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La Rédaction
Démocratie Participative
26 août 2024
Lire : Les génocidaires juifs débarquent avec une nouvelle histoire d’attaque « antisémite »
Haïm Korsia est le partisan de l’épuration ethnique complète de la Palestine afin d’y édifier une dictature raciale de droit divin, centre du système de domination juif international. C’est aussi en France un militant de la paix et de la tolérance.
Les juifs qui importent leur guerre orientale en France accusent les goyim d’importer cette guerre en France.
Il parle avec le débit de ceux habitués à répéter cent fois, mille fois, les mêmes paroles. Grand rabbin de France depuis dix ans, Haïm Korsia, interrogé au lendemain de l’attaque contre la synagogue de La Grande-Motte (Hérault), multiplie les appels à refuser haine et fatalisme, mais exhorte aussi les pouvoirs publics à tout faire pour protéger la communauté juive contre une importation en France de la guerre entre Israël et le Hamas.
Avez-vous des nouvelles du rabbin et des personnes qui se trouvaient dans la synagogue de La Grande-Motte lors de l’attaque de samedi ?
HAÏM KORSIA. J’ai eu, après shabbat, la présidente de la communauté. Je retiens l’immense mobilisation de tous après cette attaque, de la part de la mairie, la police municipale et nationale, la préfecture. Toute la chaîne de solidarité de la société a joué de manière parfaite, y compris pour protéger le rabbin et la présidente dans les locaux de la gendarmerie, quand on ne savait pas encore où était l’auteur de cet incendie. Et, au fond, c’est la plus belle des réponses.
Que ressentez-vous après l’arrestation du suspect de cet incendie ?
C’est le soulagement que le policier blessé soit rentré chez lui, qu’il n’y ait pas eu d’autres blessés, ce qui est un miracle. Les messages incroyables que j’ai reçus de mes amis catholiques et de dizaines de prêtres et d’évêques montrent aussi qu’il y a une véritable solidarité. Après, il faut une réponse claire et nette des autorités pour endiguer ce fléau insupportable, et que les uns et les autres arrêtent de faire de tous les juifs de France des coupables de tout ce qui peut se passer dans le monde.
C’est étrange ce soutien aveugle de l’Église catholique aux juifs qui ont assassiné Jésus de Nazareth.
Surtout au moment où ces juifs achèvent les derniers chrétiens de Palestine.
LA CHRÉTIENNE PALESTINIENNE ALICE KAISSIEH EST ARRÊTÉE POUR S’ÊTRE OPPOSÉE AUX COLONS QUI VOLENT LA TERRE DE SA FAMILLE À BÉTHLÉHEM
Chrétiens, il est temps de vous réveiller.
JUST IN: CHRISTIAN PALESTINIAN ALICE KAISSIEH ARRESTED FOR STANDING AGAINST SETTLERS STEALING HER FAMILY’S LAND IN BETHLEHEM
Christians, it’s time to wake up.
Source: @alice_kisiya pic.twitter.com/Yosn2qHAnw
— Sulaiman Ahmed (@ShaykhSulaiman) August 25, 2024
Je n’ai pas entendu ces prêtres en parler, encore moins protester.
L’assaillant portait autour de la taille le drapeau palestinien. L’importation du conflit entre Israël et le Hamas, tant redoutée, est bien là ?
Je pense que si on est solidaire avec ce que vivent les Palestiniens, il y a des façons bien plus pacifiques de dire les choses. Quand on emploie la violence, c’est qu’on est déjà dans autre chose, dans le rejet de la société.
Les juifs sont passionnés par les méthodes pacifiques.
Quant à cette histoire de pyromane arborant le drapeau palestinien, c’est du hollywoodisme.
Les appels à ne pas faire l’amalgame ont-ils été vains ?
Ils sont vains parce qu’un parti politique, LFI, a fait le choix de ne faire campagne que sur cela. Il a joué sur le communautarisme et cela a marché relativement pour eux. On peut hurler ce qu’on veut en disant « N’importez pas le conflit », LFI l’a fait.
Tiens, les juifs se lamentent désormais du « communautarisme ».
