JUDEA DECLARES WAR ON FDESOUCHE !

La rédaction
Démocratie Participative
20 juillet 2023

 

Les juifs persistent et signent.

Après avoir accusé à tort le site Fdesouche.com de manipuler des photos d’illustration d’articles pour générer des réactions « racistes », la LICRA a déclaré que son mensonge ne changeait rien car c’est sur la base du fonctionnement du site lui-même qu’il doit être interdit.

« Site extrémiste », avouez que toutes les prudences de Fdesouche.com n’auront servi à rien.

Jadis Fdesouche.com avait du contenu original avant de finalement devenir un simple agrégateur d’articles de presse. L’idée était de ne pas avoir à répondre pénalement du contenu des articles.

Compte tenu des lois juives en vigueur, si la LICRA peut s’assurer de juges de confiance, son dossier est recevable. Comme nous sommes dans le domaine de la loi de 1881 sur la « liberté de la presse », il y aura de toute façon une instruction. Il suffit aux juifs de la LICRA de démontrer que le site met en avant de manière systématique des articles qui visent à générer consciemment un « sentiment général d’hostilité envers les immigrés ou les musulmans » en donnant « une image volontairement tronquée ou inexacte » d’eux. Pour prouver cela, la LICRA pourra citer les commentaires « ouvertement haineux, racistes, antisémites, anti-musulmans » qu’entraînent ces articles sur Twitter et dire que ces réactions « ne peuvent pas échapper aux animateurs du site ».

Franchement, c’est assez simple légalement. Les juges font ce qu’ils veulent comme l’a expliqué l’avocat Éric Delcroix dans son livre Le théâtre de Satan.

Concrètement, si la LICRA parvient à ses fins, cela veut dire que le site Fdesouche.com sera obligé de cesser d’exister. Nous verrons, mais ce n’est certainement pas une surprise. Le site a toujours refusé d’évoquer les nombreux cas de nationalistes censurés et condamnés par cette même machine pour que Fdesouche.com ne soit pas « associé » à ceux qui n’étaient que les canaris dans la mine, ceci dans l’espoir de ne pas déclencher l’animosité des juifs. C’était une vue de l’esprit comme on le voit. À présent que la plupart ont été condamnés et réduits au silence, c’est au tour de Fdesouche d’être visé par les juifs suite aux émeutes raciales.

Le juif se moque de savoir si quelqu’un est antisémite. Le juif décide de qui est antisémite selon qu’il soit ou non objectivement gênant pour les intérêts juifs, selon le contexte du moment. Rendre très visible l’extrême agressivité des allogènes lors des émeutes menace le régime cosmopolite dont le juif dépend pour se maintenir, il faut donc faire taire ceux qui les mettent en avant. C’est de l’antisémitisme par association.

Il aurait mieux valu faire preuve de cohérence et de solidarité quand les juifs appliquaient ces méthodes aux autres.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que la ligne éditoriale – ou la non ligne – du site Fdesouche.com a toujours été très accommodante avec les juifs, contrairement aux autres immigrés en dépit de leur influence autrement plus catastrophique sur l’évolution de la société depuis le 19e siècle.

Derrière, il y avait cette idée qu’il y avait des juifs « de droite » et des « juifs de gauche » et que les premiers allaient aider les Gaulois à sauver la France des seconds et de leurs associés. Il y avait aussi l’espoir de recevoir un sésame des mains des légataires de la religion de l’holocauste, lesquels consentiraient en échange à laisser les souchiens préserver l’homogénéité raciale de leur pays sans être accusés d’être des Nazis, stigmate ultime des gens ayant acquis et intériorisé la défaite des Blancs en 1945.

C’était tiré par les cheveux. C’était aussi donner de son plein gré les clefs des destinées des Blancs de l’Hexagone aux juifs et à leur capricieux bon vouloir.

Fdesouche a ainsi longtemps fait la promotion d’Alain Finkielkraut, un des penseurs du racisme antiblanc systémique au sein de la LICRA, ou d’Éric Zemmour pour leurs critiques de l’immigration. Plus quelques autres, comme l’inénarrable Gilles-William Goldnadel.

