Italie : une influenceuse balance tous les détails de sa relation avec un ministre après s’être faite refuser un poste

La Rédaction
Démocratie Participative
07 septembre 2024

Gennaro Sangiuliano

La cruauté et le cynisme des femmes n’ont aucune limite.

TF1 :

Éclaboussé par une liaison avec une influenceuse, le ministre italien de la Culture, Gennaro Sangiuliano, a quitté son poste ce vendredi 6 septembre. « Après avoir longuement réfléchi, au cours de ces journées douloureuses (…) j’ai décidé de démissionner de manière irrévocable de mon poste de ministre de la Culture », a-t-il écrit à Giorgia Meloni dans une lettre publiée par son ministère.

Gennaro Sangiuliano est le premier ministre du gouvernement de Giorgia Meloni à démissionner, et ce, à moins de deux semaines d’une réunion, du 19 au 21 septembre, des ministres de la Culture des pays riches du G7 que l’Italie préside cette année. Il a également annoncé saisir le parquet pour défendre « [s]on honneur » et « démontrer [sa] transparence absolue ». « J’ai agi de manière correcte », a-t-il assuré, sans préciser qui serait visé par sa plainte.

« Je remercie sincèrement Gennaro Sangiuliano (…) pour l’extraordinaire travail accompli jusqu’à présent qui a permis au gouvernement italien d’obtenir d’importants résultats de relance et de valorisation du grand patrimoine culturel italien », a réagi de son côté Giorgia Meloni dans un communiqué.

Mercredi 4 septembre, dans une tentative de sauver son poste, Gennaro Sangiulano, 62 ans, s’était livré, sanglotant, à un exercice de contrition largement moqué dans la presse. Lors de cette interview, il a notamment essayé d’expliquer les circonstances de sa rencontre avec Maria Rosaria Boccia, 41 ans, qui ces derniers jours a inondé les réseaux sociaux de témoignages de leur relation. « C’est devenue une relation sentimentale » en mai dernier, a-t-il reconnu, affirmant y avoir mis un terme « fin juillet, début août ».

Cet homme souffre d’un sévère manque de jugement. Quel homme de pouvoir cède à une traînée quasi ménopausée de plus de 40 ans ?

Elle n’est même pas anciennement belle.

Un homme politique de premier plan qui veut profiter de son statut pour coucher avec de belles femmes ne devrait jamais céder aux avances de gonzesses de plus de 30 ans.

Maria Rosaria Boccia a mis le feu aux poudres en publiant sur Instagram fin août sa prétendue nomination au poste de conseillère du ministre de la Culture pour les grands événements, ce que ce dernier s’est empressé de démentir. Elle a répliqué en publiant des photos d’elle en compagnie du ministre lors de nombreux événements publics, des mails, des cartes d’embarquement, etc. À chacune des affirmations du ministre, un homme marié, qui apparaît sur certaines photos publiées par Maria Rosaria Boccia sans son alliance, la jeune femme a répondu, affaiblissant chaque jour un peu plus sa défense.

Lors de son interview vérité mercredi, il a assuré, extraits de comptes bancaires à la main, qu’il avait payé personnellement toutes les dépenses liées aux divers déplacements de Maria Rosaria Boccia en sa compagnie, et que pas un seul euro public n’avait été dépensé. « La première personne à laquelle je dois présenter mes excuses, et qui est une personne exceptionnelle, est ma femme », avait-il dit, la voix brisée, au cours de cette interview. « Je demande pardon également à Giorgia Meloni qui m’a fait confiance pour l’embarras que j’ai créé pour elle et le gouvernement », avait-il ajouté, ayant encore à ce moment-là le soutien de ses pairs.

Vous avez là tout le vice et la perfidie dont sont capables ces créatures.

Cette catin escomptait se forger un rôle de premier plan dans la vie mondaine italienne en couchant.

Ce naïf a été débordé par sa voracité.

Elle va l’humilier lentement et sûrement devant toute l’Italie en expliquant qu’il a un pénis d’une taille ridicule et qu’elle était si mal baisée qu’elle devait se consoler avec ses conseillers. Elle va écrire un livre, accorder des tas d’interviews, faire des talkshows.

Les médias démocratiques vont se délecter.

Attila était moins sauvage qu’une seule de ces femmes.

Les femmes se hissent par la chatte si leur physique leur en offre l’opportunité.

C’est leur outil de travail.

Elles sont aussi naturellement douées pour le chantage, l’extorsion et la victimisation.

Ce ministre aurait dû se contenter d’une illustre inconnue et refuser catégoriquement de la laisser rôder dans son milieu professionnel.

À présent qu’il est suspecté d’avoir proposé des faveurs publiques à cette garce en échange de relations sexuelles, sa carrière politique est terminée.

Une femme se fiche totalement de mettre en péril l’État. Dans le cas présent il s’agit d’un ministre de la culture, mais les dégâts auraient pu être bien plus sérieux s’il s’agissait d’un ministère stratégique.

Les démocraties laissent ces femmes libres de semer l’anarchie et plus le temps passe, plus les choses s’aggravent.

Si les hommes n’étaient pas aussi pathétiquement féministes qu’ils le sont aujourd’hui, la situation ne serait pas aussi désastreuse.

Contre la censure

Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.

Ou utilisez un VPN.