La sorcière Meryl Streep surgit à l’ONU; exige une nouvelle guerre vaginale contre l’Afghanistan

La Rédaction
Démocratie Participative
25 septembre 2024

 

Le doute me gagne.

L’audace de ces bourgeoises blanches est sidérante.

En 2001, l’invasion de l’Afghanistan a été justifiée au nom de la libération du corps des femmes de ce vaste désert montagneux. Ça n’avait aucun sens, mais c’était pris très au sérieux par les médias français au point que l’armée française a fini par y être expédiée.

Le grand thème de l’époque était la burka afghane. Avant 2001, personne n’en avait jamais entendu parler. Soudainement, il fallait aller les arracher des têtes des Afghanes.

La démocratie vaginale était au bout du chemin nous disait-on.

Ça n’est pas resté à l’état de pétition de principe, la CIA a immédiatement procédé à l’embrigadement des femmes afghanes pour en faire de parfaites traînées hostiles aux hommes du pays.

Ce n’était pas un cadeau, mais une opération de guerre psychologique. Il s’agissait de briser la résistance nationale afghane en subordonnant progressivement ses hommes fiers et rustres à leurs rombières, par définition incapable de s’opposer à la volonté des juifs.

Un rapport de 2010 produit par l’OTAN explique le rôle des traînées dans cette stratégie.

Les femmes afghanes pourraient servir de messagères idéales pour humaniser le rôle de la Force internationale d’assistance à la sécurité dans la lutte contre les talibans, en raison de leur capacité à parler de manière personnelle et crédible de leur expérience sous les talibans, de leurs aspirations pour l’avenir et de leurs craintes d’un nouveau régime taliban.

Les initiatives de sensibilisation qui créent des opportunités médiatiques pour les femmes afghanes afin qu’elles partagent leurs histoires avec avec des Françaises, des Allemandes et d’autres Européennes pourraient aider à surmonter le scepticisme omniprésent chez les femmes.

Les événements médiatiques présentant des témoignages de femmes afghanes seraient probablement plus efficaces s’ils étaient diffusés dans le cadre d’émissions à large audience.

Pendant deux décennies, des milliers d’hommes blancs ont été blessés ou tués pour cette croisade vaginale.

Ils tous été oubliés depuis.

En revanche Caroline Fourest est toujours à la télévision.

Une fois l’OTAN vaincue en 2021, on aurait pu penser que toute cette affaire était close, mais c’était sans compter sur la rage des femmes blanches du 21e siècle et le fanatisme des juifs qui les contrôlent.

Depuis quelques temps, la propagande anti-Talibans reprend de la vigueur.

Comme la peste noire, elle évolue en phases.

La fièvre regagne.

Bella Ciao est devenu un hymne pour les femmes opprimées en Afghanistan et en Iran.

Ces vociférations ovariennes sous-entendent qu’il faut à nouveau renverser le gouvernement afghan.

C’est la chose que l’on peut conclure en les écoutant.

Les appels sont de plus en plus pressants.

Ce n’est évidemment pas à l’ordre du jour à Washington, encore moins réaliste, mais ces femelles se moquent des réalités : elles veulent que des hommes blancs aillent mourir dans ce pays pour rétablir la vaginocratie occidentale.

Tant qu’elles n’obtiendront pas de règlement de comptes sanglants, ou tant que personne ne les frappera, elles continueront de nous harceler pour une seconde croisade féministe.

Le terme croisade est le terme juste. Au Moyen Âge, la fièvre chrétienne agissait de la même manière sur les cervelles, là aussi par phases, avec des accès de délire collectif si intense que des armées étaient finalement assemblées pour mourir dans les dunes désolées du Proche-Orient.

Et parfois, quand c’était trop loin, on se rabattait sur des boucs émissaires, comme lorsque les Albigeois furent massacrés pour des histoires à dormir debout.

Pour l’heure, tout le monde se tait devant ces traînées qui continuent de répandre leurs insanités tout en se foutant comme de leur dernier tampax des milliers d’hommes morts là-bas.

Nicolas Belda, 22 ans. « Engagé à partir du 20 novembre 2008 comme pilote de véhicule de l’avant blindé au sein du groupement tactique interarmes Kapisa, dans le cadre de l’opération « Pamir » en Afghanistan, a fait preuve de belles qualités militaires. Jeune montagnard prometteur, s’est à maintes occasions distingué en montrant un grand courage lors de missions menées dans des zones hostiles.

Le 14 mars 2009, dans la vallée d’Alasaï, alors qu’il assurait la protection de la construction d’une base opérationnelle avancée, a été mortellement blessé par un tir de roquette sur son véhicule.

Pour son sacrifice et son courage au service de la France, mérite d’être cité en exemple. » 

Je propose un nouveau deal.

Si ces lesbiennes veulent « libérer » les Afghanes dans l’espoir de leur lécher le clitoris, il n’y a qu’à les organiser en un corps de volontaires à parachuter sur place. Désignons la gouine Caroline Fourest cheftaine de groupe, foutons-la dans un C130 et n’en parlons plus.

Nous ferons d’une pierre deux coups. Ces garces ne nous harcèlerons plus ici avec ces histoires aberrantes et elles seront utiles aux Talibans là-bas qui sauront se les assigner dans leurs harems mobiles.

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