Langres : la population se soulève pour empêcher l’expulsion accidentelle d’un Noir musulman, les autorités accepent de capituler sans conditions

La rédaction
Démocratie Participative
17 mai 2023

 

Langres, 8,000 habitants, est connue pour ses remparts impressionnants et aussi les masses invraisemblables de Noirs et d’Arabes qui la peuplent.

Les esprits s’y sont échauffés récemment quand, sur un malentendu, un Noir d’Afrique clandestin a été arrêté par la gendarmerie en vue d’une expulsion du territoire français :

On ne peut pas non plus forcer tous les Blancs à vouloir vivre.

« On a l’impression qu’ils ont pas de coeur »

Par contre, s’ils pouvaient éviter de vouloir faire mourir les Blancs qui ne leur ont rien demandé, ce serait un net progrès. C’est tout l’enjeu de notre époque : séparer les Blancs qui veulent absolument mourir en avalant une dose mortelle d’immigration et les autres, les Blancs normaux.

Comme chacun sait, l’État français n’expulse jamais personne.

C’est une théorie complotiste de l’extrême-gauche.

France 3 :

Ahmed Salem avait été placé en rétention administrative à Metz, après une audition à la gendarmerie de Langres. L’entraîneur du club de football de Langres devait être expulsé vers la Centrafrique, ce mardi 16 mai. Il a été emmené à l’aéroport de Roissy, près de Paris. Coup de théâtre : il a été libéré, juste avant d’embarquer dans l’avion.

Une expulsion qui fait suite à une obligation de quitter le territoire français, délivrée par la préfète de Haute-Marne. Ahmed Salem, 25 ans, est finalement sur le chemin du retour à Langres. L’expulsion a été stoppée, après son refus de monter à bord de l’avion. Il devait être placé dans l’aéronef qui partait vers Bangui (Centrafrique).

C’est tout ce qu’il faut à un de ces clandestins : dire non aux autorités françaises.

« Moi ça y en pas avion là »

Avouez que c’est à la portée des Noirs.

Dans la commune, son entourage et ses soutiens sont heureux. Ils s’étaient mobilisés la veille de ce départ, et ne s’attendaient pas à ce retournement de situation.

Le héros est libre.

Il a été accueilli en libérateur.

C’est la vraie France qu’on aime, celle de l’Égalité, de la Liberté et du Mafé.

J’imagine que pour les derniers Blancs de cette ville, il y a comme un air de 1940.

Mais cette fois, aucun combattant aryen à qui demander protection.

Uniquement des Noirs et des Arabes très en colère contre les Blancs, à perte de vue.

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