L’Asie poursuit la robotisation générale pour se passer d’immigration

La rédaction
Démocratie Participative
15 août 2023

 

Les nations asiatiques veulent rester performantes économiquement sans avoir à sombrer dans le marasme racial, les violences interethniques et la misère que suppose l’immigration de créatures stupides du tiers-monde. Et surtout pas des fainéants voleurs et haineux comme les noirs ou les arabes. Les émeutes raciales de juillet sont loin d’être passées inaperçues en Asie.

Pour un pays comme la Chine où la chute démographique sera massive, l’immigration n’est de toute façon pas une hypothèse compte tenu des volumes en question.

Elle ne peut pas importer 700 millions d’immigrés pour compenser la perte de population prévue au rythme actuel.

La seule option viable pour les Chinois est de rétablir l’esclavage au troisième millénaire. C’est-à-dire d’automatiser les métiers manuels.

Bright Dreams Robotics fabrique des robots de construction en Chine.

Ici, un robot poseur de carreaux a affronté un ouvrier du bâtiment.
Le robot a mis 50 secondes par carreau contre 4 minutes pour l’ouvrier.

Le client n’était pas satisfait de la vitesse de 50 secondes par carreau.

Les ingénieurs de Bright Dreams Robotics ont donc doté le robot d’un meilleur capteur, ainsi que d’une fonction motrice améliorée qui permet un mouvement continu.

Après la mise à niveau, il ne lui fallait plus que 10 secondes par carreau.

🤖Les robots qui remplacent les humains vont révolutionner notre société et notre économie

Le Japon suit la même approche depuis un moment.

Évidemment un tel modèle n’est pas possible dans un pays peuplé de noirs, d’arabes ou de pakistanais comme la France. Ces robots seraient immédiatement attaqués, volés, brûlés.

Dans une société homogène où l’ordre règne, il n’est pas nécessaire d’avoir constamment un oeil sur les macaques cleptomanes régularisés par l’État.

On peut ainsi faire rouler des trains seuls.

Nikkei :

La compagnie East Japan Railway introduira des trains à grande vitesse largement automatisés au milieu des années 2030, selon les plans annoncés mardi, une mesure d’économie de main-d’œuvre qui serait une première pour la compagnie.

JR East vise à atteindre le niveau d’automatisation 3 (GoA3) – un niveau auquel le train peut se conduire tout seul, avec un humain s’occupant des portes et prenant le relais en cas d’urgence.

Les trains sans conducteur seront d’abord utilisés sur la ligne Joetsu Shinkansen entre Tokyo et la ville de Niigata, dans le centre du Japon. JR East envisage de les déployer également sur sa ligne Hokuriku.

Avant que cette technologie ne soit commercialisée, la société prévoit de tester des trains GoA4, c’est-à-dire des trains sans personnel, sur des trajets sans passagers entre l’extrémité Niigata de la ligne Joetsu et le centre de matériel roulant situé à proximité.

Elle a testé un système d’exploitation automatique des trains sur ce tronçon à la fin de l’année 2021.

JR East a signé un protocole d’accord sur la coopération technique en matière d’automatisation des trains à grande vitesse avec West Japan Railway en avril. Le duo travaillera ensemble pour développer les systèmes nécessaires et réduire les coûts.

Dans la logistique, le Japon automatise progressivement tout, du stockage à la conduite des camions.

Même l’entretien des égouts évolue vers la robotisation.

Même la poste japonaise s’active pour généraliser la livraison par drone.

En plus de réduire la main d’oeuvre, la rapidité de livraison est trois fois supérieure. Il y a encore du travail à faire, mais le principe est acté par le gouvernement.

La startup nation aussi s’y met.

L’Asie veut rester efficace, elle ne songe pas à importer des babouins stupides pour truquer les élections et le PIB en leur vendant des nikes.

Le forum EELB sera prochainement de retour