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La rédaction
Démocratie Participative
10 mai 2024
Après son voyage triomphal à Mayotte, je me disais que Marine Le Pen avait épuisé l’essentiel de ses possibilités de nuisance.
J’ai gravement sous-estimé la toxicité de l’alcoolo-tabagique, et plus encore son amour immodéré du rhum, des DOMTOM et de leurs noirs idiots.
Cette femme dispose de ressources quasiment illimitées dès lors qu’il s’agit de nous entraîner toujours plus bas, dans les égouts.
En cette journée nationale de commémoration de l’abolition de l’esclavage, mes pensées vont en premier lieu vers nos compatriotes ultramarins dont les territoires et les populations ont eu à souffrir de cet innommable trafic qui avilit l’homme et outrage la dignité. #10Mai
— Marine Le Pen (@MLP_officiel) May 10, 2024
Il y a 20 ans, ce cirque à propos de l’esclavage des nègres par les nègres – car les nègres s’esclavagisaient entre eux pour commencer – était une thématique ultra-marginale d’un carré de noirs, tapageusement promus par les juifs, à peine invités à la télévision une fois par an.
Aujourd’hui, en 2024, Le Pen, figure de proue de « l’extrême-droite », s’est ralliée avec enthousiasme à l’entretien de la haine de l’homme blanc.
Elle veut être la Walkyrie des nègres, tonitruante.
C’est du Thuram. Du Thuram au vin blanc.
Marine Le Pen est prête à tout pour répondre au moindre désir des nègres, mère aimante, et les nègres ne désirent qu’une chose : tuer des Blancs et violer leurs femmes.
L’éleveuse de chats n’y voit aucune espèce de difficulté.
Nous en sommes arrivés au point où on ne peut plus la distinguer des macronistes.
Le juif Attal veut la même chose, mais en plus vaste, plus pressant, plus systématique.
Le fléau nègre nous entoure, nous bouscule, se fait plus envahissant chaque jour, dopé dans son élan par la constellation des salopards opportunistes, des pédés, des garces à maladies vénériennes.
Ça me Choque meme pas c’est un italien pic.twitter.com/kZD6Bu2PtG
— Nebnedal (@zizou_sdhs) May 9, 2024
Il faut éduquer les masses face à ce danger que représente l’extrême-droite démocratique.
Si nous ne faisons rien, elle imposera un cafre par lit dans chaque foyer français, au nom de l’impérieuse unité nationale, laquelle, depuis Clovis, a toujours été, c’est Monsieur Benchettrit, historien officiel de CNews qui le certifie avec l’assentiment appuyé de Bardella, que la France n’est jamais tant la France que lorsqu’elle s’accepte, percluse de races délavées et impensables, sentant juste ce qu’il faut la pisse des ascenseurs du Marseille septentrional, humectés à bonne mesure, enivrants, tout en aigreur douce, intimes, possédants.
Se faire posséder par les nègres, voilà le cap, par mille prétextes.
Il faut s’en défaire absolument.
Je vous invite à visionner ce film extraordinaire qu’est « Adieu Afrique ! ».
Il est en italien et en anglais, chef d’oeuvre de 60 ans qui n’a pas pris une ride de l’instant nègre.
Nous ne pourrons rien bâtir de nouveau et d’émancipateur sans d’abord détruire ce fatras idées absurdes que charrie la démocratie, aussi bruyamment portées soient-elles.
La vérité, c’est que la race et le racisme commandent le monde. Tout le reste n’est qu’un monticule de déjections de cafre.
Faites-le voir, en groupe, seul, peu importe. Notre futur s’y trouve. Marine Le Pen aussi.
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