L’agression « antisémite » de Lyon est une probable automutilation sur fond d’inceste

La rédaction
Démocratie Participative
09 novembre 2023

 

Les tags « antisémites » commandités par un groupe secret de plus de 500 juifs d’IDF

Après les étoiles de David commanditées par les juifs, la fameuse agression « antisémite » de Lyon est une énième invention de ces menteurs pathologiques.

Le Parisien :

Quatre jours après l’attaque au couteau dont dit avoir été victime Eva, une jeune femme de confession juive, à Lyon (Rhône), les investigations ne permettent toujours pas d’étayer la piste d’un acte antisémite. Ni même de confirmer l’existence d’une agression.

Saisis par le parquet de Lyon d’une enquête ouverte pour « tentative de meurtre aggravée », les policiers de la PJ et de la sûreté départementale ont déjà mené un grand nombre d’actes pour vérifier le récit de la jeune femme de 30 ans, qui avait affirmé avoir été poignardée, samedi à son domicile lyonnais, par un inconnu qui aurait gravé, dans le même temps, une croix gammée sur sa porte. Un témoignage particulièrement inquiétant dans le contexte de recrudescence de délits antisémites et la guerre entre le Hamas et Israël au Proche-Orient.

En premier lieu, les enquêteurs ont exploité les caméras de vidéosurveillance du réseau de transport public ainsi que d’un établissement administratif positionnés face à une station de tramway du IIIe arrondissement de Lyon. Celle-ci est très proche du domicile de la victime présumée. Les analyses des images se révèlent, pour l’heure, vaines : aucune trace de l’agresseur décrit par la jeune femme, un homme « d’environ 1m75, vêtu d’habits sombres : bonnet noir, pantalon noir et chaussures noires ». Mais les exploitations des bandes ne sont pas terminées.

De même, le couteau qui, étrangement, a été retrouvé sur place, fait l’objet d’analyses minutieuses. Aucune trace papillaire – empreinte de doigts – n’a été relevée. Les examens ADN sont, en revanche, toujours en cours. Mais pourquoi l’agresseur aurait-il abandonné sur les lieux un indice aussi capital ?

Les policiers ont également multiplié les auditions parmi les proches de la victime présumée. Il ressort que la jeune femme traverse une période difficile, affectée par un divorce décrit comme particulièrement conflictuel. Dans ce cadre, elle avait récemment accusé son ex-mari et sa nouvelle compagne d’attouchements sur leur fille. Au point d’avoir porté plainte contre le couple. Mais ses accusations n’ont pu être étayées à ce stade.

Lors de son audition par la PJ, l’ancien compagnon de la victime présumée l’a décrite comme « virulente et dépressive » ces temps-ci. Le week-end des faits, la jeune femme n’avait pas la garde de leurs deux enfants.

En l’état, les enquêteurs restent donc prudents et explorent toutes les pistes : agression antisémite, agression pour un autre mobile maquillée en acte antisémite ou récit inventé par la victime. Des analyses médicales ont été pratiquées à l’hôpital, où a été brièvement admise la jeune femme, pour déterminer si les blessures – légères – qu’elle présentait correspondent à une automutilation ou à un acte extérieur. Pour l’heure, ces analyses ne permettent pas de trancher sur ce point.

Interrogée par CNews ce mercredi, la victime présumée, Eva, a maintenu son récit. Elle dit soupçonner clairement un acte antisémite et balaye tout lien avec sa situation familiale. « Je pense avoir été agressée car je suis juive », a déclaré la jeune femme, rappelant qu’une mézouzah était visible sur la porte de son appartement.

CNews dans ses basses oeuvres pour extirper les larmes des goyim.

« J’ai un divorce qui est en cours depuis quelques mois. Mais, comme je l’ai dit à la police, c’est impossible que ça soit lié à cela. Un divorce ce n’est jamais simple, mais pas au point d’aller jusqu’à l’agression physique ou la tentative d’homicide », a-t-elle ajouté, expliquant que sa vie était devenue « une horreur » depuis l’agression.

La jeune femme s’offusque qu’on l’accuse d’avoir menti : « C’est une information totalement fausse. Qu’on puisse penser que je me suis fait ça moi-même, c’est juste invraisemblable. Je tiens à la vie… C’est insensé ». Contacté, le parquet de Lyon n’avait pas pu être joint ce mercredi soir.

L’affaire sera vite enterrée.

En attendant, vous pouvez visionner ou revisionner ce documentaire d’Hervé Ryssen, « Les juifs, l’inceste et l’hystérie », et commander son livre sur le même sujet, « Psychanalyse du judaïsme« .

Sa lecture vous laissera sans voix.

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