Hossam Messiha s’adresse aux Blancs « ignares » qui croient que les basanés assimilés contribuent au Grand Remplacement

La rédaction
Démocratie Participative
30 mai 2023

 

Ce sketck assimilationniste touche à sa fin et c’est très drôle.

Le rôliste Hossam Messiha continue de broder sur le thème de jisouifronssé.

Je résume :

  • Les immigrés qui ont un prénom français et qui disent bonjour, merci, au revoir ne remplacent aucun indigène.
  • Ils sont aussi français que les Français de ces 20 derniers siècles.
  • Ça a foiré en 1970 avec 2 millions d’Algériens, ça va marcher en 2030 avec 20 millions d’allogènes majoritairement musulmans.

Alors bien sûr, tout dépend des objectifs qu’on se fixe. Les objectifs de Messiha sont certainement ceux qui correspondent à son statut de pièce rapportée d’Égypte, mais cela ne veut pas dire que ce soit désirable pour des autochtones de race blanche dont le futur dépend de la préservation de leur sang de la pollution arabo-négroïde.

Sang et culture sont strictement liés, toute pollution du sang entraîne la destruction de la culture. Surtout, toute pollution du sang par du sang inférieur entraîne la chute de la victime qui voit son potentiel intellectuel et créatif anéanti.

L’Égypte de Messiha en est l’exemple incarné.

L’islam l’a définitivement achevé, non pas en raison du Coran, mais de l’afflux de sang arabo-négroïde après la conquête des Arabes. Contrairement à l’Égypte antique de peuplement berbère, les Égyptiens ont 8% de sang nègre en moyenne.

En résulte une dégénérescence complète.

Nefertiti, reine d’Égypte (-1370 avant JC / – 1330 avant JC)

Eman El-Deeb, 2018 

C’est la dimension raciale de la question qui est perfidement occultée par Messiha qui cherche à tromper les Blancs pour qu’il ne se réveille pas racialement et en reste à la question superficielle des marqueurs culturels extérieurs qui lui permettent de larper comme un Français.

La porte doit rester ouverte, en somme.

La question ne se résume pas à la question de la maîtrise de la grammaire française.

On retrouve chez Hossam Messiha l’arrogance caractéristique du bougnoule qui explique aux indigènes « comment ça marche ». Il avise Paul et Abdul et dit, « j’ai décidé que ». Si ce Messiha était un tant soit peu conscient des réalités dont il parle, il commencerait par se taire humblement et laisser les Français de sang s’exprimer sur ces questions plutôt que de les apostropher en disant « voilà la ligne ! ».

Cette insolence dominatrice chez Messiha démontre que le rapport de force racial ne quitte jamais sa cervelle lorsqu’il parle aux Français de sang dont il se dit outrancièrement « l’égal ». Il sait qu’il est justement « inassimilable » et que le fossé irréductible qui perdure doit être compensé en dominant le Français de souche qu’il caporalise verbalement avec condescendance.

L’idée de dire non à un métèque échappant complètement à un Français de base, Messiha n’a aucun effort à fournir dans ce registre. Le Français est docile, tout spécialement avec les étrangers, n’importe quel bicot ou cafre qui agite un tricolore se met 95% des Français dans la poche. S’il jacte avec un minimum d’habileté, l’affaire est faite.

Messiha, c’est le sale Arabe des années 1960 qui squatte avec le code vestimentaire des années 1970. Ce n’est pas parce que les sales Arabes des années 2020 sont encore plus insupportables qu’ils n’en sont pas moins arabes ou plus inassimilables.

La classe naturel du Français :

Ou pas :

Ceci dit, je suis très content que Messiha existe car il rend l’assimilation dont il parle impossible. C’est un mécanisme psychologique connu : plus vous montrez quelque chose de désirable à quelqu’un, plus il le recherche, mais s’il ne trouve que l’exact inverse de ce que vous lui avez promis il finit par en ressentir une intense frustration et finit par exprimer une profonde désillusion.

Autrement dit, Messiha fabrique des « déçus » du mythe assimilationniste à rythme soutenu. Les patriotes BBR qui croient à l’assmilation par le pâté et le pinard cherchent au loin une sorte d’Arabe à lunettes qui dise aux Arabes de se taire en brandissant le tricolore et il ne trouve au coin de la rue que des Algériens hostiles et patibulaires.

C’est pourtant ici que l’extrême-droite nostalgique de l’empire colonial a décidé de livrer son dernier combat, perdu d’avance comme toujours depuis que l’extrême-droite française existe, depuis la restauration jusqu’à l’Algérie française.

Elle va crever sur cette illusion absurde.

C’est la gauche les vrais racistes.

Je relève quand même que des Français de sang commencent à sortir de cette liqueur au cyanure.

Quelle riche idée. Cela devrait être obligatoire de produire son arbre généalogique afin de savoir pour qui roule qui.

Nous y viendrons de toute façon.

Chassez le naturel, il revient au galop.

Le chantage au racisme par un bicot, ça faisait au moins une heure que je n’en avais pas vu un exemple.

Hossam, en réalité, n’aime pas les Gaulois trop territoriaux, qui manquent d’ouverture à l’envahisseur, restrictif quant au sens du partage de leurs filles.

Les Arabes n’en veulent pas davantage, de cette « assimilation ».

Et ils parlent d’or.

Ils veulent rester ce qu’ils sont.

