Il serait « juste » et « moral » d’exterminer des millions de civils estime Bezalel Smotrich, ministre modéré des Finances israélien

La Rédaction
Démocratie Participative
06 août 2024

 

Les goyim éprouvent les plus grandes difficultés à comprendre la notion de « moralité » chez les juifs.

C’est pourtant simple à comprendre.

Selon la mythologie juive telle que restituée par la Torah, Yahvé, le dieu racial des juifs, a créé « l’homme à son image », Adam.

Ce n’était pas il y a si longtemps, puisque, selon la religion des juifs, Adam est apparu sur terre il y a environ 5700 ans.

L’homme à l’image de Yahvé est un homme qui se conforme à la volonté du dieu des juifs. Hélas pour Adam, un jour, il contrevint à cette obligation en mangeant le fruit de l’arbre de la connaissance, comme on sait.

Plus tard, Yahvé interpella Moshe dans le Sinaï.

Il lui dicta la façon d’être à son image à travers 613 « mitsvots », ou commandements, parmi lesquels ne pas manger le nerf sciatique d’un animal, ne pas manger de viande et de lait cuits ensemble, ne pas cueillir les raisins non formés en grappes ou encore veiller à préparer des latrines à l’écart des campements.

Tous les juifs sous la direction de Moshe durent se soumettre à ces interdictions d’une grande profondeur édictées par le créateur de l’univers.

La « moralité » selon les juifs est le mimétisme obligatoire auquel Yahvé astreint les juifs depuis que Moshe a reçu la Torah.

Pour accéder à la « moralité », c’est-à-dire être à l’image de Yahvé comme jadis Adam, le prérequis fondamental est d’être juif puisque, depuis le Sinaï, seuls les juifs peuvent agir en conformité avec la volonté de Yahvé.

Il n’y a pas d’accès à la pleine moralité sans être juif, c’est une impossibilité métaphysique.

Dans le judaïsme, épicentre spirituel des démocraties, la moralité est donc un fait racial qui se transmet par le sang strictement circonscrit aux juifs.

Il en résulte que nous, goyim, ne pouvons pas discuter de moralité en général puisque seuls les juifs la comprennent réellement pour des raisons génétiques, en vertu d’une ordonnance divine.

Le bien des juifs primant tout le reste – puisque les juifs sont les seuls à pouvoir être intégralement humains, c’est-à-dire à l’image de Yahvé -, il est « moral » pour les juifs d’exterminer leurs ennemis qui sont, en toute logique, les ennemis de Yahvé.

Bien sûr, dans leur immense bienveillance, les juifs jurent ne vouloir de mal à personne. Ils ne font que se défendre contre les bêtes à forme vaguement humaine qui, par jalousie, tentent de priver la race juive de la terre promise, terre qui ne se limite pas à la Palestine, contrairement à une idée reçue, mais au globe tout entier dont les nations (« goyim ») qui la peuplent ont devoir de soumission.

Le gouvernement modéré de Tel Aviv se borne à appliquer les préceptes de la Torah qui ont, d’après ces juifs, près de 6,000 ans. Comme en démocratie il nous est interdit de douter du droit suprême des juifs à instaurer leur domination planétaire telle que voulue par Yahvé, leur divinité tribale, nous devons bien nous conformer à cette conception de la moralité juive.

En tout cas, vous voilà pleinement informé sur le sens que les juifs donnent à leur armée raciale, « Tsahal », l’armée la plus « morale » du monde.

Cela veut dire, littéralement, qu’il s’agit de l’armée la plus juive du monde.

Ce qui semble assez exact.

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