La mode des selfies dans le faux camp de la mort d’Auschwitz fait un carton chez les zoomers !

La rédaction
Démocratie Participative
17 avril 2023

 

Pour une fois le narcissisme des zoomers s’avère utile et les Polaks du Visegrad Post sont très énervés contre eux.

Photo prise par des touristes devant Auschwitz il y a quelques jours.

Un comportement scandaleux de la part de personnes dont le jugement a été altéré par des années de narcissisme induit par les médias sociaux.

1 million de personnes ont été assassinées ici. Ce n’est pas un endroit pour les selfies.

Auschwitz est un parc d’attraction juif, mais comme il est situé en Pologne les Polaks l’exploitent aussi pour faire chanter l’Allemagne au titre des royalties mémorielles. D’ailleurs le site est géré par de méchants guides polonais qui imitent les juifs en pleurnichant sur les Nazis.

Robert Faurisson a découvert le pot-aux-roses en 1976, en cuisinant un de ces méchants guides polonais qui opéraient pour le compte du régime communiste. Il finit par obtenir les plans originaux des fameuses chambres à gaz, lesquels démontraient que le bâtiment censé les abriter  n’était qu’une morgue comme en contient n’importe quelle prison.

Comme l’explique Robert Faurisson, en 1995 le journal L’Express dut se résoudre à avouer que la fameuse chambre encore présentée aux foules était fausse :

Robert Faurisson :

Quinze ans plus tard, un historien-journaliste, Eric Conan, pourtant très hostile au révisionnisme, publie dans L’Express (19-25 janvier 1995) une longue étude, « Auschwitz : la mémoire du mal », où il dénonce les falsifications du crématoire et de sa « chambre à gaz ». Voici, sur ce point, les conclusions de son enquête (j’en souligne quelques mots) :

En 1948, lors de la création du musée, le crématoire I fut reconstitué dans un état d’origine supposé. Tout y est faux : les dimensions de la chambre à gaz, l’emplacement des portes, les ouvertures pour le versement du Zyklon B, les fours rebâtis selon les souvenirs de quelques survivants, la hauteur de la cheminée. A la fin des années 70, Robert Faurisson exploita d’autant mieux ces falsifications que les responsables du musée rechignaient alors à les reconnaître (p. 68).

E. Conan a interrogé une autorité du Musée d’Etat d’Auschwitz sur ce qu’il appelle un «travestissement» et sur ce que, d’après lui, Théo Klein, ancien président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), appelle un « artifice » : « Krystyna Oleksy, dont le bureau directorial, qui occupe l’ancien hôpital des SS, donne directement sur le crématoire I, ne se résout pas [à dire la vérité sur la chambre à gaz] : « Pour l’instant, on la laisse en l’état et on ne précise rien au visiteur. C’est trop compliqué. On verra plus tard » (Ibid.)

La réponse de cette personne revient à dire : « On a menti. On ment. On mentira… jusqu’à nouvel ordre ».

Je répète : ce sont les Polaks qui gèrent le site au quotidien, pas les juifs. Et ces Polaks s’en servent pour leur effroyable propagande anti-allemande, qui n’a d’égale que leur propagande anti-russe. Il se trouve que leurs intérêts convergent avec ceux des juifs et c’est pour cette raison qu’ils s’associent pour maintenir à bout de bras le mythe des chambres à gaz hitlériennes.

Les zoomeuses ont raison de considérer ce Disneyland antifa comme un Disneyland antifa.

En y pensant, se balader en rigolant dans Auschwitz en pensant que les chambres à gaz ont vraiment existé est beaucoup plus drôle qu’en le faisant en connaissant la vérité.

Franchement, Maria, je ne vois pas où est le problème

Moi et ma copine y sommes allés l’année dernière et nous avons pris de belles photos.

Ce n’est pas parce qu’on sourit et qu’on rit qu’on n’est pas respectueux.

Il n’y a que les boomers qui peuvent entrer dans ce Disneyland comme s’il s’agissait d’une cathédrale.

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