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La rédaction
Démocratie Participative
22 août 2023
L’Arabie Saoudite fait l’oeuvre de dieu.
Ces pays d’Arabie sont dirigés par des chefs avisés.
Si ces gens s’ingénient à empoisonner la planète entière avec l’islam, ils se gardent soigneusement de boire à la fontaine qu’ils contaminent. Durant le conflit en Syrie, ils n’ont jamais pris un seul des pouilleux radicaux chez eux et jamais une démocratie européenne ne leur a demandé quoi que ce soit à ce sujet.
Ils sont connus pour exercer un contrôle féroce de tous les étrangers présents sur leur territoire en leur volant leurs passeports, à l’exception des Occidentaux ou des ressortissants de pays puissants.
Bin Salman, le boss de l’Arabie, a aussi pour qualité de faire découper en morceaux les journalistes.
L’Arabie démontre la supériorité d’un système autoritaire et patriarcal sur une démocratie judéo-vaginale.
Dans un système autoritaire, le chef ne peut pas prétendre qu’il ne sait rien de ce qu’il passe dans son pays. La pression sur lui est intense et il a une obligation de résultats, sous peine d’une révolution de palais.
En démocratie, les escrocs au pouvoir se succèdent sans jamais être tenus pour responsables de leurs agissements. Les élections ne sont qu’un plan d’exfiltration permanent de ces bandits.
Le plus drôle, c’est que si demain le roi d’Arabie Saoudite devenait le chef de l’État français, le pays serait quasi immédiatement remis en ordre, notamment au plan sécuritaire.
