Italie : Meloni signe le « décret flux » pour importer 450,000 migrants d’ici 2025 parce que l’économie

La rédaction
Démocratie Participative
15 décembre 2023

Et dire que tous les losers critiquaient la femme Meloni alors qu’en réalité elle est BASÉE.

Le Figaro :

Les entreprises italiennes en quête de main-d’œuvre se sont ruées ces derniers jours sur les demandes de permis de travail dès l’ouverture du site du ministère de l’intérieur. Car, tout en s’attaquant à l’immigration illégale, le gouvernement de Giorgia Meloni a rouvert les flux d’immigration légale de travail, après douze années d’interruption. «Le “décret flux”, qui prévoit l’entrée régulière de quelque 452.000 travailleurs sur les années 2023 à 2025, est la première véritable réouverture, depuis 2011, des frontières aux travailleurs réguliers, explique Ginevra Demaio, chercheuse senior au centre de recherche et d’études de l’Idos, le centre statistique sur l’immigration. Ces dernières années, seuls les travailleurs saisonniers pouvaient obtenir des permis de travail, mais au compte-gouttes. Expliquant en partie la forte augmentation de l’immigration illégale.»

Oh, c’est sûrement ça.

L’invasion illégale s’explique par la fin de l’invasion légale.

À présent que la femme blanche à la tête de l’Italie a rétabli l’invasion légale, l’invasion illégale va certainement cesser dans les semaines et mois à venir.

Or depuis la pandémie, les pénuries de main-d’œuvre sont telles que les organisations professionnelles avaient demandé 800.000 permis de travail sur trois ans. Même la main-d’œuvre étrangère peu qualifiée est devenue vitale, tant le déclin démographique rogne les forces vives italiennes. Alors qu’il y avait à fin 2022, 2,3 millions d’étrangers travaillant régulièrement, ils pèsent plus de 30 % de la main-d’œuvre déclarée dans l’agriculture, et plus de 70 % dans les services à la personne.

Par crainte de l’effet négatif d’une autorisation massive sur l’opinion publique, un peu plus de la moitié des demandes seulement ont été consenties. Avec, de surcroît, un garde-fou: l’obligation pour l’employeur de certifier par une auto-attestation l’indisponibilité de travailleurs italiens pour les mêmes tâches.

La démocratie, les sondages, les femmes en politique.

Une histoire désespérément banale.

L’ouverture devait servir à faire venir de la main-d’œuvre additionnelle, pas à régulariser les clandestins. Le gouvernement aurait dû changer cela, et on peut regretter qu’il ne l’ait pas fait Ginevra Demaio, chercheuse senior au centre de recherche et d’études de l’Idos, le centre statistique sur l’immigration

Si ces nouveaux permis de travail seront supérieurs aux flux du début des années 2000, ils restent très en deçà des besoins. En pratique, chaque secteur d’activité avait son jour de dépôt de demande, son «click day», étalé entre le 2 et le 12 décembre. Or, globalement, pour 136.000 permis octroyés, il y a eu 608.000 demandes. Dont plus de 150.000 dans l’agriculture pour 40.000 permis. Et 76.000 dans l’aide à domicile, pour… 9500 permis, soit huit fois plus. Beaucoup d’employeurs se sentent lésés, d’autant que le système informatique n’a pas toujours marché. «C’est une véritable loterie», regrette, amer, Andrea Zini, le président d’Assindatcolf, l’association des familles employeuses. Ils pourront retenter leur chance en février.

Pour résumer la situation, les capitalistes italiens, gros et petits, exigent l’afro-orientalisation à outrance du pays pour faire leur chiffre d’affaires.

Tant que sera en place ce système mortel qu’est la démocratie et la société de consommation, avec son diktat du profit, le cartel capitaliste organisera le Grand Remplacement.

