Démocratie Participative Le site le plus censuré d'Europe
La Rédaction
Démocratie Participative
17 juillet 2024
Comme nous le prédisions ici, l’échec de la dédiabolisation portée par l’horrible Marine Le Pen lors des élections législatives devait automatiquement se traduire par un nouveau virage à gauche du RN.
Pire, un virage juif.
C’est justement ce qui se passe.
Visiblement, il est question de ramper encore plus aux pieds de la synagogue.
Ce mardi 16 juillet, Marine Le Pen a rendu hommage aux victimes de la rafle du Vel d’Hiv, soulignant qu’elle avait été ordonnée par «les autorités françaises» alors que la leader d’extrême droite estimait jusqu’alors que «la France n'(était) pas responsable» de la rafle. «Le 16 juillet 1942, les autorités françaises balafraient la France en ordonnant l’infâme rafle du Vel d’Hiv. Les victimes de cette tragédie n’appartiennent pas qu’à l’Histoire. Leur supplice et leur mémoire nous rappellent que le fléau de l’antisémitisme n’a pas disparu et qu’il se repaît aujourd’hui de discours de haine d’une extrême gauche et des islamistes qui ont pris pour cible nos compatriotes juifs», a écrit la triple candidate malheureuse à la présidentielle dans un texte publié sur X.
Si Marine Le Pen publie chaque année un message en hommage aux victimes de ces arrestations, c’est la première fois qu’elle évoque «les autorités françaises». Elle n’a pas répondu aux sollicitations de l’AFP ce mardi après-midi.
En avril 2017, elle avait suscité une vaste polémique en déclarant que «la France n’est pas responsable du Vel d’Hiv», alors qu’elle était interrogée sur la rafle et la décision du président Jacques Chirac de reconnaître en juillet 1995 la responsabilité de la France.
Fustigée par ses adversaires politiques et plusieurs associations juives, elle avait fait valoir que sa position était également celle des présidents Charles de Gaulle et François Mitterrand.
En premier lieu, en admettant de la sorte que c’est bien la France qui a procédé à l’arrestation de ces juifs, la mystification résistantialiste s’effondre complètement.
Les bandits gaullo-communistes ont inventé de toutes pièces l’idée d’une France « légale », dirigée par le gouvernement établi à Vichy, qui serait illégitime tandis que la véritable France légitime se serait trouvée à Londres, autour de De Gaulle, pour déclarer nulle et non avenue la politique poursuivie par l’État Français.
C’est grotesque. La France était très majoritairement derrière le maréchal Philippe Pétain et ce jusqu’au bout.
Le 26 mai 1944 :
Chirac a été le premier à rompre avec l’imposture gaulliste pour permettre aux juifs d’exercer sur la France leur soif de vengeance raciale.
Puisque c’était bien la France qui était coupable, elle devait payer.
Pour les juifs, cette reconnaissance de « culpabilité » est fondamentale, elle leur permet de tenir la France entre leurs mains.
Comme Chirac, cette horrible Le Pen consent à leur chantage et garantit la perpétuation de leur emprise mortelle au nom de l’expiation éternelle qu’ils exigent.
Il n’y a d’ailleurs rien qu’elle ne soit prête à vendre.
C’est la fonction de la religion de l’holocauste : extorquer pour l’éternité en toute impunité.
Pour sortir de ce piège hébraïque, l’unique position est de dire la vérité : l’arrestation de ces migrants juifs, tous étrangers, était absolument légitime dans le cadre de la reprise en mains du pays des mains du cosmopolitisme.
Il n’y aura pas de libération politique, ni spirituelle, sans combattre frontalement les mensonges de ces juifs.
Contre la censure
Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.
Ou utilisez un VPN.
