Le « nouveau » JDD de Geoffroy Lejeune part en croisade contre les tatouages nordiques dans la police

La rédaction
Démocratie Participative
16 septembre 2023

Ceci fait peur aux papistes, aux juifs et aux gauchistes

L’histoire est intéressante, mais le traitement qu’en fait le JDD du papiste Geoffroy Lejeune est encore plus intéressant.

Le Journal du Dimanche :

La sanction est tombée. Ce sera un rappel à la règle pour non-respect des principes déontologiques de la police, rapporte le journal Le Parisien. Les policiers en question avaient été photographiés en juin pendant une manifestation contre la réforme des retraites à Lille. Ils arboraient sur leurs avant-bras des tatouages suprémacistes.

C’est quoi « suprémacistes », Geoffroy ?

J’aimerais savoir ce que veut dire ce mot issu du vocable juif.

En juin dernier, l’avocate et conseillère régionale des Hauts-de-France Sarah Kerrich-Bernard avait saisi l’Inspection générale de la Police nationale (IGPN). Dans un tweet vendredi, elle publie la réponse qu’elle a reçue du directeur de la Sécurité publique du Nord datée du 5 juillet, sur X (ex-Twitter).

Outre que cette traînée est une élue socialiste, c’est aussi une algérienne.

Geoffroy Lejeune veut absolument servir de caisse de résonance à une moukère haineuse du PS plutôt que de reconnaître le droit de l’homme blanc de s’inscrire dans la voie aryenne.

« Les fonctionnaires de police concernés ont été sanctionnés d’un rappel à la règle, ayant contrevenu aux obligations déontologiques de neutralité, d’impartialité, de dignité et d’exemplarité qui s’imposent aux personnels de la Police nationale », y est-il écrit.

Les tatouages des policiers représentaient trois triangles entrelacés, un symbole connu sous le nom de « valknut ». Cet emblème originaire de la mythologie scandinave a été récupéré par des groupuscules aux idéologies suprémacistes et néonazies. C’est le photographe indépendant Ricardo Parreira qui avait publié les clichés des policiers sur X (ex-Twitter).

Pour le JDD de Lejeune, cet homoncule portugais Parreira est « indépendant ».

C’est pour ça que la dernière chose à souhaiter quelque part, c’est un bourgeois de droite.

Où que ce soit.

Non

Ils feront plus de zèle que les gauchistes pour rassurer leur employeur.

Au XXe siècle, ce symbole était associé au mouvement « völkisch », un courant intellectuel allemand à la vocation et aux idéologies suprémacistes, racistes et antisémites. Au moment de l’assaut du Capitole, en janvier 2021, aux États-Unis, de nombreux émeutiers l’arborent. « En France, ce symbole est utilisé par les QAnons et néonazis », selon le site IndexTrême, spécialiste de l’extrême droite.

Ils sont à la limite de citer Tristan Mendès.

Selon une note de 2018 de la Direction générale de la Police nationale (DGPN), « les policiers n’ont pas le droit d’arborer des tatouages sur les bras qui correspondent à une manifestation d’intérêt pour une organisation politique, syndicale, confessionnelle ou associative, ou s’ils portent atteinte aux valeurs fondamentales de la Nation », avait précisé Sarah Kerrich-Bernard en juin au Parisien.

Nous avons un sérieux problème avec la secte abrahamiste en France, peu importe sa coloration – papiste, mahométane ou carrément talmudique.

Lejeune et son employeur Bolloré-Goldschmitt feront cause commune avec la vermine juive ou mahométane par haine du polythéisme aryen et de l’aryen tout court.

C’est ce qui arrive quand on a une religion bâtie sur la torah.

L’homme blanc redressé se tourne naturellement vers la piété de ses ancêtres pré-lobotomisés par la Judée.

Sur ce point, il faut être intraitable. Aussi intraitable que les islamistes.

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