Si les femmes ne font pas d’enfants, c’est d’abord et avant tout parce qu’elles ont été mises au travail salarié. Avec l’argent qu’elles gagnent, elles s’émancipent et, grâce au droit de vote, abolissent le patriarcat. Leur hypergamie devient politique d’état. Ce qui implique la fin du mariage et la généralisation de l’avortement.

Il en découle un effondrement de la natalité apocalyptique.

La réponse des démocraties financières est d’importer des gens marron pour être italiens à la place des Italiens.

Ce qui fonctionne assez mal.

Aucun argument économique n’a de valeur à ce sujet.

Le socle biologique d’un pays blanc est son bien le plus précieux. La division par 3 de son PIB est un détail et elle est même souhaitable si c’est la condition de la survie.

Les gens n’ont besoin que d’un toit sur la tête, de trois repas par jour – en fait de deux -, et de soins.

Tout le reste est accessoire, superficiel, voire inutile.

La démocratie paralyse toute politique de redressement en la subordonnant à la classe bourgeoise parasitaire qui dicte ses priorités boutiquières au reste du pays.

Les solutions sont simples :

  • abolir la démocratie et instaurer un régime autoritaire,
  • abolir le matriarcat et restaurer le patriarcat total, avec, notamment, l’interdiction, sous peine de mort, de l’avortement,
  • le travail des femmes doit être drastiquement réduit et l’ensemble de l’économie subordonnée à l’impératif de survie biologique du peuple,
  • mettre en place une taxation massive des personnes ayant moins de deux enfants
  • remplacer le système de retraite par un mécanisme de solidarité intergénérationnelle à l’échelle de la famille, de la commune et de l’entreprise

Ceux qui hurleront à la tiers-mondisation sont les mêmes qui devront vivre avec des noirs et des arabes devenus majoritaires dans leur pays « développé ».

Oui, le quartier afro-maghrébin de Romans-sur-Isère a été intégralement refait pour des centaines de millions d’euros, mais c’est un taudis du tiers-monde.

Quant à ceux qui diront que c’est « impossible », même les nègres du Sahel font 8 enfants par femme, au beau milieu du désert.

Nous pouvons parfaitement nous accommoder du PIB des années 70, d’autant que le PIB actuel n’est qu’un dérivé de l’inflation monétaire, et non pas d’une augmentation matérielle du niveau de vie.

D’ailleurs, plus le PIB augmente, plus le niveau de vie réelle de la population moyenne stagne ou baisse.

Avez-vous l’impression d’avoir vécu une famine en Afrique dans la France des 1990 ?

Pourtant le PIB français était inférieur de 70% à celui d’aujourd’hui.

Revenir à une France blanche à 90% avec un PIB inférieur de 70% et infiniment préférable à une France « riche » sur le papier où les smicards blancs vivent terrorisés, assiégés par des dizaines de millions d’envahisseurs venus des confins de l’Afrique et de l’Orient.

La dictature du PIB est un prisme juif qui doit être intégralement jeté aux ordures, avec les juifs eux-mêmes.

C’est la dictature de l’homme blanc tout court qui doit être le nouveau prisme.

Nous en revenons à la formule originelle du national-socialisme, c’est-à-dire de la subordination de l’économie à la pérennité du peuple.

En réalité, c’est l’esprit petit-bourgeois qui est la cause du désastre actuel. La très nette majorité de la population veut le beurre, l’argent du beurre et le sourire de la crémière, c’est-à-dire cette société juive, sans ses effets.

Elle fermente dans sa pourriture, sans force vitale, vieillissant à vue, cacochyme.

L’Italie ne pourrait se redresser que sous la direction d’un homme fort, exceptionnellement capable, qui renverse la démocratie, ses partis, abat le féminisme d’état, règne par une dictature masculine impitoyable avec ses ennemis.

100,000 hommes suffisent pour tenir un tel régime, 10,000 révolutionnaires suffisent pour l’organiser, 100 hommes suffisent pour le diriger et un homme suffit pour le guider.

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