Sur ce, vous direz, « mais pas chez nous alors ! ». Oui, justement. C’est la conclusion logique de l’échec de l’assimilation : l’expulsion. Or, tant que le mythe de l’assimilation est diffusé partout par l’extrême-droite démocratique, la question brûlante de l’expulsion de masse des allogènes n’est pas abordée dans les segments de la population la plus sensibilisée à la question de l’immigration, on en reste à des débats absurdes sur la façon dont parlent les Arabes.

Imaginez un peu faire le tri entre les Arabes qui causent bien la France, dans un pays où les Français de sang eux-mêmes parviennent à peine à écrire français.

Sur ce, dans le registre des équations impossibles, vient toujours le type qui vous dit : « Moi je préfère un Arabe ou un Noir patriote qu’un sale gauchiste blanc qui hait la France ! ».

On peut changer d’idées, pas d’ADN.

Un Français de sang peut être récupéré ou à défaut ses enfants et petits-enfants. Combien de fils de gauchistes ne sont pas devenus des racistes ? « Patriotes », pour utiliser un mot moins âpre au palais.

En revanche quel est le pourcentage de chances pour qu’un des petits-enfants d’Hossam devienne un rappeur/dealer ?

Toutes ces difficultés viennent de la question de l’espace territorial, de l’état, de la « nationalité » et de sa définition. Que ça plaise ou pas, il y a une quantité énorme de métèques en France, dont la plus grande partie est naturalisée d’une façon ou d’une autre, ce qui aboutit à la situation présente ou l’État post-blanc français est l’instance qui détermine tout, à commencer par ce qui est « français ».

Comme la démocratie tient debout, tout découle des élections et ce cloaque multiracial, multiethnique, pré-musulman est de facto « la France » qu’il faut « conquérir » par l’urne pour prétendre y faire quoi que ce soit, mais ce n’est pas le politicien qui conquiert l’urne, c’est l’urne qui conquiert le politicien et ainsi, de compromis en compromission, est validé le fait accompli démographique.

Tant que la réflexion commence par l’État et non par la race et le peuplement, on maintiendra en vie la fiction nationale, simplement par formalisme, aveuglement ou opportunisme, quand bien même on a les pieds un bourbier algéro-négroïde infect qui n’a rien de français au sens ethnico-historique.

En France, la nation existe désormais contre la race. Pour se maintenir, elle doit intensifier l’éradication du peuplement historique, avec son accord ou malgré lui.

Les souverainistes sont les spécialistes de ce marchandage.

Ils nient la réalité avec plus ou moins de mauvaise foi, inversent cause et conséquence pour sauver leur grigri national au nez épaté.

Il est surprenant de voir que les adeptes du communisme national parlent comme les souverainistes.

Cette fiction sera bazardée quand la douleur sera plus intense que le bénéfice que ses adeptes en retirent.

Si vous vous demandez quand, c’est au moment où vous devenez une minorité dans votre « nation » fictive et que vous devez raquer jusqu’à l’esclavage pour entretenir des « compatriotes » qui vous haïssent, volent, violent et tuent parce que vous êtes de la mauvaise minorité raciale.

Les Français eux-mêmes le savent, au point de s’être donnés une nationalité vernaculaire pour se distinguer des Français légaux en s’appelant « Français de souche », c’est-à-dire Français de sang.  En soi, c’est une rupture profonde de l’état de conscience et un recul majeur de la conception de la nationalité héritée de la révolution.

Maurras a essayé de clore la guerre civile débutée en 1792 entre républicains et monarchistes pour sauver l’état-nation grâce à son « compromis nationaliste ». Aujourd’hui, c’est l’inverse qu’il faut faire : déclencher la séparation raciale en défaisant l’état-nation hérité de la révolution qui, s’il n’était pas stoppé, négrifierait jusqu’à submersion complète la démographie de l’espace dont il a l’administration.

Peu d’efforts sont nécessaires, car ce n’est que l’évolution naturelle de la partition raciale qui se met en place partout, petit à petit, de mille façons, par évitement.

Par exemple, quand vous évitez Aquaboulevard, vous êtes un contre-révolutionnaire et un ennemi de la république.

Tant que les Blancs ne sont pas en minorité, ils croient encore que l’État est « français », c’est-à-dire leur propriété historique, instrument de leur volonté collective. Ça ne change pas leur vie, mais c’est le cadre mental stable auquel ils adhèrent.

Quand ils seront en minorité, d’ici une trentaine d’années, et bien avant un peu partout, l’État ne sera plus que l’instrument de la volonté de ses ennemis raciaux.

Ce sera un renversement complet, exactement comme aujourd’hui les allogènes identifient l’État et sa police à un état racialement étranger, « blanc », et hostile.

Dans un tel moment, il est facile de dire ce qui disparaît, mais beaucoup plus difficile de vouloir et dire ce que l’on veut.

Il y aura bien une nationalité française non étatique, une nationalité de sang, tant que des Français d’ascendance aryenne se reconnaîtront comme tels, mais elle n’aura plus nécessairement de conséquence politique, pas plus que le fait d’être allemand au 16e siècle n’avait d’implication politique.

L’état et la nationalité ont largement commencé à se dissocier, ce qui est radicalement nouveau en France. Ces changements considérables ne produisent leurs pleins effets instantanément, cela prend des décennies, voire plus.

Plus l’État devient l’état « de tous », « diversifié », organisateur du « vivre ensemble », moins il est l’état particulier des Français de sang d’avant la submersion migratoire. Au quotidien, il devient distant, suspect, hostile.

Les Gendarmes de Saint-Tropez ont été remplacés par des femmes blanches en charge de construire la police politique diversitaire préposée au nettoyage ethnique.

Cet état antiblanc, c’est l’ennemi.

Le Forum EELB sera prochainement de retour