C’était une fantaisie, bien sûr, car les immigrés juifs en France se savent immigrés et s’identifient aux immigrés et principe du droit à l’immigration. Depuis Dreyfus, leur idée fixe est de s’assurer les meilleures conditions pour rester parasiter dans le pays où ils s’infiltrent et faire pièce à toute tentative des autochtones de reprendre le contrôle de leur société. Le juif ne s’assimile jamais, il mime pour se camoufler et opérer sans attirer la méfiance des natifs.

Ce qui les divise actuellement, c’est l’identité de l’ennemi prioritaire et la stratégie à adopter face à lui. En général, ils ne choisissent pas et se limitent à « Ni Le Pen, ni Mélenchon ». C’est-à-dire « Ni racistes, ni islamistes ».

Les juifs aiment peut-être la France, mais sans les Français. Ils l’aiment juive, faite à leur mesure, reconfigurée pour apaiser leur angoisse de l’expulsion, c’est-à-dire concassée en une myriade de tribus et de races étrangères à même de tenir l’autochtone majoritaire à la gorge par un réseau visible et invisible de lois, d’associations, de coteries, de médias. Ce qu’ils appellent « la république ».

Que ce soit Goldnadel, Zemmour ou Finkielkraut, aucun n’a évidemment jamais remis en cause le mythe de l’holocauste ni sa centralité dans l’organisation politique, idéologique et culturelle du système cosmopolite qui conditionne et supervise le Grand Remplacement. Leurs jérémiades, notamment celles de Goldnadel ou de Finkielkraut, se bornent à dénoncer l’utilisation de ce mythe par des groupes raciaux concurrents. Ils ont ainsi toujours affecté d’en souligner l’extrême importance, soucieux de ne pas lâcher le sceptre de leur féroce autorité raciale en Occident.

Renaud Camus a poussé cette approche jusqu’à devenir le servile courtisan de Finkielkraut, moyennant la comparaison délirante des pseudo chambres à gaz d’Adolf Hitler à l’immigration afro-maghrébine.

Il répète ça un jour sur deux.

Bien sûr, c’est faire semblant de ne rien comprendre. Non seulement à l’absurdité des chambres à gaz magiques, mais à la nature profonde de la religion de l’holocauste, sa dynamique interne et sa fonction dans l’organisation des sociétés occidentales post-chrétiennes depuis 1945.

À la suite de Maurice Bardèche, Vincent Reynouard a pulvérisé cette pauvre droite démocratique et philosémite qui hante la France depuis la conquête de la France par le traître Dreyfus.

Peu importe les contorsions de certains autochtones, voire les rédemptions, aussi injustifiées soient-elles, le juif, qui n’est que masse grégaire en dépit de sa prétention à noircir du papier à propos de son nombril, reste le juif, nomade méfiant et haineux, accroché rageusement à la peau de sa victime goye dont il dépend pour vivre.

Le juif ne « raisonne » pas, il réagit d’instinct et cet instinct, forgé par des millénaires de vagabondage en terrain hostile, le rend inaccessible aux assurances des Blancs qui jurent leur bienveillance, sincères ou pas. Les promesses n’engagent que ceux qui y croient. Le juif ne croit qu’à ses propres assurances, lesquelles supposent de faire ramper l’autochtone à ses pieds par la répression et la corruption. Le juif voit le Blanc dans sa longue durée, pas comme le Blanc se voit lui-même, c’est-à-dire comme un individu seulement responsable de ses propres actes et convictions sa vie durant. Le juif fonctionne sur son expérience millénaire de ses rapports avec les goyim faite de marchandage et de pogroms, pas sur les concessions verbales d’une génération. D’où ce qu’il appelle le « devoir de mémoire » et la « vigilance », car l’homme blanc qui menace à tout instant de se réveiller doit être domestiqué.

Il est toutefois logique que le philosémitisme finisse à l’extrême-droite tandis que l’antisémitisme renaît dans les mouvements révolutionnaires. Toutes les idées périmées suivent ce chemin. L’extrême-droite plébiscite foncièrement l’ordre établi, vénère les idées de gauche du passé, les révolutionnaires veulent le renverser.

Il n’y a tout simplement pas d’avenir avec ces juifs.

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