JO des OQTF : l’Église catholique se mobilise pour nous flanquer encore plus d’envahisseurs sur le dos

La Rédaction
Démocratie Participative
27 juillet 2024

Nous sommes en 2024 et certains n’ont toujours pas compris ce qu’était l’organisation LGBT dont le siège est à Rome : la plus grande organisation de passeurs de la planète.

Ah ben ça alors !

C’est certainement pas des vrais Catholiques, c’est sûrement un malentendu.

« Crime des crimes, la religion catholique fut à travers toute notre histoire, la grande proxénète, la grande métisseuse des races nobles, la grande procureuse aux pourris (avec tous les saints sacrements), l’enragée contaminatrice. La religion catholique fondée par douze juifs aura fièrement joué tout son rôle lorsque nous aurons disparu, sous les flots de l’énorme tourbe, du géant lupanar afro-asiate qui se prépare à l’horizon. Ainsi la triste vérité, l’aryen n’a jamais su aimer, aduler que le dieu des autres, jamais eu de religion propre, de religion blanche. Ce qu’il adore, son coeur, sa foi, lui furent fournis de toutes pièces par ses pires ennemis. Il est bien normal qu’il en crève, le contraire serait le miracle. »

La vilaine droite française poursuit de ses élans amoureux curetons et reliques en jurant au quiproquo.

Il n’y a aucune erreur.

C’est la politique de l’abrahamisme anti-aryen millénaire.

L’Église, tant qu’elle aura un semblant de vie, bolchevisera démocratiquement le dernier pays blanc jusqu’à la voûte céleste à coups de millions de cafres incrédules. Tout saloper sur un ton doucereux, ça n’a aucun secret pour les curés, ces tantes honteuses qui s’enculent.

Plus ils nous le hurlent à la face et sur tous les modes, plus la catholiquerie droitière nous casse les oreilles avec son déni et ses excuses lamentables qui ajoute à l’odieux de la situation l’insulte à notre intelligence.

Et cela fait 130 ans qu’elle se fout de nous, à coups de prophéties et d’insanités.

« Les hommes semblent éprouver un grand effroi, absolument insupportable de se trouver un beau matin, tout seuls, absolument seuls, devant le vide. Les plus audacieux, les plus téméraires se raccrochent, malgré tout, à quelque trame usagée, bienvenue, classique, éprouvée, qui les rassure et les relie aux choses raisonnables, acceptées, à la foule des personnes convenables. On dirait que le froid les saisit. Ainsi Drumont et Gobineau se raccrochent à leur Mère l’Église, leur christianisme sacrissime, éperdument. Ils brandissent la croix face au juif, patenté suppôt des enfers, l’exorcisent à tout goupillon. Ce qu’ils reprochent surtout au youtre, avant tout, par dessus tout, c’est d’être le meurtrier de Jésus, le souilleur d’hostie, l’empêcheur de chapelets en rond… Que ces griefs tiennent peu en l’air ! La croix antidote ? quelle farce !
Comme tout cela est mal pensé, de traviole et faux, cafouilleux, pleurard, timide. L’aryen succombe en vérité de jobardise. Il a happé la religion, la Légende tramée par les juifs expressément pour sa perte, sa châtrerie, sa servitude. Propagée aux races viriles, aux races aryennes détestées, la religion de “Pierre et Paul” fit admirablement son oeuvre, elle décatit en mendigots, en sous-hommes dès le berceau, les peuples soumis, les hordes enivrées de littéra-[60]ture christianique, lancées éperdues imbéciles, à la conquête du Saint Suaire, des hosties magiques, délaissant à jamais leurs Dieux, leurs religions exaltantes, leurs Dieux de sang, leurs Dieux de race. »

Il va falloir autre chose que les bouffées d’endométriose de Sainte Thérèse de Lisieux, les apparitions fumigatrices de Lourdes (!) ou les divagations de l’autre frappé du Vatican pour sortir l’homme blanc du cul de basse-fosse racial dans lequel évêques et curés le noient en se pourléchant goulument les doigts gluants de foutre, en ouverte conspiration avec les juifs, maçons, homosexuels coalisés, agitateurs rouges et métèques.

Qu’on cesse de nous judaïser à l’usure en tolérant les agissements intolérables de cette curaille négrificatrice.

Ce « dieu » – Yahvé – est représenté ici sur les inscriptions de Kuntillet Ajrud datant d’environ le 9e siècle avant notre ère, qui – soit dit en passant – est représenté devant sa femme Asherah et d’autres divinités. En d’autres termes, Yahvé a été « choisi » par les Habiru (Hébreux) comme leur principal « dieu » pour les représenter. L’idée selon laquelle ce sont eux qui sont à l’origine du monothéisme est un mensonge.

Il faut à la Gaule un culte racial et ancestral.

Je nous propose de commencer sans attendre en reprenant nos lieux de culte millénaires des mains des usurpateurs.

Oui, c’est possible, à brève échéance, avec de la méthode et de la patience, mais surtout de la volonté et une envie de vivre inconditionnelle.

Rouvrons les temples !

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