JO pédés 2024 : le régime macroniste inaugure un bunker réservé aux homosexuels dans le 7ème arrondissement

La Rédaction
Démocratie Participative
30 juillet 2024

Les fiottes se donnent rendez-vous à la « Pride House », dans le 7ème arrondissement, avant d’aller s’entre-enculer. Si vous êtes hétérosexuel et que vous essayez d’entrer, vous serez abattu par le GIGN giga pédé

La lutte contre le séparatisme bat son plein, à deux exceptions.

Le Parisien :

« Un lieu comme ça, c’est nécessaire. » Les membres de la communauté LGBT + ont accueilli avec soulagement l’ouverture lundi à Paris de la « Pride House », une « fan zone » contre les discriminations dans le sport.

« Fan zone » est un nom de code.

En adéquation avec sa volonté « d’ouvrir grand les Jeux », Paris 2024 souhaite grâce à ce nouveau lieu de festivité « ouvert à tous et toutes » réaffirmer « son engagement dans la lutte contre toutes les discriminations, et affiche son soutien à toutes celles et ceux qui en sont victimes ». Localisée au Rosa Bonheur sur Seine, sur le port des Invalides dans le VIIe arrondissement de Paris, la Pride House ouvre sur fond de polémique après la cérémonie d’ouverture des JO.

Seulement quelques jours plus tôt, vendredi 26 juillet, se tenaient à quelques encablures de là, sur la passerelle Debilly, le « banquet » et le défilé de personnalités drags et queers qui ont alimenté les controverses. « À l’heure actuelle, les athlètes sont obligés de se cacher », déplore le coprésident de la fondation pour Fier Play et organisateur de la Pride House Paris 2024 (« maison des fiertés »), Jérémy Goupille, auprès de l’AFP. Le lieu accueillera les membres et sympathisants de la communauté LGBT + tout au long des JO-2024.

Le concept d’apartheid reprend du crédit.

Il suffisait qu’il soit adopté par des espèces protégées en démocratie.

Paris « s’est exprimé dans le respect, dans un mélange de tradition et de modernité qui honore notre pays », a déclaré la ministre démissionnaire des Sports Amélie Oudéa-Castéra, répondant aux controverses sur la cérémonie de vendredi. « C’est important d’envoyer un message positif qui rappelle que nous sommes tous égaux », a-t-elle ajouté en inaugurant cet espace.

Mais si nous sommes tous égaux, pourquoi y a-t-il des zones réservées aux homosexuels et aux gouines ? (question rhétorique inutile)

Et pourquoi Oudéa-Castéra, qui est intarissable sur les vertus du SIDA,  met-elle ses gosses à Stanislas, chez les Catholiques ?

Je me sens laissé de côté avec leur conception d’inclusion.

Je me sens exclu.

Heureusement que je n’y participe pas.

La scène de la Pride House accueillera chaque jour des athlètes de la communauté et un grand écran diffusera en direct leurs épreuves. « On est extrêmement soulagé de voir le projet aboutir », s’est félicité Hélène Germain, présidente de la fédération sportive LGBT + qui lutte pour l’inclusion des personnes LGBT + dans le sport. Ce sera « un lieu sûr (…) permettant aux athlètes qui veulent s’exprimer sur ces sujets de trouver une plateforme idéale et un lieu dédié pour pouvoir le faire. La Pride House est ouverte à toutes celles et ceux qui croient en la nécessité d’un sport plus inclusif », insiste de son côté Paris 2024.

L’exclusion c’est l’inclusion

J’entends beaucoup de choses sur ces Jeux Olympiques.

Pour ma part, je pense qu’ils resteront comme les JO les plus pédés de l’histoire de l’olympisme.

D’ailleurs ce seront peut-être les derniers jeux de l’histoire tellement ils sont pédés.

Ce serait logique, puisque les premiers jeux ont eu lieu à Paris, il y a 100 ans.

L’éléphant est venu mourir dans son cimetière.

L’histoire retiendrait qu’ils sont morts du SIDA.

Comme Pierre Palmade.

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