dix ans après l’adoption du mariage pour tous, les mentalités ont évolué sur le sujet. Pourtant dans le domaine des jeux vidéo, une minorité de joueurs continue encore et toujours à dévaluer des jeux au nom d’une histoire d’amour homosexuelle. Cette pratique s’appelle le “review bombing” et consiste – dans la majorité des cas – à attribuer une mauvaise note à un titre pour des raisons ne relevant en rien de sa qualité.

Des lesbiennes qui s’embrassent ne relève en rien de la qualité du jeu, goy!

Le contenu n’a aucun rapport avec le contenu, c’est dans ta tête!

A peine sortie, l’extension du jeu Horizon Forbidden West en fait déjà les frais, pointe Numerama. Depuis le 19 avril, les joueurs peuvent explorer davantage le monde dépeint dans la saga Horizon grâce à Burning Shores. Comme celà était déjà le cas avec le premier opus de la série de jeux d’aventure, le contenu téléchargeable donne accès à une nouvelle zone inédite proposant une histoire principale, mais aussi des quêtes annexes.

C’est l’une de ces missions secondaires qui a provoqué les foudres d’une partie des joueurs. Une cinématique montre l’héroïne Aloy embrasser une autre femme. Un baiser qui a poussé certains à descendre le jeu sur la plateforme de notation Metacritic. L’extension Burning Shores y affiche une note de 82 (sur 100) en regroupant l’ensemble des critiques faites par les médias. Mais pour la partie publique, noté sur 10, le jeu ne récolte qu’un 3,2.

Les médias ont raison, pourquoi les gens ne sont pas d’accord avec les médias ?

Sous pseudonymat, les critiques fusent. Selon certains, le baiser d’Aloy détruit la représentation du personnage. D’autres y voient une soumission à la culture woke. Si les arguments diffèrent parfois, c’est pour la grande majorité la romance de l’héroïne qui est dans le viseur des mauvaises notes.

Le phénomène est malheureusement loin d’être un cas isolé. Dès 2014 et la sortie de l’extension Left Behind du premier opus de The Last of Us, un baiser entre deux femmes avait suscité la polémique. Ici, la jeune Ellie embrasse son amie Riley. Le deuxième épisode de la série avait également fait les frais de la sexualité de l’héroïne. Surtout que dans cette suite, une véritable scène de sexe est présente entre Ellie et sa partenaire Dina.

Pourtant parfaitement intégrée à l’histoire, l’homosexualtié d’Ellie avait été à la source de critiques envers The Last of Us Part II. Naturellement, ces plaintes ont rejailli lors de l’adaptation en série du jeu vidéo. D’autant plus que la série a explicité une autre relation homosexuelle entre deux personnages secondaires du matériau d’origine. Un épisode entier est consacré à l’histoire d’amour émouvante entre Bill et Franck. Là encore, le “review bombing” avait frappé.

Les clients n’aiment pas ça parce que les homosexuels sont des malades mentaux. L’homosexualité repousse les gens normaux. Les lesbiennes et les homosexuels recrutés par les producteurs de jeux préfèrent couler leurs boîtes plutôt que d’aller se faire soigner.

J’aime pas ton jeu

Les jeux sont une perte de temps dans 99% des cas, avec des homos ou sans.

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