Le procès de la bite à Brigitte commence aujourd’hui (Mise à jour : coupables !)

La Rédaction
Démocratie Participative
12 septembre 2024

 

 

MAJ :

Coupables !

CNews est en colère.

Vous répandez des rumeurs transphobes.

CNews :

Les deux femmes jugées devant le Tribunal judiciaire de Paris pour avoir véhiculé la fausse information sur la prétendue transsexualité de Brigitte Macron vont être fixées sur leur sort ce jeudi 12 septembre.

Une décision attendue. Ce jeudi 12 septembre, le Tribunal judiciaire de Paris va rendre sa décision dans le procès de deux femmes ayant propagé des rumeurs transphobes visant Brigitte Macron.

En quoi dire que Brigitte Macron serait un homme est « transphobe » ?

Et c’est quoi cette terminologie de merde ?

La première prévenue est une médium exerçant sous le pseudonyme «d’Amandine Roy», la seconde, connue sous le nom de «Natacha Rey», qui s’est présentée comme journaliste indépendante, a été l’invitée de la médium dans une émission diffusée sur YouTube en décembre 2021.

C’est à cette occasion que Natacha Rey, a expliqué avoir mené trois ans d’enquête sur le cas de Brigitte Macron. Selon elle, la femme du président serait transsexuelle. Elle affimait que la Première damde «serait en réalité Jean-Michel Trogneux» (nom de jeune fille de la Première dame) et serait le père et non la mère de ses enfants, avec qui elle partage une grande ressemblance physique.

Les deux femmes sont allées plus loin puisque durant les quatre heures d’émission, elles ont partagé de nombreuses photos de famille de l’épouse du président de la République, évoquant les différentes chirurgies esthétiques nécessaires pour faire disparaître Jean-Michel au profit de son alter-égo féminin Brigitte.

L’autoproclamée journaliste et la médium ont également pointé du doigt les malversations qui ont dû être réalisées par la famille Trogneux pour faire disparaître des registres de l’état civil Jean-Philippe Trogneux et faire apparaître Brigitte. Selon elles, la CIA aurait aussi été impliquée.

Cette rumeur, déjà présente depuis 2017, s’était largement propagée dans la sphère complotiste après la publication de la vidéo, forçant Brigitte Macron à porter plainte pour diffamation publique avec constitution de partie civile le 31 janvier 2022.

La Première dame avait par ailleurs requis une action au civil pour atteinte à la vie privée et violation du droit à l’image. Néanmoins, la justice a estimé que les faits dénoncés par Brigitte Macron relevaient de la diffamation et a annulé la demande en 2023.

Ainsi, jugées pour des faits de diffamation publique à caractère discriminatoire, les deux femmes encourent un an d’emprisonnement et 45.000 euros d’amende.

CNews n’aime guère cette discussion et tient à conclure cet article en indiquant à quiconque voudrait en parler que la prison les attend.

Avouez que c’est une curieuse façon de procéder.

Au reste, en quoi penser que Brigitte Macron est un homme à quelque chose à voir avec le « complotisme » ?

Personne ne prête à Brigitte Macron de « complot », uniquement une possible dissimulation de son sexe véritable.

Brigitte Macron est possiblement un mec, les éléments sont suffisamment nombreux pour poser question.

La seule manière de démontrer que tout ceci est faux est assez simple : Brigitte doit se montrer à poils au grand public.

En attendant qu’elle (admettons) clarifie cette situation, des millions de gens continueront à penser qu’elle a une bite.

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