Le nouveau premier ministre de Nouvelle-Zélande ne peut pas dire ce qu’est une femme

La rédaction
Démocratie Participative
04 avril 2023

 

Ce truc est hilarant.

Le mâle beta qu’ils ont mis à la place du cheval Ardern en Nouvelle-Zélande est incapable de dire ce qu’est une femme.

Vous n’avez pas besoin de comprendre l’anglais pour comprendre la situation.

Ce type sait évidemment ce qu’est une femme, il vient d’en remplacer une.

Ce qui est hilarant, c’est le degré d’orthodoxie idéologique désormais imposé dans les démocraties juives. Les hommes politiques que les gens croient « au pouvoir » sont pris de terreur devant une question piège.

Un responsable communiste devait ressentir la même chose quand il était testé publiquement sur un point de catéchisme marxiste.

Il savait ce qui arrivait en cas « d’erreur ». Le véritable pouvoir entrait en action.

Un rond est carré si l’autorité suprême l’a décrété. Vous verrez les chefs de gouvernement le prononcer au plus haut niveau, avec des tremblements dans la voix.

« Euh, euh, comment dire… euh, oui, l’identité de genre, euh… une femme, euh… »

Au début, les gens voyaient nos articles sur les travelos comme grossissant un phénomène marginal. Leur raisonnement s’appuyait sur le nombre réel de travelos dans la société.

À présent, ils peuvent constater qu’en quelques années les féministes les plus autorisées sont bannies de la société si elles tentent de contester l’existence des femmes à couilles.

Cette histoire de travelos n’est pas du tout marginale. Pour le système, faire avaler l’idée que les femmes à couilles existe est le test ultime de soumission. Si quelqu’un avale un truc aussi primitivement stupide sous l’effet de la propagande et de l’intimidation, alors le système pourra lui faire avaler n’importe quoi : le rhume mortel, les pets de vache qui donnent chaud en été, la guerre pour l’apprentissage de la sodomie homosexuelle aux enfants russes. Ou que l’Europe a toujours été noire.

Le système a besoin de pouvoir créer un univers mental parallèle qu’il module selon ses besoins pour que le bétail goy suive aveuglément.

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