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La Rédaction
Démocratie Participative
08 septembre 2024
Les gauchistes sont schizos.
Ce n’est pas tellement un secret et je ne prétends rien révéler à ce sujet ici.
Mais il faut tout de même insister : ils sont fous, cliniquement.
Ces gens se sont convaincus les uns les autres qu’ils avaient « gagné » les élections, que fort de cette victoire imaginaire ils disposaient d’une majorité imaginaire et qu’en conséquence Macron les privait du pouvoir au terme d’un « coup d’état ».
Tout ce que je viens de décrire à leur propos est purement factuel.
Hier, ces gens dérangés se sont réunis dans diverses villes pour donner libre cours à leur accès de folie.
Les rues de la ville rose étaient noires de monde contre Macron et son putsch.
🎥@ismael_YH pic.twitter.com/eCPkcMVpBr— Marcel (@realmarcel1) September 7, 2024
En Bretagne, place forte du gauchisme terminal, les boomeuses étaient dans un état second.
Possiblement privées de quelques migrants par le fasciste putatif Barnier, elles étaient sur le point de réaliser que la démocratie était une vaste mystification.
Une Brestoise, brûle sa carte électorale lors de la manifestation du 7 septembre.
« Je la brûle car ça ne sert à rien de voter », a-t-elle déclaré. pic.twitter.com/dBn2ov8tRx— France Bleu Breizh Izel (@Francebleubzh) September 7, 2024
La Bretagne n’a toutefois pas le monopole du dérangement mental.
La France est largement rongée par le virus breton.
Les grandes villes à tout le moins.
On va bien rigoler #MarcheDestitution #7settembre pic.twitter.com/X6rWmp0jvK
— aussieF (@aussieFRA) September 7, 2024
Ce qui est extraordinaire, c’est que ces gens existent vraiment.
Plus extraordinaire : il faut coexister dans le même espace que ces gens.
Je ne vois pas bien ce que l’on peut reprocher à Macron.
Il a monté son front antifa contre le RN pour le priver de députés, puis, une fois son groupe sauvé grâce aux couillons éternels de la gauche, il a sauvagement poignardé dans le dos ces gigantesques crétins qui ont voté comme un seul homme pour faire « barrage » à la haine.
S’ils ne voulaient pas se faire planter dans le dos, il leur suffisait de ne pas nouer de deal avec Macron.
Aussi vociférants soient-ils, leur conditionnement mental antifa les poussera toujours à tapiner pour Macron face au « péril fasciste » de la très inoffensive Le Pen.
À présent, Macron gouverne avec l’aide du RN contre la gauche.
C’est comme ça qu’on pagaye.
Pour rester au centre, il faut donner coup à droite, puis un coup à gauche et recommencer.
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