Le gouvernement allemand prévoit de soutenir la boucherie juive d’Ukraine jusqu’en 2032 !

La rédaction
Démocratie Participative
12 septembre 2023

La bête hébraïque est prête à combattre la Russie jusqu’au dernier paysan ukrainien

Les juifs sont clairs : l’Ukraine sera sacrifiée à Moloch pour les besoins de leur conquête de la Russie.

Ils viennent tout juste d’annoncer aux goyim de ce pays qu’ils mourraient pour les dix prochaines années. C’est très long quand on sait que près de 400,000 ukrainiens sont déjà morts en un peu moins de deux ans.

Al Mayadeen :

L’Allemagne est prête à soutenir l’Ukraine au cours de la prochaine décennie, même si le conflit avec la Russie s’éternise, a déclaré le général de brigade Christian Freuding, ajoutant que l’Allemagne s’engageait à aider l’Ukraine à récupérer tous les territoires annexés qu’elle a perdus au profit de la Russie.

Lors du forum sur la stratégie européenne de Yalta (YES) qui s’est tenu dimanche, le général Freuding a répondu à la question de savoir si l’Allemagne était prête à soutenir l’Ukraine si la guerre avec la Russie s’installait dans la durée.

Il a déclaré que l’Allemagne « a obtenu le soutien de notre parlement […] pour notre soutien militaire à nos amis ukrainiens jusqu’en 2032« .

« Nous sommes prêts à apporter un soutien à long terme… et nous sommes prêts à faire du temps… notre allié, et non du temps l’allié du président russe Vladimir Poutine », a-t-il ajouté.

M. Freuding a souligné que Berlin s’efforçait d' »accélérer » et de « mieux coordonner » son soutien à l’Ukraine, dans le but d’assurer la victoire de l’Ukraine.

Dix ans pour vaincre un état nucléaire qui dispose des ressources naturelles illimitées et de la production de biens manufacturés chinoise, c’est vraiment très long.

C’est beaucoup plus long que la seconde guerre mondiale.

Concrètement, cela veut dire que tout ce qui est âgé de 6 ans ou plus sera envoyé mourir au front d’ici à 2032 dans le seul but d’ennuyer les Russes qui refusent de lâcher leurs réserves de gaz, de pétrole, d’or, de minerais aux juifs de New York.

C’est ce que veulent les juifs pour les Blancs en général : assassiner leurs enfants de la manière la plus horrible et la plus juteuse possible.

Quand cette guerre sera terminée, il n’y aura plus d’Ukrainiens âgés de 16 à 60 ans en Ukraine. Ils seront morts, blessés, prisonniers ou, pour les plus chanceux, en fuite. Ce pays sera un désert où survivront très peu de gens qui ne sont pas des vieux, des malades ou des estropiés.

Encore que les juifs se mobilisent pour que l’Union Européenne lance la traque aux déserteurs qui refusent de mourir pour la démocratie jérusalémique. Il est question d’aller les chercher partout.

Si la limite est l’année 2032, au rythme où les ukrainiens sont consommés par la machine de guerre juive, il faudrait qu’ils puissent aligner 4 millions de tués et toujours tenir le front. C’est peu réaliste. À un moment donné, d’autres goyim devront être mobilisés pour prendre le relais.

Ce que les juifs infligent à l’Ukraine en ce moment pour théoriquement « récupérer la Crimée » est identique à ce qu’ils font aux pays occidentaux par le remplacement de population : l’extermination des Blancs et prendre un maximum d’or au passage.

Il est évident qu’une Ukraine « victorieuse » serait une Ukraine repeuplée de pakistanais, de somaliens et de tout ce que le tiers-monde compte de bêtes sauvages de moins de 30 ans à qui les juifs promettront les femmes blanches encore vivantes de ce pays, moyennant un billet.

Le mois dernier, le chancelier allemand Olaf Scholz a rendu publique l’intention de son gouvernement de se concentrer sur la fourniture à l’Ukraine d’artillerie, de munitions et de systèmes de défense aérienne. Il a souligné que l’objectif premier de l’Allemagne était de donner la priorité aux armes susceptibles d’être rapidement efficaces au combat.

Par ailleurs, en août, le Premier ministre canadien Justin Trudeau a fait savoir que les dirigeants du G7 s’attendaient à un conflit prolongé et qu’ils étaient prêts à offrir un soutien continu à l’Ukraine pendant la durée nécessaire. Ce sentiment a été partagé par plusieurs autres dirigeants occidentaux.

L’évaluation de M. Trudeau s’aligne sur le point de vue de l’ancien président russe Dmitri Medvedev, qui a prévenu que le conflit pourrait durer de nombreuses années, voire des décennies.

M. Medvedev, qui occupe actuellement le poste de vice-président du Conseil de sécurité russe, a qualifié le conflit de fondamentalement « existentiel » pour Moscou.

Côté positif, en cas de victoire, une fois leur ancien pays transformé en parking, les ukrainiens ne parleront pas russe.

Juste un sous-russe, « l’ukrainien ».

Ça vaut le coup, j’imagine.

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