Du moins, de celui des autres.
Samedi, l’attaque a pourtant été condamnée de façon unanime par les partis politiques…
Il y a parfois des larmes qui ressemblent à des larmes de crocodiles plus qu’à des larmes de compassion.
Les juifs ne versent jamais de larmes de crocodile.
En mai, un incendie criminel a déjà endommagé la synagogue de Rouen. Y a-t-il des juifs pratiquants qui renoncent à venir prier, parce que les lieux de culte sont des cibles ?
Ce lundi soir devait avoir lieu une conférence à la synagogue de La Grande-Motte. Je suis favorable à ce qu’elle soit maintenue, si la communauté le souhaite. C’est une forme de résilience que nous avons toujours portée. Ceci étant, oui, les gens ont peur et se comportent différemment. J’étais dans une synagogue ce shabbat, on a su ce qui s’était passé, le rabbin a demandé à tout le monde d’être précautionneux, de sortir par groupes, pas seul. Il y a ce sentiment partout en France. On peut légitimement se dire que dans les lieux de cultes, quels qu’ils soient, on peut en être réduit à avoir peur.
Est-ce la peur qui domine aujourd’hui ?
Non. C’est la colère, le « jusqu’à quand ? », « jusqu’où ? ». Il faut que ceux qui jettent de l’huile sur le feu arrêtent de le faire.
Excellente idée.
Les juifs devraient arrêter de défiler dans tous les médias pour revendiquer fièrement leur campagne génocidaire au Proche-Orient.
Si déjà leur armée pouvait cesser de s’inviter dans les salons de France à 20h00, ce serait un pas dans la bonne direction.
Hélas, les juifs n’entendent pas appliquer ce qu’ils exigent des autres.
Faut-il des mesures de sécurité supplémentaires pour assurer la sécurité des synagogues ?
La réponse de l’État a été d’une extraordinaire rapidité, on attend maintenant l’enquête. Je demande depuis des années que la lutte contre l’antisémitisme soit une grande cause nationale. Il faut la mobilisation de toute la capacité de l’État pour l’éradiquer, fermement. C’est trop facile de dire à chaque acte que c’est le fait d’un individu perturbé, fou, isolé. Il y a un antisémitisme d’ambiance qui est devenu un antisémitisme de faits.
C’est un fait, goyim, l’État français n’en fait pas assez pour les juifs.
À ce stade, ce n’est plus un problème de moyens matériels, mais d’imagination.
Que peut-on faire pour ces juifs que l’État ne fait pas déjà ?
Entre l’arsenal légal, la propagande quotidienne dès l’école ou le contrôle étroit que les juifs exercent sur le gouvernement français, que reste-t-il à faire pour obliger les gens à les aimer ?
Est-ce à vos yeux aussi inquiétant que si l’incendie avait été revendiqué par un mouvement terroriste ?
Le principe d’action du terrorisme, maintenant, est d’avoir des idées qui circulent sur le Net et des gens qui se branchent sur ces idées et en deviennent les acteurs. Ce n’est pas parce que quelqu’un ne structure pas sa pensée sur le long cours que celle-ci n’est pas meurtrière. Le fait que ce soit un antisémitisme de rencontre ne me rassure pas.
Les « idées qui circulent sur le net » relèvent désormais du terrorisme.
Je crois que les juifs ont un projet en tête.
Vous avez publié en mai un essai dont le titre reprend un vers d’Apollinaire, « l’espérance est violente ». Qu’espérez-vous maintenant ?
Je continue de croire que l’espérance nous permet de ne pas nous enfermer dans la radicalité. Elle nous donne le choix. Il faut que tous les gens qui espèrent s’allient contre ceux qui n’espèrent pas.
Après avoir submergé la France d’allogènes et fait taire les Français par leur législation de censure, ces juifs se lamentent que les allogènes en question soient très peu philosémites.
Et c’est apparemment aux Français envahis de tout faire pour sauver la mise de ces juifs qui contrôlent la France depuis la fausse affaire Dreyfus.
Je crois que peu de gens vont répondre positivement à cette demande.
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