Kissinger est mort à 100 ans

La rédaction
Démocratie Participative
30 novembre 2023

 

Kissinger, le vieux buveur de sang de Judée, a fini par casser sa pipe.

Ne manque plus que Soros pour parfaire le tout.

Son bilan, désastreux pour son camp, est naturellement proclamé comme la marque du génie ultime par les esprits serviles habituels.

Il y a très peu de géants en un siècle, un ou deux.

Adolf Hitler est le géant suprême du 20ème siècle, au point d’être devenu la boussole de l’ensemble du système culturel et géopolitique mondial. L’ONU a été construite contre lui et son ombre porte sur tous, en permanence.

Le fameux point Godwin en est la preuve tangible.

Au fil du temps, Adolf Hitler deviendra le géant du deuxième, puis du du millénaire en Europe. Nous n’en mesurons pas encore la portée car le système démocratique édifié contre lui ne s’est pas encore effondré.

Mao, pour avoir unifié et mis en mouvement la Chine contemporaine, peut prétendre être un géant de l’histoire chinoise, mais, au delà de ça, on ne lui trouve aucune grande idée.

Staline est un géant de seconde catégorie. Quoique victorieux en 1945 à la suite d’un effroyable bain de sang pour la Russie, rien de ses idées n’a un semblant de prise sur le monde aujourd’hui. Tout ce qui est plus ou moins lié à la gauche ou marxisme le rejette explicitement. Dans les faits, le communisme est mort avec lui en 1953.

Roosevelt n’existe pas, Churchill est un clown grotesque remplacé par un chieur de rue. De Gaulle est le nom d’un aéroport par où entrent l’Afrique en France.

Ensuite ?

Ce juif Kissinger, nous dit-on.

Il n’était plus en fonction depuis 45 ans.

Il a à son actif la première défaite de l’histoire américaine, celle de la guerre du Vietnam dont l’Amérique n’a jamais pu se relever moralement et psychologiquement, malgré la victoire par défaut contre l’URSS en 1990.

Ce pauvre juif s’est fait manoeuvrer comme un enfant par les nord-vietnamiens.

On doit également au juif Kissinger la destruction de la Rhodésie blanche, ouvrant la voie à l’avènement de Mugabe dans le futur Zimbabwe et à la chute de l’Afrique du Sud.

 

Son principal legs est d’avoir lancé la désindustrialisation de l’Amérique au profit de la Chine, permettant à la finance juive new-yorkaise de se gaver pendant 40 ans grâce à une main d’oeuvre tenue d’une main de fer par la bureaucratie communiste de Pékin.

Le résultat de cette « grande politique » juive a été de donner aux Chinois les investissements et la technologie nécessaires à la constitution de la première puissance industrielle du monde.

Jamais une décision n’a sapé de l’intérieur en un temps si court la position d’un état aussi puissant. Un exploit historique, certes, mais pour la Chine.

D’ici les années 2030, la Chine sera la première puissance du monde, dans tous les domaines, et les juifs de New York auront pour alors consommé tous les vassaux à leur disposition pour tenter de la contenir.

Il y a deux genres de personnes qui célèbrent Kissinger : les idiots et ceux qui ont bénéficié de sa stupidité.

Les Chinois appartiennent à la deuxième catégorie.

Xi Jinping rencontre l’ancien secrétaire d’État américain Henry Kissinger #XiJinping #Kissinger #ChinaUSRelation
Le 20 juillet, le président chinois Xi Jinping a rencontré l’ancien secrétaire d’État américain Henry Kissinger à la maison d’hôtes d’État Diaoyutai à Pékin.

Si Kissinger n’était pas juif, il ne bénéficierait pas de l’effet Einstein, cette boursoufflure érigée au rang de génie universel par les juifs qui contrôlent les médias. Einstein a été devancé par Poincaré qui, lui, a été oublié.

Paradoxalement, Kissinger est une bénédiction, mais pour avoir créé les conditions de la chute de l’Amérique juive.

C’est le plus ironique de la situation. Les juifs qui se lamentent de la suprématie inexorable de la Chine sont les mêmes qui saluent le juif qui l’a rendu possible.

Contre la censure

Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.

Ou utilisez un VPN.